t que je ne bougeais pas, me porta sur son dos. Malgré le fai
dons à mon côté avant de dire, "chérie, je vais rentrer maintenant. On se voit un aut
t six heures du matin au moment où la maison s'ouvrait. J'ét
t-elle sous la colère. Me faisant repenser à comment Obiang avait violemment jeté de l'eau sur ma peau, afin que les traces de sang qui s'échappaient de mon entre-jambe se noient. "Tu étais chez un homme, c'est ça ?" M'attrapât-elle par l
eut terminé, elle s'en a
'accepte pas que l'un de vous mette maman dans cet état. C'est quoi tout ça ?" Dit-il. Mais que ma rancune envers lui débutait déjà son chemin. "Lève-
, avant d'aller dormir, ta mère a fait le petit déjeuner, mais il n'y a rien à manger pour le midi.
urquoi moi ? Que faire ? Pourquoi étais-je une femme ? Pourquo
ns qui primaien
ière moi. "Angélique !" C'était Vivian, mon jeune frère de 18 ans. "Joseph a dit que quand tu finiras de s
dans la forêt avec ses amis, afin de travailler sur les champs. Ils avaient un programme journalier bien déterm
ssise face à moi depuis bien longtemps. Tellement prise par le tourbillon de mes soucis, je n'a
ndais, "que
faire du mal. Penses-tu q
h, cal
il s'approcha de moi puis me donna un coup de poing en plein ventre. Je tombais par conséquent sur le s
t venir de se réveiller, dire, "oui... frappes là ! C
plaider ma cause, surtout ma copine Laurie. Fille d'une des fe
en susurrant, "Eh…
stoire, c'est entre elle et moi." Puis, je leva