me défie une nouvelle fois du regard a
dois réprimer la moutar
once alors qu’elle s’é
pris du galon on dirait, puisqu’elle emprunte exactement la même attitude que moi,
it ? ose-t-el
e face à cette répartie kam
ur le côté avant de lui cl
c’est bien payé p
jamais se départir de son calme. Hallucinant
e ? articule-t-elle, une poin
besoin de baiser. Bien que les putes ne soient pas ma came, je ferai une exception ce soir. Et comme je
it être donné afin qu’elle sache où est la
Au contraire, ce rire qui s’échappe d
iserais si fort que vous vous endormiriez repus et en redema
femme n’a eu assez de cran pour me défier de la sorte. Elle m’irrite et me fascine en même temps.
s mots, mais les act
audace s’arrête sur ses lèvres. Dès que les choses deviennent plus sérieuses, il n’y a plu
utes près du trottoir où elle se trouve. Alors qu’elle s’apprête à y
vouliez me baiser. Vou
e véhicule est trop petit pour nous contenir tous les deux. La tension est palpable. Nous nous dévisageons sans qu’aucun de nous ne veuille rompre ce silence qui intensifie le désir
saurais le dire. Moi qui ai habituellement un sens très aigu du détail, je sui
n de l’hôtel. Nous nous engouffrons dans l’ascenseur. Je fais semblant de ne pas reluquer son corps, qui ap
re cette dernière. Je ne suis pas tendre, je n’en ai pas besoin aujourd’hui. Je me dirige vers son cou pour aspirer sa fragrance. La fille soupire. Je réalise que je ne connais même
e ma prise avant de me plaquer à son tour contre la porte. Elle attrape alors le col de ma chemise, me ramenant vers
l’air si facile. Je ne vais pas me plaindre, mes bourses sont pleines à craquer. Lorsque j’
ller. Son ton est brut, on dir
tendu, un préservatif égaré dans la poche arrière de mon jean, avant de m’approcher de mon audacieuse personnelle. Cette dernière
jambes autour de ma taille, elle utilise une technique qui m’est étrangère et parvient à me faire basculer en dessous. Elle prend les rênes. Les yeux dans les yeux, elle s’empale sur mon membre et me chevauche frénétiquement. Le rythme est bon, délicieux même, à tel point que je pousse des juron