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La proposition 🤍
La proposition 🤍
Prologue
Le réveil de mon téléphone sonne depuis plus de 10 minutes. Je suis vraiment fatiguée, mais il faut que je me lève. Je me remue dans le lit comme un bébé. Je m'ettire et après plusieurs minutes je me résigne enfin a ouvrir les yeux. Je prends mon téléphone et j'arrête le réveil. Je regarde la montre qui affiche 19: 18 zut je vais être en retard.
Je bondis du lit et me précipite dans la salle de bain. Je fais ma toilette et je m'applique particulièrement sur ma bouche. J'aime que mes dents soient impeccable. J'opte pour une robe bleu et des escarpins noirs. Je suis déjà sur le maquillage quand mon téléphone sonne. Un léger sourire se dessine sur mon visage
-bsr Bertrand
-bsr Natacha. Tu es prĂŞte?
-oui presque. Tu es déjà en route?
-d'un moment a l'autre.
-ok je t'attend
Je m'appelle Natacha, j'ai 23 ans et je suis accompagnatrice. D'aucun se demandent ce que c'est? Je suis une pute de luxe. J'accompagne des hommes friqués a des dîners d'affaires. Généralement ce sont des hommes politiques ou des hommes d'affaires. Des fois je me limite juste a paraître a leur bras et a profiter du dîner, mais il y a des clients qui préfère me garder jusqu'à dans leur lit. Je n'ai pas a me plaindre de ce mode de vie que j'ai d'ailleurs moi même choisit. Au contraire, je m'y plaît bien et je peux gagner de l'argent sans avoir a me casser la tête.
Tout travail est difficile et il y a des contraintes mais bon je préfère celui la. Il m'a permis d'avoir un chez moi, m'a permis de m'offrir ce que je veux et surtout de rencontrer des gens charmant.
J'errais dans les rues quand madame Nanita m'a recueillis et proposé ce boulot. La première fois c'était pas évident et j'ai pleuré comme un bébé. Aujourd'hui avec plus d'expérience je le fais sans encombre, comme un automate. J'ai un chez moi bien équipé, de la nourriture a volonté, un dressing bien rempli et j'ai la liberté de m'offrir ce que je veux. Madame Nanita choisit les clients, fixe les rendez vous et me transmet les informations une fois que toute la paperasse est réglée. Je reçois 60% sur chaque client que je prend et les pourboires sont pour moi. Un maximum de tune en un minimum de temps. Vous vous demandez sûrement ce qui me différencie des autres filles? Bah généralement les putes ont la réputations d'êtres belles et bêtes. Moi j'ai eu la chance de faire des études universitaires. Même si j'ai pas passé mon diplôme, ça reste un avantage certains pour moi car, a la différence de beaucoup d'autres je sais tenir une conversation et surtout me tenir en public. Madame Nanita me reserve donc les clients les plus distingués et moi je les bichone pour la plus grande satisfaction de tout le monde. Le client est satisfait du service, madame Nanita encaisse son argent et gagne en notoriété et moi j'ai mon argent. Que demander de plus?
Je continue donc a me maquiller et je lâche mes cheveux. Ils sont assez long et me dépassent les épaule. Avec une robe aussi courte remonter mes cheveux en chignon serait une erreur car, j'aurais l'air d'en faire trop. Je prend ma pochette noire dans laquelle je met ma trousse a maquillage, mes papiers d'identité, un peu d'argent (on ne sait jamais) et de préservatifs (prévenir vaut mieux que guérir).
Dring dring
je me précipite vers mon téléphone qui était encore en charge sur le lit
-allo
-je suis devant chez toi. Tu es prĂŞte?
-oui accorde moi 1 minute stp
Il est 20:43. Je met mon téléphone dans mon sac, j'arrête les lumières et je sors sans oublier de fermer a double tours. J'ouvre mon portail et il est juste garé devant.
Bertrand est un homme d'affaire ivoirien qui est en séjour ici a Libreville pour conclure un partenariat avec une société de la place. Comme paraître avec une jolie demoiselle a ce genre de rendez vous est très bien perçu, il se fait accompagné. Et comme il ne connaît pas du monde ici, il a contacté madame Nanita qui lui a été recommandé par un ami.
C'est un homme élégant, noir, les lèvres fines du haut de sont mètre 90. Très charmant et cultivé par déçu le marché.
Je monte donc dans la voiture. Une santafé dernier modèle. Sûrement une voiture de location. Voilà un autre avantage de ce métier car même si on ne les possède pas, on goûte au moins a des choses qu'on ne peux s'offrir soit même.
Après les salutations d'usage nous voilà en route pour le "fard du large" un restaurant très chique de la ville. La bouteille d'eau y coûte les yeux de la tête, c'est ce genre de restaurant la. Même pour me faire plaisir je ne viendrai jamais dépenser mon argent dans ce genre d'endroit. Mais comme c'est pas moi qui paie ça ne me dérange pas du tout au contraire.
La soirée est assez lourde mais je fais des sourires et je participe même au débat. Je balance même quelques blagues qui font rigoler les autres membres de la table. Bertrand reussi a conclure son contrat. Son nouvel associé l'invite le lendemain pour un autre dîner auquel il devra prendre part avec moi (parait qu'il m'a trouvé charmante et comique). On est tous content. Après les au revoir Bertrand m'invite a passer la soirée a son hôtel.
23:57 nous voilà en route pour le "Laico okoume palace" pendant tout le trajet il me félicite pour avoir réussi a faire rire son nouvel associe. Il m'explique un peu en quoi consiste leur nouveau partenariat. Je fais comme si j'écoute mais j'ai la tête ailleurs. Et bla bla bla bla il continu a parler jusque dans la chambre d'hôtel.
Je me dirige vers le mini bar et prend une petite bouteille d'eau minérale, que je consomme d'un trait. L'eau est ma boisson par excellence, j'aime ça. Je pose ma pochette sur le chevet de lit, quand je sens les mains de Bertrand qui m'attirent contre lui. Je le sens tout dur contre mes fesses
-tu es vraiment jolie Natacha. Et cette robe bleu te va a ravir. (En me faisant des bisou dans le coup)
-merci c'est gentil de dire ça
Il me retourne et me regarde maintenant dans les yeux. Je sens le desir qui monte en lui. Sa respiration s'accélère et ses yeux brillent. Il veut m'embrasser sur la bouche et je détourne mon visage
- (en souriant) excuse moi j'avais oublier
Je n'embrasse pas sur la bouche. C'est un investissement personnel et dans le cadre du travail il n'en est pas question. Je le pousse sur le lit et je me met au dessus. Je commence a faire mon travail comme il faut: fellation, caresse, la total... Bertrand est aux anges. Je lui met un préservatif avec ma bouche. Senteur fraise mon parfum préféré. Il est ce genre d'homme qui ne se retient pas dans l'amour. Il gemit, s'agrippe a moi et me mord presque le cou. Hum! Si j'etais brune mame les suçons ooh! Je continue a lui donner du plaisir, je tourne mes reins. Je le regarde dans les yeux, je sens qu'il ne tient plus. Il se mord les lèvres, gemit d'avantage. Il tient maintenant mes reins et accélère mon mouvement. Quelques minutes plus tard, je le sens se raidir, il a jouit. Je tombe sur le lit en sueur malgré la climatisation. Je reprend mon souffle et après je bondi du lit et je vais dans la douche ou je prend un bain. Il me rejoint et nous faisons une autre partie sous le jet d'eau. On se débarrasse des préservatifs dans la poubelles qui est juste a l'entrée de la douche (désolé pour les femmes de ménages)
Bertrand va s'installer sur le lit prêt a dormir je le sens épuisé. Moi je ramasse mes effets et je m'habille.
Lui: qu'est ce que tu fais?
Moi: je rentre (tout en m'habillant)
Lui: pourquoi tu ne passe pas lui nuit ici et je te raccompagne demain matin?
Moi: tu veux que je dorme avec toi?
Lui: bah oui, c'est pas prudent de te balader la nuit tu sais?
Moi: t'inquiète je suis une grande fille.
Je lui fais un bisou et je prend la porte. Je ne passe jamais la nuit avec un client sauf s'il me prend pour plusieurs jours. J'estime que passer la nuit avec un homme nous expose a nous attacher a lui, a son odeur, a son corps et moi je ne cherche pas ce genre de relation. Je fais un message a madame Nanita pour lui signaler que je rentre. Je prend un taxi et j'arrive chez moi. Il est 4:30 je suis fatiguée, mais je préfère pendre une douche supplémentaire. Je m'essuie le visage avec une lingette demaquillante, je prend une petite bouteille d'eau minérale que je vide d'un trait et je me met devant la télé. Je regarde "Pretty women" mon film préféré. Ça me permet de me remettre les idées en place car, les fins heureuses on ne les voit qu'au cinéma. La vie est tout autre. Exténué, je m'en dors sur le canapé. C'est mon petit rituel après chacune de mes prestations.
Chapitre 1
Dring dring
La sonnerie de mon téléphone me réveil. Il s'est glissé entre les coussins du canapé. Le temps de le retrouvé il a déjà arrêté de sonné. Sur l'écran il est marqué appel manqué de madame Nanita. Quand je veux relancer l'appel je reçoit un message:
«Rendez-vous chez moi a 11 heures. Pas de retard stp»
Tchip! J'aime pas me lever le matin et elle sait ça. Qu'est ce qu'il y a encore?
Il est déjà 10 heures. Obligé je me lève et vais prendre une bonne pour bien me réveillé. Je met une robe coupe grecque bleu ciel et des sandales noires (ça fait ressortir mon mètre 75), avec un sac en bandoulière noir. Je me fait un sandwich rapide et je me met en route.
J'arrive chez madame Nanita et les autres filles sont déjà la. Je salue et je me trouve une place.
Les filles sont en pleine discution. Je n'y prête pas trop attention et je n'y participe pas. Je suis ce genre de personne qu'on taxe d'anti sociale car, je préfère rester seule. Ma philosophie c'est que: Judas était un proche du Christ. Je n'accorde jamais ma confiance et je me méfie de tout le monde. Donc pour passer le temps je manipule mon téléphone.
Quelques minutes plus tard madame Nanita entre avec Julia (l'une des filles). Elle est défigurée. Il y a un silence glaciale tout a coup dans le salon.
Madame Nanita: bjr les filles (s'installant en face de nous) Julia a eu un soucis hier en partant de chez un client. Vous même vous voyez son état donc j'aimerais que dorénavant vous passiez la nuit chez vos clients. On ne va pas risquer que ce genre de chose se reproduise
Tu parles... En arrivant tout a l'heure, mon oreille indiscrète a captée dans l'une des conversation autour de moi que c'est un client belliqueux qui l'a amochée ainsi. D'ailleurs ce n'est pas la première fois qu'un client devient violent avec l'une des filles. Madame Nanita essaie toujours d'etouffer l'affaire pour ne pas apeurer les nouvelles. Hum! Moi en tout cas il n'est pas question que je passe toute une nuit avec un client.
Madame continu donc la réunion en évoquant le comportement de certaines, des plaintes des clients, elle réprimande et c'est tout. Pffff j'aurais pu rester chez moi a dormir hein!
Au moment de partir
Elle: Natacha reste stp
Elle laisse les autres s'en aller et reprend:
Elle: ça va?
Moi: oui madame
Elle: ok. Ce soir tu sera avec mr Alfred
Moi: (boudant) mais madame je suis sensée me reposer aujourd'hui
Elle: je sais, mais il a prévenu a la dernière minute seulement et je ne peux pas l'envoyer bouler comme ça
Moi: ...
Elle: tu sais que c'est un bon client alors stp tu te prépare pour 21h
Moi: (énervée) ok
Je ne refuse jamais un client mais ce mr Alfred je ne l'aime pas trop. Il prend les gens de haut et passe son temps a te tripoter en public... Tchip! Un homme d'une quarantaine d'année, 1m63, un ventre de plusieurs mois de grossesse, une voix roc et de salles manières.
L'un des inconvénient de ce métier est qu'on ne peut pas choisir les hommes avec qui on sort. Généralement se sont des sales types, mais on n'y peux rien.
********************
22:26. Nous sommes dans un restaurant du coté de glass (un quartier de la villle). Je l'écoute me raconter sa vie, ce qu'il a fait depuis le dernière fois qu'on s'est vu, l'état de ses affaires... Comme si ça pouvait m'intéresser pfff! Mais obligée je fais comme si, je lui lance des sourires et je pose même des questions ce qui l'enchante au plus haut point.
Un peu plus tard nous nous retrouvons dans sa chambre dans un hôtel a l'ancienne sobraga (un quartier). Sans soucis de préliminaire il se jette sur moi comme un animal affamé. Je sens sa respiration lourde et son poids m'ecrase. Je le subis donc ainsi pendant plusieurs minutes jusqu'a ce qu'il se vide et se renverse sur le coté. Beurk! Avec lui je ne prend jamais aucun plaisir.
Je lui retire son préservatif et je m'en débarrasse dans la poubelle, avant de faire ma toilette dans la salle de bain. Une fois fait je sors et il a posé l'argent sur le chevet de lit. Je compte et il y en a plus. Je le regarde intriguée
Lui: quoi?
Moi: il y en a plus
Lui: (sourire) j'ai ajouté un petit cadeau pour toi
Moi: merci (en rangeant l'argent dans mon sac)
Au moment de sortir
Lui: tu as réfléchi a ce que je t'ai dis la dernière fois?
Moi: j'ai déjà donné ma réponse et c'est non
Il se relève l'air contrarié
Lui: tu préfère rester une pute a vie au lieu de devenir ma 3eme femme pourquoi?
Moi: parce que moi je ne veux appartenir a aucun homme. Je ne suis la propriété de personne et ma vie me plaît comme ça
Lui: (levant le ton) tu es folle Natacha. Toute femme dois se caser tôt ou tard. Toi tu pense que tu seras belle jusqu'a quand? Toutes les fleurs fanent et les plus jolies encore plus vite. Je t'offre une vie tranquille et toi tu crache déçu?
Moi: (énervée) tu as déjà 2 femmes quelle vie tranquille? Une fois que je serais dans ta maison les choses vont changer. Arrête je ne suis pas une gamine. Va te trouver une femme ailleurs moi je suis une pute et c'est pas en m'epousant que ça va changer. Ne t'inquiète pas pour mon avenir car il ne te concerne pas
Je sortais en claquant la porte. Non mais pour qui se prenait-il celui la? Tchuiiiiiip! 3eme femme et puis quoi encore? Une vieille chose comme ça, avec son gros ventre et qui n'est même pas bon au lit. N'importe quoi.
Je m'engouffrais dans un taxi pour chez moi. J'etais en colère. Pour qui ce prenait ce vieux prétentieux pour penser connaître ce dont j'ai besoin?
J'arrivais chez moi vers 2 heures du matin. Après mon petit rituel, je m'affalais sur le canapé mais au lieu de regarder mon film préféré (pretty woman), je me replongeais dans les souvenirs douloureux qui m'ont emmenés a en arriver la...
*******************
Souvenirs
Je suis originaire de Franceville. Une ville du sud du Gabon. Mes parents n'ont eu que moi comme enfant, du fait que ma mère était très maladive. D'aussi loin que je m'en rappelle elle a toujours été malade. Mais du temps de son vivant je sais qu'on était heureux tous les 3. Elle nous a quitté quand j'avais 12 ans. Les parents de ma mère ont accusé mon père de l'avoir tué dans des pratiques mystiques car, quelques temps après sa mort mon père a été nominé au conseille des ministres: directeur général au ministère des finances.
Nous avons donc déménagé pour la capital. Mon père et moi n'etions plus si proche qu'avant. Je remarquais même qu'il m'evitait. Avec le temps je compris que c'était parce que je ressemblais beaucoup a ma mère et donc ma vue l'attristait. Nos seuls rapports se limitaient désormais a la surveillance de mon parcours scolaire. Alors je faisais tout pour toujours être la meilleure pour lui faire plaisir même si je n'y arrivait presque jamais.
J'ai eu mon baccalauréat a 16 ans et il m'a envoyé en France pour continuer mes études supérieures en banque et finance.
Arrivée en année licence, mon père est tombé malade et j'ai du revenir pour le voir. Moi qui pensait juste venir passer du temps avec lui, je suis venu l'enterrer. Je n'ai pas pu retourner terminer mon examen de fin de cycle car les biens de mon père ont été confisqué, rendu coupable d'enrichement illicite.
Je me suis donc retrouvé a la rue. Un frère de ma mère m'a recueillis. Hum! C'est la que mon enfer a commencé. Je devais connaître des conditions de vie que je n'avais jamais connu: partager une chambre a plusieurs, faire les taches ménagères, me faire battre par la femme de mon oncle et par déçu tout me faire violer régulièrement par ce dernier.
Ne pouvant plus supporter cette situation je me suis enfui et j'ai atterri chez un très bon ami a mon père. Après lui avoir expliqué la situation, il a accepté de m'héberger et m'a promis de me renvoyer en France pour terminer mes études. Chose qu'il ne fit jamais. Au contraire, il passait son temps a me questionner sur les biens de mon père car selon lui l'état n'avait pas tout saisi et il voulait m'aider a récupérer certains bien. Il m'a bien berné et des qu'il a eu les informations dont il avait besoin il m'a foutu a la porte. Sans oublier qu'il a couché avec moi a plusieurs reprises.
Ces épisodes n'etaient pas les plus fâcheux de ma vie. Après l'ami de mon père j'ai rencontré un ancien collègue de lycée qui accepta de me prendre chez lui. Au début tout se passait bien. Jusqu'a ce qu'il vienne me déclarer sa flamme en me disant qu'il m'a aimé depuis le lycée et qu'il voulait faire de moi sa femme. Faisant fit de mon histoire j'etais heureux qu'il veuille de moi en sachant que des hommes avaient abusés de moi. Après quelques mois de relation son comportement commença a changer il devenait facilement irritable et me battait pour un rien. Un jour il m'a annoncé que sa fiancé rentrait des Etats unis et que je devais partir. Mais ou?
N'ayant plus d'endroit ou aller j'ai donc errer dans les rues, jusqu'a ce que madame Nanita me trouve. J'ai facilement accepté sa proposition surtout que j'avais compris que les hommes s'intéressait a mon corps. Et ne me retrouvant sans rien j'etais obligée.
J'ai eu une nouvelle vie et je me suis jurée de ne plus me laisser avoir par les hommes.
Rachel pensait que sa dévotion convaincrait Brian un jour, mais elle s'est trompée lorsque le véritable amour de ce dernier est revenu. Rachel a tout enduré, de la solitude devant l'autel à l'hôpital pour un traitement d'urgence. Tout le monde pensait qu'elle était folle d'abandonner autant d'elle-même pour quelqu'un qui ne lui rendait pas ses sentiments. Mais lorsque Brian a appris que Rachel était en phase terminale et qu'il a réalisé qu'il ne lui restait plus beaucoup de temps à vivre, il s'est complètement effondré. « Je t'interdis de mourir ! » Rachel a souri. Elle n'a plus besoin de lui. « Je vais enfin être libre. »
« Chassez cette femme ! » « Jetez cette femme dans la mer ! » Quand il ne connaîssait pas la véritable identité de Debbie Nian, Carlos Huo la méprisait. « M. Huo, elle est ta femme », lui a rappelé le secrétaire de Carlos. En entendant cela, Carlos lui lance un regard froid en se plaignant : « Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt ? » Depuis, elle est pourrie gâté par Carlos. Personne ne s'attendait à ce qu'ils puissent se divorcer.
Lucia Balstone pensait avoir choisi le bon homme avec qui passer le reste de sa vie, mais c'est lui qui a mis fin à ses jours. Leur mariage de dix ans a semblé être une blague lorsque son mari l'a poignardée avec un poignard. Heureusement, Dieu n'est jamais aveugle aux larmes des gens. Lucie a eu une seconde chance. Elle renaît à l'âge de 22 ans, avant que toutes les choses terribles ne se produisent. Cette fois, elle était déterminée à se venger et à laisser payer ceux qui lui faisaient du mal ! Elle a fait une liste détaillée de ses objectifs, et la première chose sur sa liste était d'épouser l'ennemi de son ex-mari, Alonso Callen !
Dans mon ancienne vie, Bastien, mon fiancé, et mon frère, Hugo, étaient mon univers, les piliers inébranlables de mon existence. Puis, Clara est arrivée – une fille aux larmes faciles, sans histoire – et en un clin d' œil, elle a tout volé. Mon fiancé a rompu nos fiançailles, mon frère a brisé sa promesse de me protéger. Tous deux se sont tournés vers elle, me traitant comme une intruse. J'ai été publiquement humiliée, bousculée, accusée de jalousie. Ils ont permis qu'elle vole la formule de parfum inachevée de ma mère, mon héritage le plus précieux. Pire encore : la montre Cartier de ma mère, celle qu'elle m'avait léguée et que j'ai vue à son poignet, Bastien l'a brisée sous mes yeux. Et Hugo voulait donner le refuge de ma mère à cette usurpatrice. Leur trahison a dépassé l'entendement. Ce jour-là , au fond de cet abîme de douleur, j'ai réalisé que l'amour que je leur portais était mort. Et, étrangement, la haine aussi. Il ne restait qu'un vide glacial. Comment des êtres que j'avais tant aimés ont-ils pu me dénier mon existence même, me traiter en ennemie pour une étrangère? Alors, j' ai décidé de disparaître. J' ai mis le feu à notre appartement parisien, à tous nos souvenirs, laissant des indices pour qu' on me croie morte dans les flammes. C'était la seule façon de renaître de mes cendres, loin d'eux, sous un nouveau nom, Léa Martin. Mais ce qu'ils ont ignoré, c'est que cette mort n'était que le début de ma véritable vie, et la leur, celle d'un remords sans fin.
Après cinq ans de mariage infructueux et sans amour avec Lucien Albrecht, un magnat des affaires à Seattle, Ariadne était enfin à bout de ressources. Son mari a proposé le divorce le soir de leur cinquième anniversaire, ne sachant jamais combien elle avait abandonné pour son amour. Le cœur brisé, Ariadne a rompu tous les liens avec lui pour de bon, retournant à son ancienne identité.. l'héritière de Grey Enterprise. Cependant, quand elle a décidé de redevenir Alexandra Grey, Lucien s'est avéré être celui qui voulait qu'Ariadne Albrecht revienne. Tiraillée entre des luttes de pouvoir au sein de l'entreprise et le regard attentif de son ex-mari, la jeune PDG pourrait-elle enfin atteindre son objectif ? *** "En lice pour le poste de Mme Albrecht ?" Ariadne ne pouvait pas contenir son envie de rire. "Je préfère de loin construire mon propre empire plutôt que d'être la femme trophée d'un homme."
À la mairie, ma voix est calme, ferme, alors que je prononce les mots : « Je veux divorcer. » Pourtant, une douleur familière me serre le cœur : le souvenir de ma vie passée, où mon fils, Léo, est mort de faim, de maladie, de négligence. Après lui, je suis morte de chagrin. Je savais ce qui allait arriver : l'emprise de Sophie, la descente aux enfers. Étienne, mon mari, capitaine de gendarmerie respecté, a juré de ne rien nous faire manquer, à Léo et à moi. Mais ses promesses se sont évaporées, étouffées par la culpabilité qu'il ressentait pour Sophie, la veuve de son frère. Les allocations de Léo finissaient dans la poche de Sophie, les jouets pour Chloé, alors que Léo portait des vêtements usés. La gifle qu'Étienne a infligée à Léo en public, aveuglé par les mensonges de Sophie, a scellé notre destin. Le souvenir le plus atroce : la fois où Sophie a forcé Léo à subir des tests douloureux, pour le seul bénéfice de sa propre fille, l'affaiblissant dangereusement. Cette fois, les choses seraient différentes. Je portais ce fardeau, cette terrible prescience de l'avenir. Je savais ce qui nous attendait si je restais avec lui : la mort certaine de mon enfant. La panique montait, la même qui m'avait étranglée sur mon lit d'hôpital après la première perte de Léo. Comment pouvais-je laisser cela arriver encore ? Puis, une seconde chance m' a été offerte, une opportunité inouïe. Pour sauver mon fils. J' ai pris sa petite main. « Léo, mon chéri, on va faire un pari. » « Si papa, quand il rentre, vient nous voir en premier, maman ne divorcera pas. » Je savais que c' était un pari perdu d' avance. Mais Léo devait le voir pour lui-même, et ma détermination à le sauver devait être absolue. Quand Étienne est rentré, il a tourné les talons vers la maison de Sophie, sans même un regard pour nous, son panier de courses à la main. Léo a laissé tomber son dessin, une larme silencieuse coulant sur sa joue, confirmant l'amère vérité. Le pari était, comme prévu, perdu. Ma colère est devenue froide et tranchante, ma résolution inébranlable. Je devais partir. Pour Léo, je devais le sauver à tout prix. Peu importe les sacrifices.
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