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La souffrance d’un milliardaire

La souffrance d’un milliardaire

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Résumé

Table des matières

Selon certaines personnes, la souffrance était uniquement destinée aux pauvres, alors que ce n’était pas le cas. Comment est-il possible qu’un milliardaire aussi aille souffrir ? À travers la lecture de cette histoire, nous allons tous découvrir le motif de la souffrance d’un grand milliardaire. C’est une histoire triste, mais aussi très intéressante.

Chapitre 1 Le départ

**Lila**

Je suis une veuve, âgée de cinquante-deux ans et je n’avais qu’une jeune fille très sexy et attirante, âgée de vingt-deux ans. Plusieurs garçons se sont emportés par la beauté de cette dernière et ils ne faisaient que la déranger chaque jour. Cela me faisait très mal, car si elle ne faisait pas attention, elle pourrait finir sa vie dans la prostitution. Mon mari était mort, lorsque sa fille n’avait que deux ans. À chaque fois que je me souvenais de la mort de mon mari, je ne faisais que couler mes larmes. Grâce à Dieu, j’ai pu m’occuper des études de ma fille jusqu’à l’obtention de son diplôme du baccalauréat. Heureusement, elle a décidé de ne plus continuer ses études universitaires et cela était une grande joie pour moi, car je n’avais plus les moyens pour supporter ses frais de scolarité. Le seul problème qui était entre ma fille et moi, c’était que je ne lui ai jamais parlé de son père, malgré son âge. Un jour, je me suis rendue chez elle dans sa chambre pour discuter avec elle à propos de son père.

_ Noamie, lève-toi, on va parler sérieusement.

Noamie : parler sérieusement ? À propos de quoi ?

_ Vas-tu te lever et écouter ce que j’ai à te dire ou comment ?

Noamie : hum, je suis désolée alors.

Elle s’est levé sur son lit et assise à côté de moi. J’allais lui raconter tout concernant la mort de son père depuis, mais c’était très difficile pour moi, car à chaque fois que je me rappelle à ça, je m’inondais dans les larmes. Avec beaucoup de tristesse, j’ai pu narrer tout à mon unique fille. Elle aussi avait de l’air de quelqu’un qui voulait pleurer, mais je l’ai serré dans mes bras.

Noamie : maman, je sais que cette histoire est très triste pour toi, mais il fallait au moins me la raconter depuis non ! C’est à l’âge de vingt-deux ans que je sois au courant que je suis une orpheline de père ? Hum…

_ Je suis désolée mon amour. Si je ne t’avais pas pu te raconter ça, c’était parce que j’étais incapable. Je n’avais pas le courage de te dire tout cela.

Noamie : arrêtes de pleurer ! La seule chose qui m’a beaucoup touché, c’était que je n’arrive pas aussi à répondre à mes camarades, s’ils me posaient des questions concernant mon père.

_ S’il te plaît, pardonne-moi ! Tout cela était de ma faute.

Noamie : maman, ne parles pas comme ça, car rien n’était pas de ta faute. Je te remercie infiniment, car tu m’as élevé, malgré tout ce qui s’est passé. Je te promets que je ferai tout possible pour te rendre la mère la plus heureuse du monde.

Je me suis au moins sentie très bien en écoutant la parole de ma fille. J’étais très confiante qu’un jour, elle allait me rendre heureuse. Je me suis retournée dans ma chambre pour lui apporter la photo de son père. Quelques minutes après, je suis revenue chez elle. Dès qu’elle a vu la photo de mon mari, elle s’est mise dans les larmes. C’était très triste pour moi plus qu’avant et je me suis dite que si je savais, je n’allais pas lui montrer cette photo.

**Marcel**

Je suis le jeune, le plus entrepreneur dans notre pays, précisément dans la ville de Kinshasa. Malgré mon âge, mais j’étais le plus populaire et le plus milliardaire grâce aux héritages de mon père. Il était également l’un des plus grands entrepreneurs, mais après sa mort, je suis devenu le plus riche à cause de mon niveau intellectuel. Heureusement, il avait bel et bien fondé les entreprises, donc moi je ne faisais que les élargir. Je commandais mes marchandises depuis la Chine, les grands pays de l’Europe, aux États-Unis etc…. On dirait que nous nous sommes tous bénis dans notre famille, car l’argent n’était aucun problème pour nous. Malgré la richesse des membres de ma famille, mais j’étais le plus milliardaire. Je n’avais que trente ans, mais j’ai tissé des relations amicales avec les plus grands milliardaires africains, européens, américains etc…. À cause de leurs conseils et aides, je me sentais très heureux, car j’étais sûr que j’allais toujours avancer dans mes activités. Après avoir pris mon petit déjeuner, j’ai appelé mon chauffeur et dans un instant, il est venu chez moi. Après avoir échangé quelques conversations avec lui, nous sommes partis. Il s’est concentré sur le volant et ne me parlait même plus.

_ Parfait !

Parfait : oui patron ! Un souci ?

_ Qu’est-ce qu’il ne va pas ?

Parfait : puis-je vous poser une question ?

_ Vas-y !

Parfait : pourquoi vous n’avez jamais amené votre fiancée à la maison ?

J’ai un peu souri sans répondre à mon chauffeur. Il voulait parler encore, mais au même moment, j’ai reçu un appel. C’était l’une de mes employées. Elle était la seule personne qui me dérangeait avec l’affaire des relations amoureuses, mais je m’en foutais de ses pagailles. Ah oui, moi je considérais tous ces trucs comme de la pagaille et c’était aussi vrai. Mon seul problème, c’était de bien développer mes entreprises dans le pays afin d’être toujours le plus riche. Je n’avais même pas le temps pour les filles, malgré mon âge. J’ai raccroché l’appel et j’ai décidé de répondre à mon chauffeur.

_ Si je n’ai jamais amené une fille à la maison, c’est parce que je n’en ai aucune.

Il se mettait à rire après ma réponse. Il avait parfaitement raison, car c’était un peu bizarre cette réponse.

_ Qu’est-ce qu’il te fait rire ?

Parfait : votre réponse !

_ D’accord !

Parfait : c’est vrai ce que vous venez de me dire ?

_ Si tu veux, crois-moi, si tu ne veux pas, c’est ton problème.

Il s’est choqué et ne parlait plus. Quelques minutes après, nous sommes arrivés devant le portail de mon entreprise la plus grande. Je suis sorti de la voiture et Parfait s’est retourné à la maison. Je me suis premièrement rendu chez ma secrétaire qui me dérangeait chaque jour avec ses histoires d’amour. Elle s’est concentrée sur son ordinateur avant mon arrivée. Dès qu’elle m’a aperçu devant la porte, elle s’est levé pour me saluer.

_ Comment vas-tu ?

Edwige : je vais bien et vous ?

_ Puis-je savoir la raison pour laquelle tu m’appelais ?

Edwige : c’était juste pour savoir pourquoi vous êtes un peu en retard ce matin.

_ C’est très gentil de ta part !

**Edwige**

J’ai fait tout possible pour le conquérir, mais c’était toujours en vain. Il était très élégant, musclé avec son visage très attirant, charmant, etc, mais sans petite amie. Moi-même je savais qu’il n’avait pas encore aucune petite amie et c’était la raison pour laquelle je me battais toujours pour tisser une relation avec lui. Après sa sortie, moi aussi je me suis dirigée vers le bureau de mon patron pour le déranger encore. J’ai frappé à la porte et il m’a demandé de faire mon entrée.

Marcel : encore un souci ?

_ Je peux savoir pourquoi vous ne voulez pas encore vous marier ?

Marcel : quand est-ce que je t’ai dit que je ne voulais pas encore me marier ?

_ Hum….

Marcel : Edwige, si tu continues toujours avec tes dérangements, tu seras virée dans cette entreprise.

J’ai tellement eu peur et je suis vite sortie du bureau. Malgré tout, je ne voulais pas perdre ma place dans cette entreprise, car il nous payait bien. Une fois arrivée dans mon bureau, j’ai allumé mon ordinateur et je me suis concentrée sur mon travail. Quelques minutes après, mon patron m’a envoyé un message en me demandant de venir le voir dans son bureau. Avec beaucoup de précipitations, je suis arrivée chez lui.

Marcel : rappelle-moi le nom de ton pays !

_ Je suis ivoirienne. Je viens de la Côte-d’Ivoire.

Marcel : d’accord ! Peux-tu me trouver une jeune fille très dynamique de votre pays ? Celle qui sera en mesure d’être la comptable.

_ Pas de souci, mais il y a plusieurs jeunes filles dans ce pays qui sont à la quête du travail non ?

Marcel : moi-même je sais la raison pour laquelle je veux une fille étrangère.

_ D’accord, j’ai une amie togolaise, donc je vais lui écrire cette nuit.

Marcel : si tu es sûre qu’elle pourra faire le travail, moi-même je vais gérer le côté du transport.

Il y avait une fille qui me dérangeait sur Facebook depuis, donc je voulais lui donner cette opportunité. Je me suis retournée dans mon bureau et la première des choses que j’ai faite, c’était de lui laisser un message en lui demandant son numéro de téléphone afin de bien discuter avec elle après. Quelques heures après, je suis arrivée à la maison et après avoir mangé, j’ai pris mon téléphone pour discuter avec mon amie. Heureusement, elle m’a laissé son numéro de téléphone, donc je l’ai directement appelé.

Noamie : allô !

_ Oui ma chérie, c’est ton amie Edwige sur Facebook.

Noamie : oh ma chérie, je suis très ravie d’avoir eu ta nouvelle.

J’ai bien discuté avec Noamie cette soirée et heureusement, elle aussi a accepté de travailler dans l’entreprise de mon patron. Immédiatement, j’ai envoyé un message à mon DG et il était très content.

Quelques mois plus tard.

**Noamie**

Dieu était vraiment miraculeux. Je rêvais depuis d’aller dans un pays étranger et par sa grâce, j’allais y aller. Comme de la pagaille, tout était prêt pour mon voyage dans deux mois seulement. J’ai profité pour suivre une formation en comptabilité durant ces deux mois afin d’être en mesure de bien travailler là-bas. J’avais tellement hâte d’aller à Kinshasa, non seulement pour travailler, mais aussi pour découvrir la différence entre cette ville et la mienne. Durant toute la nuit, je ne faisais que penser à ce voyage. Le lendemain matin, je me suis réveillée très tôt avec une petite tristesse, car ma mère allait beaucoup me manquer après mon départ. Au moment où je voulais me rendre dans la douche, mon téléphone se mettait à sonner et c’était mon amie Edwige. Sûrement, elle m’appelait à propos du voyage, donc j’ai vite décroché l’appel.

_ Bonjour ma chérie !

Edwige : j’espère que tu t’es bien réveillée ce matin non !

_ Très bien même ! J’ai vraiment hâte de te rencontrer aujourd’hui.

Edwige : de même que moi !

_ Ne t’inquiète pas, je serai là dans trois heures de temps.

Edwige : bon, il faut que je te laisse. Bon voyage à toi !

_ Merci beaucoup ma copine ! N’oublie pas de me réserver un bon plat hein !

Edwige : je t’ai réservé plus de cinq différents plats, donc il faut vite venir les déguster et mettre la différence entre eux.

J’étais très contente avant de raccrocher l’appel, car j’allais tisser une relation amicale avec la personne la plus exceptionnelle de ma vie. Après le bain, je suis allée prendre mon petit déjeuner avant de partir. Ma mère était très triste, mais elle n’avait pas d’autre choix que de prier pour moi. J’ai mis mes bagages dans un taxi et nous avons pris la direction de l’aéroport.

Lila : tu vas beaucoup me manquer.

_ Hum maman, ne t’inquiète pas, car on pourra discuter sur WhatsApp chaque jour.

Lila : d’accord ! S’il te plaît, je ne veux pas que tu te traînes là-bas hein.

_ Maman, aies confiance en moi ! Je te promets que je ne ferai pas des bêtises là-bas.

Lila : que Dieu soit avec toi !

_ Amen ! Je voulais te demander quelque chose depuis hier soir.

Lila : vas-y !

_ Est-il possible d’engager une relation amoureuse avec quelqu’un là-bas ?

Lila : tu as vingt-deux ans et tu n’es plus une gamine. Tu es libre de t’engager dans une relation, mais je veux que ça soit sérieuse.

_ D’accord !

Quelques temps après, j’ai fait mon entrée dans l’avion.

À suivre….

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