img Ma solitude, ma liberté et mes erreurs  /  Chapitre 1 01 | 4.76%
Télécharger l'appli
Historique
Ma solitude, ma liberté et mes erreurs

Ma solitude, ma liberté et mes erreurs

Auteur: NANDITÉ
img img img

Chapitre 1 01

Nombre de mots : 2289    |    Mis à jour : 10/06/2023

e : Dada e

tion en architecture. J’partageais mon argent de poche avec lui. Je ne suis pas issue d’une famille très aisée mais papa et maman me gâtaient avec leurs faibles moyens. Allodi, courageux qu’il est, après quelques recherches de travail sans succès, il a mis ses diplômes à coté pour se trouver un travail de journalier dans une société fraichement installée dans notre région. Il voulait et tenait vraiment à réussir dans la vie pour subvenir au besoin de sa famille et me marier. Il était l’aîné d’une famille de 7 personnes. Il percevait 3.000F par jour au début de son travail avant de passer à 5.000F. Après chaque descente, il prenait 1.000F pour son transport, il donnait 1000F à sa maman et l’autre billet, il me le confiait. Il ne prenait plus mon aide. J’étais trop contente de son courage. Il pensait trop à sa famille. Après 2 mois de travail, il est passé à 5.000F par jour à cause de son courage. Il a économisé jusqu’à avoir de quoi prendre une chambre, vu que sa maison familiale devenait de plus en plus petite à cause des cousins et cousines qui venaient de part et d’autre. Il s’est trouvé une petite chambre de 10.000 F dans une maison modeste. Après chaque descente, il faisait un crochet chez ses parents pour manger avant de regagner sa chambre. Il a très tôt su ce qu’il voulait pour lui. Il avait des copains qu’il fréquentait très ra

des hommes. Au début, j’étais casanière mais avec le temps, et l’influence de ma nouvelle amie, j’ai accepté de sortir certains jours pour manger de la glace. Un soir de samedi, nous avions croisé au glacier un homme mature qui avait les 50taines, d’après mon imagination mais un homme correct

vu, j’ai perdu la notion du temps. On s’est déjà vu quelque part ? Non. Tu

étonné. Il est un bon dragueur ce mec. J’ai to

e nomme Bachir au cas où mon vrai nom t’intéresserait. AÏE… AÏE…AÏE, en posant une de ses mains dans son c

car j’viens de me noyer dans votre regard

ntérieurement, je me disais qu’il est complètement f

pellerai Google, parce ce que

visiblement séduite et j’avoue aussi que j’commençais

amie. J’vous laisse discuter. Oups, avant de m’en aller, tu es vraiment drô

ous sommes connues ici et nous n’avons même pas fait 6 mois et elle parle de meilleure amie. Pourtant je l’avais parlé de mon Allodi et elle était con

a voie publique. J’crois que tu auras besoin d’un bon avocat pour t’en sortir. A moins q

? » En bon gentleman qu’il est, il s’excuse avant de promettre d’être plus attentif. J’souris et j’étais soulagée. Mon grand étonnement, c’est ce monsieur qui me suivait toujours. Mon amour m’a demandé où est-ce que j’étais et je l’ai menti en disant que j’étais devant la porte de notre chambre. Il demande à parler à Nabou, heureusement, qu’elle était avec moi. Cette dernière confirme mes propos avant de me redonner le téléphone. Après quelques minutes, on s’est dit à demain. Bachir prenait tout son temps, il en profitait pour échanger avec Nabou. Voyant que j’ai raccroché, il me dit « Waouh, j’dis me

c le seul homme que j’aime et que j’aimerai de ma vie. J’connais ton genre, tu es un beau parleur et je te dis dès à

ec comme un gardien de but. J’ferai tout mon possible pour marquer mon but. J’ai fait un oufff de soulagement lorsque j’ai su qu’il n’était qu’un simple copain. J’vous ai assez emmerdé. J’vous laisse ma carte de visite au cas vous aurez besoin quelque chose. Nabou m’a expliqué que vous êtes des étudiantes. Connaissant la vie estudiantine, j’vous remets ça pour vos quelques besoins. J’suis un peu pressé mais j’allais vous ramener jusqu’à l’université mais

on mec mais tu n’as rien fait de grave. Tu as menti pour sauver ton couple. D’ailleurs, prend ton argent. Il est

enait avec beaucoup de nourriture et des boissons. Elle me dépannait beaucoup. C’est sa vie, ça ne me regarde pas. Chaque nuit, elle parlait au téléphone et elle sortait des phrases trop hot et vulgaire pour son âge. Au début, ça m’étonnait mais avec le temps, je me suis habituée. J’ai pris mon bain à mon tour. Je me suis couchée en me culpabilisant. Je me sentais sale, d’avoir mentie mon homme qui n’a jamais cessé de me dire même ses plus gros secrets familiaux. J’ai trouvé difficilement le sommeil. Nous avions éteint les lumières mais je n’ai pas fermé les yeux. Nabou a fait un geste éton

Télécharger l'appli
icon APP STORE
icon GOOGLE PLAY