/0/5044/coverbig.jpg?v=f64030d947de1fa798bf156c495775db)
Tout allait bien jusqu'au jour où il m'a dit vouloir prendre une deuxième femme...
Tout allait bien jusqu'au jour où il m'a dit vouloir prendre une deuxième femme...
Qui suis-je pour porter un jugement négatif sur la polygamie qui reste une tradition dans bien des pays d'Afrique. Pour certains, il ne faut pas juger la polygamie uniquement comme une violence faite à la femme : Elle conserve toujours un pouvoir d'arbitrage sur la gestion en commun de la famille élargie. Oui entre autre. Un raisonnement que je n'ai jamais compris et peut-être que je ne comprendrai jamais.
Ici ce que je vois là, dehors, dans la plupart des familles polygames, les coépouses portent bien souvent sur leurs épaules les souffrances à tous les sens du terme, certaines même y laisse la vie. Ma mère a été épargnée de cette souffrance parce que quand je suis venue au monde, ma mère était et a toujours été la seule femme de mon père jusqu'à son dernier souffle. Dieu a fait grâce à mes parents de huit enfants, j'ai grandi avec mes quatre frères et mes trois sœurs. Comme dans la plupart des familles africaines, on était aussi des bouches à nourrir. Que ce soit beau, moche, difficile ou facile, rien n'empêche le temps d'agir. Nos parents ont répondu a l'appelle de Dieu à trois ans d'intervalle, les uns après les autres, nous avons tous quittés le nid familial et nous faire une place dans la vie. C'est une chance pour une mère de voir ses enfants rejoindre leur foyer, une chance que ma mère n'a pas eu. C'est aussi une bénédiction pour tout enfant de réaliser ce rêve en présence de leurs parents. Contrairement à mes autres sœurs, j'ai été la plus chanceuse lorsque je suis tombée sur Djadjé. Un homme qui par sa bravoure a su se faire une place dans la vie et dans mon cœur. On s'est aimé, rien ne peut entraver notre union, même attendre la fin de mes études serait une perte de temps. Avec l'accord de mon oncle, notre mariage a été célébré avec tous les honneurs. J'ai rejoint mon foyer, seulement une année après notre mariage, le destin a frappé. Mon beau-père nous a quittés. Mon mari qui était orphelin de mère vient le rejoindre dans le rang des orphelins des deux parents. La vie est cruelle et ne fait pas de cadeau surtout avec l'âge. Partageant la fraternité avec son seul frère, l'héritage a été reparti entre deux. Pour ne pas renoncer, mon mari a emboité les pas de son père dans le commerce. Comme je vous le disais, par sa bravoure, mon mari a remis sur pied deux magasins de son père qui lui revenait de droit. Un mari aimant mais très occupé par son travail, à la maison il m'apporte tout l'amour que je mérite. Une vie plus ou moins tranquille que je mène dans mon foyer mise à part qu'un ventre vide d'une femme est une malédiction. C'est ce que ma mère me disait, elle priait toujours que le bon Dieu touche nos ventres, nous ses filles. Trois ans, que j'ai les yeux et le cœur sur Dieu. Va-t-il un jour répondre à mes appels ? Il est le miséricordieux, c'est lui qui essuie toute larme, je lui confie toutes mes peines. Trois bonnes années que je cours derrière un miracle mais le temps de Dieu n'est pas celui des hommes. Jour après jour, impuissante face à la situation, mon mari s'impatiente et il me le fait comprendre à sa manière. Une sorte de tension est née dans mon foyer, il s'est fragilisé jusqu'à ce qu'il retrouve au bord de la ruine. Depuis que j'ai épousé Djadjé, je n'ai pas eu d'autre copine que Betty. Pour voir le sourire un jour dessiner sur mes lèvres, elle m'a toujours accompagné dans mes démarches. Elle a toujours été là pour moi. Elle passe souvent me voir, c'est elle qui me remonte le moral. Betty (en tapant dans ses mains) : Toc ! Toc ! Il n'y a personne ici ou quoi ? Moi (dans le salon) : Entre Betty, je suis là. Betty (en rentrant) : Et c'est calme ici on ne dirait pas possible. Moi (debout) : Salut ma chérie. On se fait le biz, Betty me regarde avant de faire le tour du salon des yeux et je jette sur le fauteuil. Betty : Où est l'idiot du village ? Moi (en souriant) : A une heure ci ? Il est sorti depuis le matin. Betty : Alors tu es prête ? Moi (en m'asseyant) : Oui mais... Betty : Mais quoi ? Moi (gênée): Tu sais, je veux bien mais... Je ne suis pas trop tranquille avec ce genre de chose. Betty (Sérieuse) : Tu vas arrêter pour toi hein ! Avec quel genre de chose tu n'es pas tranquille ? Regarde, ne m'énerve pas hein. Moi (désolée) : Ok c'est bon, ne te fâches pas, je prends mon sac. Betty (avec un tchrrr) : Tu aimes trop ça. Je me lève et me rend dans la chambre pour prendre mon sac. Je suis ressortie trouvée Betty déjà sortie de la maison pour m'attendre sur la terrasse. Moi : On y va ! Elle me devance, cette femme est très nerveuse par moment. Depuis quelques jours, elle m'a parlé d'une vieille dame qui a aidé par mal de femmes à avoir des enfants après des années de mariage sans suite. Je suis pour la médecine moderne mais en ce qui concerne les féticheurs, que ce soit jeteuse de cauris, marabouts, je me suis toujours réservée. Mais qu'est-ce qu'on ne fera pas et acceptera pas de faire pour avoir un enfant ? Accompagné de ma meilleure copine, on s'est rendu chez cette vieille. J'ai répondu à ses questions, elle m'a dit quoi faire et pour couronner le tout, elle m'a dit que je dois me lever, mon foyer ne tient plus. Ces dires ne m'ont pas trop surpris, ça je ne le savais déjà. On a fait environs trente minutes chez cette vieille, Elle m'a donné des flacons de potions pour me laver avec, je dois aussi boire et me purger aussi. Si tout va bien et si je suis correctement ses dires, j'aurai un enfant. C'est après qu'on a été faire un tour chez Betty avant que je ne rentre chez moi. Comment être en confiance ? J'ai tellement tourné en rond dans les cliniques, les pharmacopées que je ne sais plus à quoi ni à qui faire confiance. Cette même nuit, je ne vais pas commencer le traitement sans le dire à mon mari. J'ai attendu l'arrivée de mon mari, pendant qu'on était sur table, Moi (gênée): Chéri, je t'attendais, j'ai quelque chose à te dire. Djadjé (indifférent): De quoi s'agit-il ? Moi : Avec Betty, on a été voir une vieille dans la journée. Elle m'a donné des produits. Je te montre. Je sors de la table pour lui rapporter les flacons contenant les potions. Moi (arrêtée): Voici, elle m'a dit quoi faire et je voulais dès ce soir commencer le traitement. Je lui tends les flacons, il ne me regarde pas, il ne les prend pas dans ma main, Il ne répond non plus pas. Il continue son dîner. Moi (toujours debout): Voici ce qu'elle m'a donné. Djadjé (le nez dans l'assiette): A quoi bon ? Moi (étonnée) : A quoi bon ? Comment ça à quoi bon ? Il jette la cuillère sur le reste de son diner dans l'assiette, croise ses mains devant lui. Il me regarde, ensuite ma main tendue avec les flacons. Djadjé (calme): ça tombe bien, moi aussi je voulais te parler mais pas à propos de ce que tu tiens dans ta main. Ça tu peux en faire ce que tu veux mais sache que je ne vais plus attendre là, à ne rien faire. Moi (étonnée) : Comment ça ? Je ne te comprends pas. Djadjé (sérieux): Écouter moi bien femme, que ce soit un membre de ta famille, ton ami ou même ton pire ennemie, si une personne te dépasse en matière d'enfants, il te dépasse en tout. Moi (déterminée): Mais c'est justement pour ça je suis aussi engagée Djadjé. Djadjé (calme): Je ne dis pas non mais reconnais que ton engagement ne donne pas de résultats. J'ai besoin d'un enfant et même si possible un enfant mal à qui je transmettrais mon héritage. Moi (surprise): Du coup tu me parles comme ça. Est-ce que de ma faute Djadjé ? Si on n'arrive pas à avoir un enfant, c'est de ma faute ? Djadjé (nerveux): Et qui donc la faute ? A ce que je sache, c'est toi qui es censé le porter non ? Je ne vais pas attendre jusqu'à ce que je sois en manque de force. Trop de bavardage, Si toi tu n'arrives pas à le faire, eh bien quelqu'un d'autre le fera. Moi (très surprise): Pardon ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ? Djadjé (décidé): Parce que je ne suis pas assez claire ? Je veux te dire par là que je vais prendre une autre femme. Moi (le corps glacé): Quoi ? Djadjé ? Parce que Dieu ne m'a pas encore fait grâce tu veux faire venir une autre femme dans cette maison ? Djadjé (très décidé): Trois ans de mariage sans enfants, tu ne trouves pas que j'ai été patient durant toutes ces années ? Trop c'est trop. Moi (en m'asseyant): S'il te plaît chéri, tout comme toi, je veux bien de cet enfant. Tu ne peux pas comprendre ce que je traverse, même regarder dans les yeux des autres femmes et dire que je suis une femme mariée, je n'ai même plus ce courage. Je prie jours et nuits et je sais que Dieu va nous faire grâce. Il nous donnera un enfant parce que je t'aime plus que tout. Djadjé (furieux) : Assez femme, ça suffit maintenant. J'ai trop entendu ça et je suis fatigué d'attendre. Je prends une autre femme un point c'est tout et tu dois t'y faire parce que ma décision est prise. Coup de tonnerre, mes coudes sur la table, je lève les mains et les yeux vers le ciel qui vient de s'écrouler sur ma tête. Mon mari m'abandonne en larmes, il sort de la table sans finir le reste de son dîner. Il remonte les manches de son boubou sur les épaules et disparait dans la chambre. Comment trouver le sommeil ? Comme avoir la force d'encaisser à la fois mon manque d'enfant et une telle mauvaise nouvelle ? Cette nuit a été la plus difficile depuis que j'ai dit oui à mon mari. Dans la chambre, malgré mes supplications, mes deux genoux à terre et mains sur ses pieds, mon mari m'a tourné le dos. C'est avec les yeux rouges que j'ai quitté le lit très tôt le matin. J'ai repris désespérément mon ménage, un mari décidé qui est sorti de la maison sans prendre le petit déjeuner, c'est dans un silence de cimetière sans s'adresser la parole qu'on s'est quittés. Dans mon foyer, plus rien ne sera comme avant. Deux jours que je déprime, je ne sais plus à quel saint me vouer. Vivre une telle situation et toujours avoir foi en Dieu, il faut vraiment avoir du caractère surtout en tant que femme. J'ai commencé à me poser des questions. J'ai toujours été dans la prière, mes genoux sont toujours fléchis devant le bon Dieu. Pourquoi moi ? Pourquoi reste-t-il sourd et ferme les yeux sur mes larmes ? Les réponses se trouvent certainement ailleurs et j'irai moi-même les chercher. Pourquoi rester à attendre ? Un mari comme le mien a horreur qu'on lui tienne tête. Il est guidé par son instinct d'homme d'affaires comme il le prétend, il n'aime pas perdre la bataille à plus forte raison face une femme. Ce que j'ai redouté et pensé tout bas est fini par arriver. Et si c'est ma mère qui avait raison en me disant qu'un ventre vide d'une femme est une malédiction. Aujourd'hui c'est je vais prendre une autre épouse, qu'est-ce qu'il me dira demain ? J'ai toujours vécu avec mes problèmes d'enfant, Dieu seul sait combien je supporte ces coups de la vie. Je n'ai plus aucune force d'affronter un autre problème, je ne suis pas prête à rivaliser avec une autre femme. Monsieur peut prendre sa femme, elle sera sa seule femme. Moi je m'en vais.
C'est l'histoire de Sarah une jeune orpheline qui connaîtra souffrance et maltraitance, mais qui n'abandonnera jamais jusqu'au jour où elle verra le bout du tunnel. Bannir de son village, elle devint nomade sans le vouloir elle et son frère... cette migration de village en village était comparable au tunnel mensionner plus haut donc c'est en effectuant cette migration qu'elle trouvera l'amour de sa vie qui lui sortira de cette misère ce qui constituera le bout du tunnel (la fin de la souffrance).
C'est l'histoire d'un jeune homme prénommé Daniel qui, gentil, aimable et très amoureux de Naomi se trouvera confronté à une situation dans laquelle son instinct d'homme ne lui offrirait qu'une seule possibilité de gérer cette situation ce qui changera le cour de sa vie et celle de son père et tout ceci par la faute de Naomi sa petite copine qui ne veut pas assumer ses responsabilités.
On dit souvent que les chrétiens sont parfaits mais il y a certains qui cachent bien leu jeu.
L’amour poussent les gens qui ne sont pas censés se mettre ensemble à le faire mais les conséquences ne tardent pas souvent à arriver.
Je l'avais que 15 ans mon père a décidé de me donner en mariage à Hassan Keita un riche homme d'affaires.
Dans certaines régions du Bénin, les traditions ancestrales demeurent et beaucoup d'innocents se trouvent engloutis par leurs conséquences. Epouse de mon beau-frère est une histoire qui relate la vie d'une jeune femme a qui la vie souriait à pleines dents et dont le destin fut modifié par l'action de certaines personnes. Réussira-t-elle à dépasser son passé et à envisager un avenir serein ?
Janet a été adoptée quand elle était enfant, pour les orphelins, c'est comme un rêve devenu réalité. Cependant, sa vie était tout sauf heureuse. Sa mère adoptive l'a constamment raillée et brutalisée. L'amour et l'affection familiaux qu'elle a jamais connus venaient de la vieille domestique qui l'a élevée. Malheureusement, la domestique est tombée malade, les parents adoptifs de Janet ne voulaient pas payer ses frais médicaux sauf si Janet remplacer leur fille biologique pour épouser un homme tristemet célèbre. Serait-ce un conte de Cendrillon ? Mais l'homme était loin d'être un prince, à l'exception de sa belle apparence. Ethan était le fils illégitime d'une famille riche qui menait une vie insouciante et avait du mal à joindre les deux bouts. Il s'est marié pour réaliser la dernière volonté de sa mère. Cependant, lors de sa nuit de noces, il a constaté que sa femme était différente qu'il l'avait cru. Le destin avait uni ces deux personnes qui avaient tous les deux de profonds secrets. Ethan était-il vraiment l'homme qu'on pensait qu'il était ? Étonnamment, il ressemblait étrangement à l'homme le plus riche et le plus mystérieux de la ville. Découvrirait-il que Janet l'a épousé à la place de sa sœur ? Leur mariage sera-t-il un conte romantique ou un désastre total ? Lisez la suite pour découvrir l'histoire de Janet et Ethan.
"Dans son cœur, elle était la femme, celle qui a voulu se marier à lui par crochet ou escroc pour obtenir son nom, avec le statut et le pouvoir. Cinq ans d'humiliation, cinq ans de mépris et cinq ans de torture. Au cours du temps, tout cela consumait peu à peu son amour pour lui. Au retour de son véritable amour, elle savait que c'était temps de quitter et de mettre fin à leur mariage. En pensant à lui, elle a signé l'accord de divorce et est partie. Elle voulait que ce soit un dernier vadeau. Cependant, une colère et un silence sans bornes l'attendaient. Mais cette fois, elle voulait vivre pour elle-même ! Vers où ira leur histoire ? Découvrons Le retour de mon ex-mari avec Manobook."
La belle-mère de Natalie l'a piégée pour qu'elle épouse Jarvis, un homme défiguré et handicapé. Heureusement, elle a réussi à s'enfuir, mais elle était loin de se douter que dans l'avenir prochain, elle tomberait amoureuse de l'homme auquel elle s'était fiancée. Jarvis prétendait être un homme pauvre. Lui non plus, il ne s'attendait pas à avoir le coup de foudre pour cette femme. Leur vie paisible continuait jusqu'au jour où Natalie a découvert le petit secret de son petit ami. « Hein ? Comment peux-tu avoir des milliards de dollars d'actif ? », a-t-elle demandé, incrédule. Jarvis ne savait comment répondre. Face à ce silence, elle a serré les dents avec colère. « Ils ont dit que tu ne pouvais pas marcher, mais d'après ce que j’ai vu, tu es assez fort pour courir un marathon. » Il est resté silencieux. Natalie a continué, « Ils ont même dit que tu n’avais que quelques années à vivre. Et maintenant ? » Enfin, Jarvis a ouvert la bouche pour expliquer. « Chérie, ce n'est qu'un malentendu. S'il te plaît, calme-toi. Pense au bébé. » « Jarvis Braxton ! » L'homme s'est immédiatement mis à genoux.
« Vous êtes seulement ma femme par le nom, sur papier. Mon cœur et mon amour ne t'appartiendront jamais. » Edward a fait clairement comprendre à Rocío qu'elle n'était rien pour lui. Ils ont été tous les deux victimes de l'avidité de leur famille : il s'agissait d'un mariage arrangé. Six ans s'étaient écoulés. Elle a gagné son calme et en même temps une réputation de colonelle coriace dans l'armée. Quand elle est entrée de nouveau dans la vie de cet homme, Edward est tombé amoureux de cette femme, plus que toutes celles qu'il avait connues. Son apparition a été une surprise pour lui. Mais Rocío l'acceptera-t-elle cette fois-ci ? Leur fils parviendra-t-il à les garder ensemble ? Le fossé qui les séparait pourra-t-il disparaitre ? Choisissez cette histoire et découvrez-le !
"J'ai entendu dire que tu allais épouser Marceau. Est-ce peut-être ta revanche contre moi ? C'est très risible, Anneli. Cet homme peut à peine fonctionner." Sa famille d'accueil, son ex-infidèle, tout le monde pensait qu'Anneli allait vivre un enfer pur après s'être mariée à un homme handicapé et cruel. Elle ne savait pas si quelque chose de bon en sortirait, après tout, elle avait toujours pensé qu'il serait difficile pour quelqu'un de l'aimer, mais cet homme cruel avec des secrets sombres ne va jamais lui accorder un divorce, car elle le fait oublier comment respirer.
Médecin de renommée mondiale, PDG d'une société cotée en bourse, mercenaire la plus puissante et génie technologique de premier plan, Marissa était une femme aux innombrables identités secrètes. Elle a caché sa véritable identité et s'est mariée avec un jeune homme apparemment pauvre. Cependant, à la veille du mariage, son fiancé, qui était en fait l'héritier perdu d'une riche famille, a annulé les fiançailles, l'a rabaissée et s'est moqué d'elle. Lorsque son identité cachée a été révélée, son ex-fiancé était stupéfait et l'a désespérément suppliée de lui pardonner. Un magnat influent et intimidant devant Marissa a déclaré d'un ton possessif : « C'est ma femme. Qui ose l'approcher ? »
© 2018-now Kifflire
TOP