important pour la vie d'une jeune fille, le moment dont on a toutes déjà rêver en nous imaginons des m

ait troublant alors là c'était comme s'il voulait relever le défi, pour voir si j'allais soutenir le regard, mais je l'ai pas baissé ce regard, donc au fur et à mesure qu'il s'approchait de moi j'avais une de ces chaud, j'avais peur de ce qui va y arriver, je me disais imagine il veut te tester et qu'à la fin il va se retir

front se sont collés, il me regardait toujours dans les yeux tout en rappronchant de poser ses lèvres sur les miennes et moi je les éloignais de lui tout en lui soutenant le regard, je

egardais toujours je l'analysais, j'imprimais dans ma mèmoire tout cm de sa peau, les courbe de ses yeux de ces cils, et là bah il m'a poussé cotre le plan de travail, il a mis ses deux mains derrière mes oreilles des deux cotés de mon visage et m'a embrassé langoureusement pour de vrai, c'était un peu comme un "" French Kiss "" mais sans contact des langues, je me disais putain comment faire ? Mais monsieur s'occupait de tout, il embrassait délicatement de chacune des mes l

nt m'envolé dans l'espace, était bien plus fort que ce que j'ai ressentis lorsqu'il m'a entouré l'épaule de son bras, je ressentais pas une boule au

puis il descendit sa main de ma joue, caressant mon bras droit, me pris le poignet me déposa un long bisou sur ma paume, je me sentit troublée, a

mier baiser, tu peux aussi être fière d'être le pre

Attend, je suis ton pr

tp laisse moi passer je do

j'ai kiffé avec toi c'était pas pareil, p

est ce que je peux savoir

s de moi quand je t'ai relevé du sol m'a envouté, j'avais eu peur pour toi déjà, puis e

i

mer l'orage en moi, il avait tellement d'effet sur moi, je me suis emdormie reve

porter avec lui, mais ce gros ne voulu pas, je sortis, me posa contre la rampe des escalier et me mi à réfléchir, puis je l'allais tout de même pas l'éviter toute ma vie, je descendis alors, toujours pied nue en débardeur et short et les cheveux lachés, je le vie accroché au mur de la porte fenêtre de la cuisine qui donnait sur veranda entrain de griller une clope, je me suis dirigé vers la cuisine, me servit un verre de lait et des céreales, comme toujours, quand il entendi le bruit de la vaisselle claquer il se retourna, je lui sourit, il me le rendit en me disant Bonjour, que moi j'ai pas rendu mdr, bah oui il faut pas qu'il se sente p

?? T'a cru t'étais chez to

re est consentant que je mette ce que je veux, qua

tn c moi qui parle et toi t'éxecute, compris ? T'ose parler de

qu'un sauf Nizar, j'osais pas le dire au filles car elles subissaient pas la même chose que moi, donc je préferais fermer ma gueule sur quelque passage de ma vie, je me suis levée en lui lançant un

picerie qui a besoi

nvie de beignet donc fallais acheter les ingrédients, je suis partie alors refusant to

ne et du bon soleil, mais quand je voulu tourné de la rue vers l'épicerie,