ie : Prem
d'autres mains ? Parce que son comportement est trop étrange. Il n'était pas comme ça avec moi. J'pense qu'il souffre de la distance et il ne peut p
e de Nabou « Bonjour Bachir, j'espère que je ne dérange pas. Au faite, j'voulais m'excuser pour hier, j'ai parlé sous le coup de la colère. J'avais quelque
'expérience. Comme je te l'ai dit à force de me fréquenter tu sauras qui suis-je. Sache que j'serai prêt à t'écouter si tu sens le besoin de sortir ce que tu as dans le cœur. Je ne vais pas être trop présent dans ta vi
ue tu n'y es pour rien. Je ne traverse absolument rien du tout. C'était juste un coup de colère vis
le contact alors. Bon je te laisse, j
vec ma cousine. J'ai demandé quelques nouvelles de mon Allodi, les révélations de ma cousine me font un peu flippé « Allodi, il va trop bien. Maintenant, il n'a pas de temps. Il est tout le temps avec son patron. Ce dernier ne connait pas bien la région et il fait tout le temps appel à lui pour le guider. En tout cas, il a beaucoup changé positivement. D'ailleurs, il passe de temps en temps à la maison pour donner quelque chose aux parents. Il est vraiment gentil. Ne soit pas jalouse, il est beaucoup plus beau. Il a monté en grade. Il n'est plus ce petit journalier. Ma belle cousine, je te conseille de venir vite vous marier avant que les autres te devancent. Les filles commencent à courir derrière lui ». Elle termine la conversation
sir que je le fais. Et tu n'as encore rien vu. Demain à ta descente, j'aimerai te voir cette fois seule, si ça ne te dérange pas ». J'étais contente de cette invitation et j'ai répondu positivement. Nous avons calé le rendez-vous à 20h le lendemain. J'en ai parlé à Nabou qui m'a félicité d'avoir décidé enfin de vivre ma vie. Cette nuit, avant de me coucher, j'ai reçu un texto d'Allodi « Amour j'ai vu tes appels mais j'suis trop occupé avec mon patron. Je te rappellerai dès que l'occasion se présente. Je t'aime bonne nuit ». Oh non !!! Il n'avait que ça à me dire, après tous ses appels en absence. Ok, j'ai compris. Si lui peut se passer de moi, pourquoi pas moi ? J'resterai dans mon coin, à partir d'aujourd'hui, s'il veut m'entendre, ce sera à lui de faire le premier pas. J'ai tourné aussitôt la page de ce message et j'pensais à mon rendez-vous du lendemain. J'avais hâte d'être à ce programme avec Bachir. Le lendemain, j'étais trop pressée de descendre pour me préparer. J'devais finir les cours à 18h. A la descente, je n'ai pas perdu de temps, j'ai filé directement dans notre chambre et Nabou m'aidait à choisir mon habillement. Elle me sort une robe vraiment belle et sexy. L'une de mes préférées d'ailleurs. Cette robe mettait en valeur mes formes. Modestie à part, j'suis belle et très bien gâtée par dame nature. Je ne le faisais pas exprès d'attirer les regards des hommes sur moi. Mais je ne passais pas inaperçue. Tout homme tournerait la tête après mon passage. J'étais prête à 20h00. Mon téléphone sonna et c'tait Bachir qui me faisait part de son arrivée. Vu que c'était ma première fois que j'sortais seul dans cet accoutrement, j'avais honte d'y aller. J'ai convaincu Nabou de me raccompagner jusqu'à la sortie. J'ai mis quelque chose pour cacher mon habillement, ce qui faisait rire à Nabou « Hey, tu n'as de compte à rendre à personne. Chacune fait ce qu'elle veut ici. Ça se voit que tu ne sors pas les nuits. Si c'était le cas, tu sauras que les gens vivent pour eux-mêmes ». Je l'ai remis le pagne que je m'étais noué avant de franchir la porte de l'université. J'pouvais apercevoir la voiture de Bachir qui était garée de l'autre côté de la route. J'ai monté dans sa voiture avant de le saluer. Il me complimente sur mon habillement « Waouh, j'vois que la belle Dada est excessivement sexy et
de sujet et nous parlions de projet. Il m'explique sa vie. Bref, il m'a beaucoup parlé de lui. J'devenais de plus en plus séduite par cet homme. Il était tellement correct et ses mots étaient vraiment crus. Expérimenté comme il est, il pouvait voir et sentir que j'étais déjà séduite. Je le regardais avec une telle admiration. Il tenait ma main et me caressait avec douceur. Il put l'argent et ses mains étaient si douces. Je me suis laissé aller avec lui. Il a gagné ma confiance. Je n'étais plus méfiante. J'me suis libérée et j'ai parlé de moi, des difficultés que j'affrontais au village. Bref, en bon gentleman, il me rassure et me dit « Actuellement, ton bonheur dépend de toi. J'peux tout changer si tu acceptes d'être moi. J'suis prêt à changer positivement ta vie pour que tu aides ta famille et tes proches ». J'étais prête à dire OUI tout de suite mais j'pensais aux promesses entre Allodi et moi. Heureusement, il m'a demandé de rentrer parce qu'il se faisait tard. Nous sommes sortis et il me dépose. Sur le chemin, il me deman