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En tant que « dame de fer » du vin bordelais, ma vie était une course effrénée. Mon fils Léo et mon château semblaient ma seule stabilité. Pourtant, une photo sur le blog de l'école de Léo m'a glacée : un gâteau et une tenue identiques à ma commande pour lui, chez un autre enfant. Coïncidence ? Mon mari, Jean-Pierre, m'a dit oui. Mais l'école éluda, l'article disparut. Au château, Léo était amaigri, couvert de bleus. Les caméras ont révélé l'horreur : Martine, sa gouvernante et cousine de Jean-Pierre, le maltraitait, volait nos biens pour son petit-fils Hugo et le droguait chaque soir. La rage m'a submergée. Comment cette trahison abjecte avait-elle pu se dérouler sous mon toit ? Mon fils était en danger, et j'avais été aveugle. J'ai mené Léo à la gendarmerie. Là, le choc suprême : Hugo, face à nous, a crié « Papa ! » en désignant mon mari. Jean-Pierre était son père caché ! Il a brutalement repoussé Hugo, le blessant gravement, avant de me hurler : « Divorçons ! J' exigerai la moitié de TON héritage ! » Mais forte de mes dernières découvertes, mon sang-froid était intact. J'avais les preuves d'une fraude massive, touchant des millions de mon domaine. Son règne s'achevait.