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Résumé au premier chapitre 😍 Merci. .... La couleur des sentiments.
Résumé au premier chapitre 😍 Merci. .... La couleur des sentiments.
Chapitre 1: Ibekelia Ibague
****Ibekelia****
Je me réveille dans cette chambre d'hôtel, je me sens seul et coupable. Tous ces sentiments que je ressens sont du a ce choix que J'ai fait. La décision de continuer cette toxique relation avec cet homme. Pourtant, il y a de cela 1 an, je m'étais promis de ne plus retomber dans ses bras. Mais comment vais-je réussir à me détacher car il a toujours une emprise sur moi après toutes ces années.
J'ai cru que cette histoire était de l'ancienne... Mais hélas me revoilà à la case départ.... Je regarde l'horloge qui se trouve à ma gauche sur la table de chevet, il est pratiquement 10h du matin.
Je décide de me lever toute nue me dirigeant vers la salle de bain ; je prends soin de déposer mon Téléphone sur le lavabo. Je tourne le robinet du côté chaud et m'engouffre à l'intérieur. Je ressens la pression du jet d'eau sur mon corps...j'adore le contact de l'eau chaude sur ma peau... Les souvenirs de cette nuit avec lui envahissent mon esprit.
Je prends un gant avec du savon et commence à me frotter tout doucement en commençant par mon cou en me rappelant ses baisers si doux, le contact de ses mains sur ma poitrine... et là mon téléphone qui sonne qui me coupe totalement de ma rêverie.
Je le récupère au bord du lavabo, puis décroche sans même prendre la peine de regarder le nom de mon interlocuteur. Je reconnais la voix, c'est celle de ma grand-mère.
Mamie : kelia, tu es où ? Depuis que j'essaye de te joindre. J'ai besoin d'aide faut venir je t'attends à la maison Tchip !
Moi:Oh merde ! J'arrive dans 15 min Mamie.
Mamie: Oui 15 min, c'est ça. Clic !
Je me fais une douche rapide tout en ruminant : "Voilà, le retour à la réalité". Je me mets en face du lavabo en évitant de me regarder dans le miroir. Je me brosse les dents aussi vite que je peux.
Ensuite, je retourne dans la chambre chercher ma robe avec mes talons. Après avoir pris mon sac, je quitte rapidement l'hôtel, et trouve un taxi direction chez mes grands-parents à Sannois.
J'arrive chez eux dans les environs de 10 h 40. Mes grands-parents paternels vivent dans une maison à Argenteuil de 4 chambres avec salon, cuisines et douche bien équipées. Je passe par la porte de la cuisine qui se trouve à l'arrière de la maison.
Je la contemple ce petit bout de femme que j'adore qui n'est autre que ma grand-mère. Je vous présente Anne-Marie Ibague, elle est d'une beauté avec sa couleur noire ébène. Du haut de son 1m 55, c'est une femme très douce et attachante. Elle n'a jamais eu le besoin de travailler parce qu'elle a été mariée très jeune dès l'âge de 17 ans. Mes grands-parents ont eu deux enfants dont mon père est l'aînée.
Mais malgré ses 70 ans, elle reste toujours cette charmante dame avec beaucoup d'énergie et très intelligente.
Moi : Hello, la plus belle !
Mamie : tchip, toi c'est maintenant que tu arrives hein ? Depuis que j'essaye de te joindre. Dit-elle en me toisant comme à son habitue.
Moi : mais à la maison Mamie, lui faisant une bise sur la joue. Où est Papi ?
Mamie: je pense qu'il est en haut dans son bureau... Il ne faut pas durer là-bas, j'ai besoin de toi ici avec la nourriture.
Moi : OK !
Je sors de la cuisine et je traverse le salon et prends le chemin des escaliers. Tout le long du couloir, je contemple nos photos de famille accroché au mur. Elles sont toutes en noir et blanc, une idée de ma grand-mère. Je m'avance vers la porte au fond et je me mets à toquer.
Moi : l'élu de mon cœur ? Tu es là ? En ouvrant la porte.
Papi : rentre, c'est ouvert !
J'entre et il était debout dos à son bureau. Mon papi s'appelle Daniel Ibague. C'est un homme très imposant par sa taille. Il mesure 1m90 et il a 75 ans. Il faisait peur à pas mal des gens peut-être dû à son ancienne profession qui était général de l'armée de l'air au Gabon. Et comme tout général, il a gardé tous ses équipements et même ses guns qui sont bien visibles accrocher aux mures dans son bureau.
Papi(souriant) : mon rayon de soleil...Rentre ne reste pas devant la porte.
Je me suis précipitée dans ses bras, là où je me sens le mieux. C'est un homme strict mais à la fois doux et gentil avec un grand cœur comme sa femme.
Je quitte ses bras et contourne le bureau pour m'asseoir sur l'une des deux chaises en cuir marron en face de son bureau. Je prends une grande une expiration pour lui annoncer la nouvelle.
Moi : Papi, depuis je n'arrive pas me trouver un stage à Paris, donc je compte changer de province d'ici peu. Qu'est-ce que tu en penses ?
Papi : pourquoi prendre cette décision si soudaine ? Dit-il en s'asseyant.
Moi : j'aimerais changer d'air.
Papi : j'espère que c'est la vraie raison de ton départ.
Moi : oui, Papi ça l'est. (Bien sûr que non)
Papi : ok, pour ma part, il n'y a pas de problème. Mais il faudra tout d'abord en parler à ton père avant tout.
Je me mets à soupirer face à la réponse qu'il me donne.
Moi : je ne vois pas trop l'utilité vu que c'est mon choix et ma décision.
Papi : il reste ton père avant tout ! De surcroît, je pense qu'il ne refusera pas parce qu'il veut que tu rentres au Gabon.
Moi : je n'ai pas envie de partir au Gabon Papi et tu le sais bien me levant d'un coup... Vous savez tout ce qui s'est passé dans ce pays.
Papi : je le sais, mais ce n'est pas moi qui décide, mais ton père... Tu dois lui en parler...
Moi : je vais y réfléchir... En allant lui faire un bisou sur la joue... Je dois retourner en bas, ta femme m'attend pour que je l'aide avec la nourriture.
Papi : Hum, a tout à l'heure.
Je sors du bureau de mon grand-père tout en refermant soigneusement la porte derrière moi. Je commence à penser à mon dernier voyage au Gabon... c'est l'un des souvenirs que je n'aimerais pas ressasser. Je ne me sens pas encore prête à revenir dans ce pays .... J'entends ma grand-mère qui crie mon nom...Hum mieux je pars.
Je descends presque en courant pour la rejoindre en cuisine. Dès qu'elle me voit arriver à la porte, elle se met à me toiser...
Mamie : il faut venir prendre ma place ici, j'ai un peu mal au bras. Je dois aller mariner le poulet.
Mamie: Victor où est-il ? J'espère qu'il a déjà fait le feu pour le barbecue hein !
Victor apparent de nulle part.
Victor : mais la femme de ma vie, c'est en travaux... Oh ! Kelia, tu es là ? Je ne t'ai même pas vu arriver. Tu vas bien ?
Victor est mon petit-cousin, il a 17 ans et il est en premier S au Lycée Castega de Boulogne-Billancourt. C'est le fils du petit frère de papa, Patrick Ibague et sa femme Marine Ibague qui est française. ils ont eu deux enfants, Victor et sa petite sœur Victoria qui n'a juste que 7 ans. Hum laisser, c'est mon oncle qui a choisi les prénoms. Il a une petite pâtisserie dont il s'en occupe avec sa femme. Ils sont comme un peu mes deuxièmes parents.
Moi : hum comment tu ne m'as pas vu arriver? Toi-même, tu étais où ?
Victor : j'étais dans le garage, Papi ma demandé d'aller ranger certaines affaires dans le débarras.
Moi (le regardant étrangement) : hum petit je te vois venir.
Victor : bon, j'y vais, ma femme me regarde étrangement déjà. À tout à l'heure.
Pendant que je m'occupais de piler les feuilles de manioc soigneusement, ma grand-mère ouvrait le frigidaire pour sortir ces deux grosses bassines dont l'un était du poulet/cotis et l'autre quatre gros morceaux de poisson. Tout en les posant sur le comptoir, puis me demanda :
Mamie : Tu étais avec lui ce matin ? se retournant en me regardant...
Moi : non gardant toujours la tête dans mon pilon
Mamie : ah bon ? Donc pourquoi tu n'as pas répondu au téléphone ce matin ?
Moi : Je dormais Mamie.
Mamie : Tu ne sais pas mentir hein, on sait tous que tu es très matinal comme fille et tu savais que c'était le jour de l'anniversaire de ton grand-père !
Mamie: il est ou même celui qu'on appelle ton père là ? Toujours à venir en retard tchip
Victor : Papa, il m'a envoyé un message, il ne sera pas en retard cette fois-ci. Dit-il en s'en allant.
Moi : Mamie, je pense avoir bien pilé les feuilles de manioc, donc je peux les mettre déjà dans la casserole ?
Mamie : oui, tu peux, j'avais déjà fait le poisson fumé.
Moi : ok Chef.
Pendant que la cuisson se fait, je vais dresser la table. J'entends sonner à la porte et me précipite d'ouvrir pour savoir qui peut bien arriver si tôt. J'ouvre la porte et je vois ma tante Marine avec plein de course en main et derrière elle ma petite-cousine. Je me dépêche de l'aider en prenant les courses dans ses mains. Elle me faisant la bise...
Tante Marine : Ibekelia, tu vas bien ? Tu es arrivé depuis ? Dit-elle en posant les sachets de course sur la table à manger.
Moi : oui tata, il n'y a pas trop longtemps.
Tante Marine : ok alors, elle est ou ta Mamie ? J'ai apporté plein de petits trucs à grignoter et j'ai apporté le gâteau.
Moi : j'avais complètement oublié le gâteau !
Moi : tu vas bien ? En me tournant vers ma petite-cousine. Elle hocha la tête en guise de réponse.
Mamie : Kelia, c'était qui ?! Dit-elle en arrivant...
Moi : c'est tante Marine. Bon, je repars a mes casseroles
Merci beaucoup en lui faisant un câlin.
Tante Marine : Je vais faire la table.
Mamie : ok ma fille, moi, je vais finir ma cuisine. Elle repartant en cuisine.
Mamie en revenant a la cuisine....
Mamie : tu as fini avec les feuilles de manioc ?
Moi : oui, je pense que c'est cuit moi en remuant encore la sauce.
Mamie : ok, tu peux éteindre le feu. Tu pourras aussi aller prendre les deux grands plats de salades et les déposer sur la table ?
Moi : ok !
Je fais ce qu'elle me dit. Je prends une des assiettes et je passe par la porte de derrière qui donne directement sur la terrasse et le jardin. Ma tante me voit, et elle me prends les assiettes de salades en main pour les déposer sur la table. Pendant ce temps mon oncle qui apparaît...
Oncle Patrick : Kelia, tu vas bien ? En posant les plats sur la table.
Moi (souriante) : oui, ça va et toi ?
Mamie (arrivant) : Patrick, depuis que je t'attends hein. Il y a seulement ta femme qui est venue plutôt tchip. Dit-elle en le toisant.
Oncle Patrick : mais je suis la maman. En lui faisant un câlin.
Mamie : hum, en tout cas. Répondant à son câlin. Puis elle me regarde... Ibekelia va déjà te préparer les invités vont bientôt arriver.
Moi : OK.
Je laisse les grands en bas. Je rentre dans la maison et prends les escaliers pour me rendre dans ma chambre. Oui, mes grands-parents ont préféré laisser ma chambre telle qu'elle est au cas où j'aurais envie de passer le week-end ici. Ma chambre se trouve tout au fond du couloir juste à côté du bureau de papi.
Je suis en train de me changer quand j'aperçois à l'écran son prénom. C'était un message. Aussitôt, je me mets à lire : "Ma douce, j'espère que ça va ? Et que tu as bien dormi. Je m'excuse d'être parti si tôt, mais sache que je pense à toi. Bisous. A.B". Je remets mon phone dans mon sac, et je me dépêche vite puis je descends la rejoindre.
Mamie : hum, tu peux dire aux invites qu'on passe à table.
Je retourne au salon pour leur transmettre le message de Mamie que tout est prête.
Nous voilà tous à tabler, mon grand-père comme à son habitude, à chaque repas, c'est lui qui dirige la prière. Puis finit la prière, nous commençons à nous servir dans une bonne ambiance.
Nous entendons sonner à la porte. Ma grand-mère se lève pour aller voir... J'entends un rire que je connais très bien.
Lui : bonjour, j'espère ne pas être en retard... En posant les yeux sur moi en souriant.
Résumé au premier chapitre 😍 Merci de me lire ... La couleur des sentiments ❤️
Linsey s'est fait poser un lapin par son fiancé pour s'enfuir avec une autre femme. Furieuse, elle s'est emparée d'un inconnu au hasard et a déclaré : « Marions-nous ! » Elle a agi sous le coup de l'impulsion, réalisant trop tard que son nouveau mari était Collin, qui a la réputation d'être un loser. Tout le monde s'est moqué d'elle, et même son ex lui a proposé de se réconcilier avec elle. Mais Linsey n'a pas hésité à refuser. « Mon mari et moi sommes très amoureux ! » Tout le monde pensait qu'elle délirait. Puis Collin s'est révélé être l'homme le plus riche du monde. Devant tout le monde, il s'est agenouillé et a brandi une magnifique bague en diamant. « J'ai hâte que nous soyons ensemble pour toujours, chérie. »
"Je ne veux pas que tu me marques", ai-je dit rapidement. "Pourquoi ?" me demanda-t-il, son ton semblait calme mais je savais qu'il était loin de l'être. "J'ai un engagement envers ma meute" lui ai-je dit, espérant qu'il comprendrait, mais à mon grand étonnement, ses yeux étaient maintenant sombres et il tenait ses paumes en un poing serré. "Tu es mon compagnon Templar, tu appartiens à ma meute" dit-il d'un ton condescendant. Mon sang se mit à bouillir devant le ton qu'il employait avec moi. Personne ne me parle comme ça. Personne. "N'utilise pas ce ton avec moi, Everett. Tu n'es pas mon Alpha, je réponds à..." aucun, allais-je dire, mais je dus me mordre la langue pour changer cela. Je n'étais pas prête à lui dire que j'étais la seule métamorphe blanche, pas prête à lui dire que j'étais l'Alpha de ma meute. Alors j'ai encore menti.
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