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Historique
Un si je savais.

Un si je savais.

Auteur: carlle
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Chapitre 1 Chapitre 1: La où tout à commencé.....

Nombre de mots : 2040    |    Mis à jour : 02/01/2023

ger d'avis. Certains, il est vrai, ont fait de mon existence un roman un peu flou. La vérité est à la fois plus logique, plus inattendue et encore plus

, je suis déterminé à tout dire. Je ne crains le jugement de qui que ce soit. Quant à celui de Dieu, ayant toujours mis ma confiance en Lui, j'a

père, Fabrice, était gardien d'une antenne de réseau. Ma mère, elle aussi, appartenait au peuple. Je n'ai pas d'arbre généalogique mais lorsque je vois les

ct. Mais je rejette la faute sur le feu qui a dévoré la maison de mes parents quand j'étais tout petite. À ma naissance, j'ai reçu le prénom de l'ex chancelière allemande. Angèla. Mes

mon enfance que je les ai rangés dans le coin le plus reculé de ma mémoire. Néanmoins, m'étant promis d'ê

à une ou deux rues de la nôtre. Ce dernier, se prend pitié pour moi. Il devine chaque jour ma honte et, dans son ef

i ma mère était une personne à avoir un chien, comme si dans le quartier,

boucher. Tout le monde le craignait dans le quartier. Ce sont mes p

, Mr Bankolé Fabrice, prenait son temps. Il cassait et fouillait dans chaque os avec une attention particulière comme si un trésor était caché dedans. À chaque fois qu'il finissait de manger, je ne retrouvais même plus le reste des os après qu'ils aient été cassé. Je ne perdais pas mon temps à demander ni à chercher où ils sont passés. C'était simple et facile

par l'histoire. Personne ne voulait vivre là. Mes parents oui puisque cela ne les coûtaient absolument rien. Malgré les évènements malheureux qu'ils connaissaient là, ils n'avaient nul part où a

occupions que deux pièces, l'une servant de cuisine et l'autre de chambre

qu'il n'y paraissait. Je me moquais des gamines de mon âge qui pleuraient derrière leurs mères pour manger. Je ne résistais pas à les provoquer. Nous nous batti

J'étais têtue. Mais la réprimande de ma mère me faisait sortir de mon gonds. Je me redressais de toute ma taille minuscule, je mettais les points sur les hanches et, avec les yeux rouges, je lui répondais du tac au tac, lui lançant des injures que jamais fille n'aurait dû proférer contre sa mère. Elle me giflait. Je sortais de la maison, je courais longtemps dans les champs et terrains va

enait souvent sa grosse voix pour me reprocher de ne pas rester à la maison, mais ma présence le délectait. Derrière la maison qui habritait l'antenne que surveillait mon père, il y avait la maison des jeunes du village.

u fait à

en,

cette heure ? Tu es sensé l

ur est là. Je suis juste

s. Cette fois, elle m'a caché la maladie de mon père jusqu'à sa mort car le soir même de ce jour où j'ai déserté la maison pour l

ue tout le village étaient touché. Bien qu'avec la disparition de son mari, ma mère n'était pas secouée. Il est probable qu'elle se sentait soulagée car elle avait des prét

Notre situation devint désespérée. J'avais beau détester ma mère, je dois reconnaître qu'elle se sacrifia pour assurer notre subsistance, car ce ne fut vraiment

désormais un nouveau père. C'était comme si le ciel tombait sur ma petite tête. Ils étaient rentrés dans le coin qui servai

'accorder quelque

chez son client et n

n'ai pas assez de temps p

ons... mais je n'apprécie pas le fait que tu

s, je perdis toutes ma capacité. Je perdis l'instinct de survie que j'avais. Elle retourna dans sa besogne et je restai assis là. Perdue dans mes pensées. Les larmes

ent-là, et seul ce sentiment me soutenait et me d

chant à nous étudier Colombe et moi. Maman lui avait montré la place de chacun de nous dans la maison. Très vite, il commença à me mettre à part. Il n'hés

ait inscrire au centre où les étrangers formaient ceux qui voul

crite. Je ne faisais pas une jalousie. J'enviais simplement sa place. Et, chaque soir, l'envie remplissait mon cœur lorsqu'elle rentrait à la maison pour no

s de temps en temps pour parler avec mon âme. Elle était ma seule compagne. C'est elle, qui, après plusieurs réflexi

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