Lire pour plus ! Histoire d'amour avec pour personnages Ariana Grande et Tatiana Mendoza (fictive).
Je me réveille une seconde fois avec retard. Mon premier jour d'école et je suis déjà en retard, super ! Le proviseur ne manquera pas de me sermonner mais qu'est-ce que je m'en tape !
â Tatiana Mendoza ! 'Crie ma mĂšre en montant les escaliers.
Je me dĂ©pĂȘche de retirer mon pyjama et de filer Ă la salle de bain. Je dois avouer que j'abuse mais elle n'avait qu'Ă venir me rĂ©veiller plus tĂŽt.
â Tati n'essaye pas de m'embobiner, je sais bien que tu viens d'entrer dans cette salle de bain. 'Crie-t-elle Ă travers la porte.
â DĂ©solĂ©e m'man.
Je peux l'entendre soupirer puis s'en aller. AprĂšs avoir terminĂ© ma toilette, j'enfile mes vĂȘtements voir mĂ©dia. Comme vous aurez pu le remarquer, je ne suis pas super fĂ©minine et c'est ce qui fait mon charme.
Je descends les escaliers mon sac en main, j'aperçois ma petite sĆur devant la tĂ©lĂ©. Je lui tire les cheveux et elle me fusille du regard avant de me lancer un coussin. Je me rends dans la salle Ă manger. J'embrasse ma mĂšre qui sortait en mĂȘme temps.
â Alors t'es prĂȘte pour ta rentrĂ©e ? 'Demande ma mĂšre.
â Je prĂ©fĂšre les vacances mais ouais. Normal.
â Je ne pourrai pas te conduire au lycĂ©e, j'ai une rĂ©union. Prends les clĂ©s de la-.).
â La Bugatti Divo ! 'Dis-je avant de me prĂ©cipiter au garage.
â Une seule Ă©gratignure et je te coupe les vivres chĂ©rie ! 'Crie ma mĂšre.
Cette voiture était mon plus grand fantasme ! Elle avait été offerte à ma mÚre par mon pÚre, le jour de son anniversaire. Je récupÚre les clés sur le tableau et je me dirige vers celle-ci avec admiration.
â Ă nous deux ma belle. 'Dis-je Ă l'objet de mes fantasmes.
Je m'engouffre dans la voiture en direction de l'Ă©cole. Je vais peut-ĂȘtre me prendre une amende pour excĂšs de vitesse, mais ça en vaut le coup.
Quelques minutes plutard, je reçois un message de la part de Jaelyn, une amie. Je dĂ©cide de le lire sauf qu'Ă ce moment, une voiture fonce sur moi pour dĂ©vier, elle dĂ©rape et je freine automatiquement. Ma tĂȘte heurte lĂ©gĂšrement le volant, mais le drame est quand mĂȘme Ă©vitĂ©.
Je lĂšve la tĂȘte avec une lĂ©gĂšre douleur Ă la tempe et je peux voir une fille sortir de cette voiture. Elle Ă©tait vraiment paniquĂ©e. Elle se dirige vers moi et lorsqu'elle essaye d'ouvrir ma portiĂšre mais qu'elle n'y arrive pas, je la dĂ©condamne moi-mĂȘme.
â Putain ! Je suis dĂ©solĂ©e. 'Dis-je lorsque j'aperçois l'Ă©tat de sa voiture aprĂšs ĂȘtre descendue.
â Oh ça ? Ce n'est rien. Vous allez bien ? 'Demande-t-elle super inquiĂšte.
â Je vais parfaitement bien, mais ce n'est pas le cas de votre voiture. Tout est de ma faute, j'aurai dĂ» ĂȘtre plus vigilante. 'Dis-je en me reprenant peu Ă peu.
â Je crois que tu as reçu un sacrĂ© coup. Tu tiens Ă peine sur tes jambes. 'Dit-elle en sortant une serviette.
Elle se dirige vers moi et sors de son sac un peu d'eau qu'elle verse sur la serviette avant de la tapoter sur ma blessure.
Je grimace lĂ©gĂšrement et elle se retient de rigoler. Lorsqu'elle eu terminĂ© mes soins, elle me remet la serviette au cas oĂč la plaie se remettrait Ă saigner. Elle se dirige Ă sa voiture complĂštement abĂźmĂ©e voir dĂ©truite par ma faute. Mon mal s'estompe peu Ă peu et j'admire sa silhouette, elle est brune.
Elle avait en sa possession une Rolls-Royce Motor Cars et ce n'est pas rien ça putain ! Cette fille me semblait familiĂšre, mais d'oĂč ? Je l'ignorais. Elle portait des lunettes de soleil et un chapeau comme pour masquer son identitĂ©.
â Je crois que tu devrais y aller. J'ai fait appel Ă quelques connaissances, elles ne devraient pas tarder. 'Dit-elle en brandissant son tĂ©lĂ©phone.
â Je peux au moins vous dĂ©poser et pour votre voiture j-.).
â J'ai bien aperçu ton sac et je crois que tu dois te rendre Ă l'universitĂ© c'est cela ? 'Demande-t-elle.
â Euh non, au lycĂ©e. 'Dis-je.
â Raison de plus pour que tu ne t'occupes pas de moi. 'Dit-elle durement avant de s'en aller.
Je suis secouée par tout ce qui vient se passer et voir que mon charme venait de se faire lamentablement ignorer mon humeur descend au plus bas. Je m'engouffre dans la voiture de ma mÚre et je me rends au lycée. Quelques minutes plutard je stationne sur le parking du lycée, puis je descends mon sac sur le dos.
Je ne suis pas totalement en retard mais quand mĂȘme, je me prĂ©cipite Ă ma salle de classe car mon premier cour du jour c'est l'histoire amĂ©ricaine, super ... notez l'ironie. J'ouvre la porte et je remarque qu'il n'y a pas de professeur. J'aperçois donc mon amie Jaelyn ainsi que d'autres amis qui s'excitent lorsqu'ils m'aperçoivent.
â Il est oĂč le prof ? 'DemandĂ©-je surprise.
â Un peu en retard. Putain qu'est-ce que tu m'as manquĂ© ! 'Crie Jae en venant m'enlacer. Mais c'est quoi ça sur ton front ? 'S'inquiĂšte-t-elle.
â Ouais je sais. Et rien, ce n'est pas tellement nouveau ça. 'RigolĂ©-je.
Je vais m'asseoir dans le fond et Jae s'assoit sur ma table. Elle Ă©tait vĂȘtue d'une minie jupe, Tyler se met Ă la siffler et elle lui fait un doigt.
â Bouge ton cul de ma table, tu vas le rendre accro. 'Dis-je en poussant ses cuisses de lĂ .
â Eh ! Je rends tout le monde accro. 'Dit-elle avant de faire valser sa chevelure.
â Pas moi.
â T'es un animal, ça se justifie. 'Dit-elle en haussant les Ă©paules.
Je n'ai pas eu le temps de riposter que la porte s'ouvre sur le prof. Il entre sans la fermer alors les autres Ă©clatent de rire. Il n'y a rien de comique je trouve.
â Entrez donc mademoiselle. N'ayez crainte. 'Dit-il en regardant Ă travers l'angle de la porte.
Les autres Ă©clatent une seconde fois de rire car ils le trouvent paranoĂŻaque. Je sors mon bloc note et un crayon et je me mets Ă Ă©crire je ne sais quoi. Tant que ma main bouge, peu importe. Un silence se fait entendre puis des murmures d'admiration et de jalousie.
Je relĂšve la tĂȘte et une fille brune fait son apparition. Elle Ă©tait belle, oui mais c'est tout. Pas de quoi s'extasier de mon point de vue. Elle observe d'un Ćil la classe, elle m'adresse un bref coup d'Ćil. Je me remets Ă Ă©crire sans prĂȘter attention Ă sa prĂ©sentation sauf que je sens un regard sur moi, ce n'est pas nouveau mais ce regard me procure comme une sensation particuliĂšre ?
Je lĂšve la tĂȘte de mon bloc et mon regard croise celui de la brune, je me remets Ă Ă©crire.
â Pssst ! 'Fait Kylah.
â Quoi ? 'Fais-je dĂ©sintĂ©ressĂ©e.
â La nouvelle et toi ? Vous vous connaissez ? 'Demande-t-elle.
â Non. Je ne l'ai jamais aperçu pour ma part et peut-ĂȘtre que si mais je n'y ait pas prĂȘtĂ© attention. 'Dis-je.
â Tatiana ... tu as un comportement beaucoup trop lasse, elle a le mĂȘme style que Lex, cette fille est complĂštement ton style. 'Dit Kylah en soupirant.
â Kylah, Lex est morte et je veux qu'on Ă©vite ce sujet. 'Dis-je en serrant les poings.
â Non ! Ăa fait deux ans que tu as cessĂ© de vivre pour cette fille et j'en ai marre de voir ma meilleure amie bloquĂ©e dans le passĂ© ! 'S'Ă©nerve-t-elle.
â Mademoiselle Mendoza, mademoiselle Turner, je vais vous demander de faire silence au risque d'ĂȘtre expulsĂ©es ! 'S'Ă©crie le prof.
Jae s'excuse mais moi je range mon crayon et mon bloc note dans mon sac, je me précipite en direction de la sortie et je lance un regard lasse à la brune avant de m'en aller en prétextant problÚme personnel au prof.
Une fois dans la cour, je repĂšre le banc isolĂ© que j'affectionne tant et je vais m'y poser pour me vider la tĂȘte. Les souvenirs de Lex me reviennent en tĂȘte sauf que je les balaie. J'ai envie de fumer n'importe quoi. Je sors mes Ă©couteurs que j'enfonce dans mes oreilles avant de faire passer cette chanson qu'elle adorait tant Don't worry be happy.
Here's a little song i wrote,
You might want to sing it note for note,
Don't worry be happy,
In every life we have some trouble,
But when you worry you make it double,
Don't worry be happy,
Don't worry be happy now.
Sur ces paroles je ferme les yeux et je m'endors sans m'en rendre compte.
â âȘïž Two hours later
â Allez, debout ! 'Crie Kylah.
â Putain casse-toi, j'ai pas envie de te parler.
â Et Ă moi ? Tu ne veux pas me parler aussi ? 'Demande Jayse.
J'ouvre mon Ćil gauche et je souris lorsque j'aperçois Jayse accompagnĂ© de Brandon, Jaelyn et Nolwen.
â Tati, je suis dĂ©solĂ©e. Je l'ai pas contrĂŽlĂ© et je m'en excuse. 'Dit-elle avec une moue mignonne.
â Je ne t'en veux pas, ce n'est pas de ta faute. 'Dis-je aprĂšs un soupir.
Nous discutons de tout jusqu'à ce que le sujet se porte inévitablement sur la nouvelle.
â Je dois avouer qu'elle est canon la nouvelle ! 'Dit Brandon.
â Ce n'est pas possible d'ĂȘtre belle Ă ce point, j'ai comme l'impression qu'elle nous cache tout l'aspect de sa beautĂ©. 'Dit Jayse.
â Ouais, moi aussi. D'ailleurs je lui ai proposĂ© de se joindre Ă nous si vous le permettez. 'Dit Jae.
â Ouais pas de problĂšme sauf si Tatiana n-.).
â Qu'est-ce que je m'en fou qu'elle soit prĂ©sente ou pas. 'Dis-je rĂ©ellement dĂ©sintĂ©ressĂ©e.
Je prends mon sac que je balance sur mon dos avant de rejoindre mon cour. J'ai pas de rĂ©els motifs pour ĂȘtre absente alors je me dois d'ĂȘtre prĂ©sente. Je frappe et le prof me donne sa permission, j'ouvre la porte et je me dirige Ă ma place du fond sauf que la nouvelle se trouve Ă la table juste devant. Je souffle avant de rejoindre ma table.
Je m'assois sous quelques regards peu discrets de certaines filles. Je sors mes affaires et je vois la nouvelle dessiner une fleur, la mĂȘme que celle de mon tatouage. Elle n'aurait pas pu l'identifier en si peu de temps ou alors, m'observe-t-elle car mĂȘme sur mes rĂ©seaux il est trĂšs peu visible pour ĂȘtre reprĂ©sentĂ© Ă la perfection comme elle vient de le faire.
Qui est cette fille ? Que sait-elle ?
Le cours se poursuit mais je suis totalement désorientée car cette fille me rendait quelque peu souciante. Je n'ai pas suivit le cours que j'entends la sonnerie retentir.
Je range mes affaires car c'est la pause midi, je me dirige à l'extérieur sans attendre ma bande d'amis. Je n'ai pas signé pour ça moi, je n'imaginais pas ma rentrée aussi ....
â Euh Tatiana ... ? 'M'interpelle une jeune fille de troisiĂšme.
â Hum ?
â Je tenais Ă te dire que tu Ă©tais super belle et que tu me plai-.).
Je n'ai pas le temps d'entendre entiÚrement sa phrase que Jaelyn et Sab m'emportent avec elles. Je crie un désolée à la jeune fille et je pars avec mes deux amies.
â On t'a cherchĂ© partout ! T'es super bizarre depuis. Tu nous en veux toujours ? 'Demande Jae.
â Non.
â Bon viens, rejoignons Willow et les garçons avant qu'ils ne la violent la pauvre. 'Rigole Sab.
Je ne dis rien et je me contente de simplement les suivre. Une fois Ă la cafĂšte nous rejoignons les autres, ils avaient tous entourĂ©s la nouvelle. Je la plains la pauvre. Elle semblait Ă la fois gĂȘnĂ©e et dĂ©sintĂ©ressĂ©e. J'en profite pour l'analyser. Elle est juste brune, jolie et c'est tout.
â Salut. 'LĂąchĂ©-je Ă la nouvelle avant de prendre place en face d'elle.
Elle m'observe sans Ă©mettre un son.
â Salut. 'RĂ©pond-t-elle.
Je m'attendais Ă un vent mais bon. Elle a intĂ©rĂȘt parceque si c'Ă©tait un vent, aucune parole sortant de ma bouche ne lui aurait Ă©tĂ© adressĂ©e. Peut-ĂȘtre qu'avec les autres elle s'intĂšgrera plus facilement mais avec moi ce n'est pas gagnĂ©. J'ai du mal ou du moins je n'apprĂ©cie pas la compagnie humaine.
â âȘïž 15h
Il s'agissait lĂ de la fin des cours. Je me dirige au parking oĂč se trouvait la voiture de ma mĂšre. J'introduis mon sac Ă l'intĂ©rieur de celle-ci, lorsque je m'apprĂȘte Ă m'y installer j'entends Madison.
â Salut. Je n'ai pas voulu te dĂ©ranger de la journĂ©e, j'ai appris ton embrouille avec Jae. 'Dit-elle timidement.
â Oh ce n'est rien. Je sais faire la part des choses tu sais ? 'Dis-je.
â Bon bah je vais y aller. Ă demain ou ce soir. 'Dit-elle en venant dĂ©poser un baiser au coin de mes lĂšvres.
â Bye. 'Dis-je en lui adressant un signe de main.
Elle part et je la regarde s'en aller. Qui est Madison ? Une autre fois. Je me retourne pour reprendre mes actions sauf que mon regard croise celui de Willow. Elle me lance un regard noir avant de dĂ©tourner la tĂȘte et de s'en aller.
Je n'y prĂȘte pas attention et je m'installe confortablement dans la voiture. Pas d'excĂšs de vitesse cette fois.
Il n'y avait qu'un seul homme dans le cĆur de Raegan, et c'Ă©tait Mitchel. Dans la deuxiĂšme annĂ©e de leur mariage, elle est tombĂ©e enceinte. La joie de Raegan Ă©tait sans limites. Mais avant qu'elle puisse annoncer la nouvelle Ă son mari, il lui a remis les papiers de divorce car il voulait Ă©pouser son premier amour. AprĂšs un accident, Raegan gisait dans une mare de son propre sang et appelait Mitchel Ă l'aide. Malheureusement, il est parti avec son premier amour dans ses bras. Raegan a Ă©chappĂ© Ă la mort de justesse. Par la suite, elle a dĂ©cidĂ© de reprendre sa vie en main. Son nom Ă©tait partout quelques annĂ©es plus tard. Mitchel est devenu trĂšs mal Ă l'aise. Pour une raison quelconque, elle a commencĂ© Ă lui manquer. Son cĆur se serrait lorsqu'il la voyait tout sourire avec un autre homme. Il a fait irruption Ă son mariage et est tombĂ© Ă genoux pendant qu'elle Ă©tait Ă l'autel. Avec des yeux injectĂ©s de sang, il a demandĂ© : « Tu m'as dit que ton amour pour moi Ă©tait inĂ©branlable, non ? Comment se fait-il que tu te maries avec quelqu'un d'autre ? Donne-moi une autre chance, s'il te plaĂźt ! »
Kalinda Mon cĆur est comme du verre cristallin trĂšs fragile. Il se briserait Ă rien. Non. Je corrige! Il a dĂ©jĂ Ă©tĂ© brisĂ©. PiĂ©tinĂ© encore et encore par mes parents adoptifs et ma sĆur cadette. AussitĂŽt que cette naissance miraculeuse est survenue dans la famille, de ma petite sĆur adorĂ©e⊠Je n'Ă©tais plus la saveur du jour. Je n'avais plus le moindre intĂ©rĂȘt. Papa! Maman! Pourquoi m'avoir adoptĂ©e, si c'Ă©tait pour m'abandonner, de mĂȘme que l'avaient fait mes parents biologiques avant vous? Je ne comprends pas! Je ne peux me battre. Je ne peux me dĂ©fendre. Je ne dois mĂȘme jamais m'agiter⊠plus que de raison! C'est ce que me disent mes parents adoptifs depuis toute petite! Parce que mon cĆur est fragile. Eh oui, vous l'avez bien compris! En plus d'ĂȘtre si durement traitĂ©e depuis l'enfance⊠Je suis aussi atteinte d'une maladie chronique. Je ne peux en aucun cas m'agiter⊠ce qui risquerait d'aggraver ma situation. Je me suis donc enfermĂ© dans le silence. Dans un parfait anonymat, acceptant la dĂ©faite contre ma sĆur cadette encore et encore⊠Acceptant l'Ă©loignement constant de mes parents, petit Ă petit... jusqu'Ă ĂȘtre reniĂ©e et chassĂ©e de ma propre maison! Acceptant l'abandon et le rejet si cruel de tous les gens qui m'Ă©taient si proches! Acceptant aussi tous mes rĂȘves brisĂ©s. Mais c'Ă©tait avant qu'il entre dans ma vie⊠lui⊠cet homme qu'on dit pourtant si dur et si cruel avec le sexe faible! Lui dont les femmes disent Ă Orlando qu'il a un cĆur de glace! Il est devenu ma rĂ©demption. Mon jardin secret. Ma fragile espĂ©rance. Ma vie peut-elle vraiment changer? Le soleil peut-il entrer dans ma demeure? C'est le rĂȘve trĂšs vivide que William Fairsight tente de me vendre quand je le trouve Ă mon chevet Ă mon rĂ©veil, dans cette chambre d'hĂŽpital si froide et impersonnelle, et qu'il affirme que ma maladie n'est pas du tout incurable tel qu'on me l'avait laissĂ© croire jusqu'ici. William Fairsight m'a redonnĂ© vie. Comment pourrais-je lui tĂ©moigner mon Ă©ternelle reconnaissance? «Ăpousez-moi!» ordonne-t-il d'une voix qui est sans appel. «Ma vie vous appartient.» lui dis-je alors, d'un seul souffle. Il est mon sauveur, mon libĂ©rateur. MĂȘme s'il dĂ©sirait m'infliger les pires tortures imaginables, tout cela pour son plaisir personnel, je l'accepterais sans hĂ©siter! Mais William Fairsight est-il vraiment ce sadique empli de cruautĂ© que toutes ces femmes dĂ©crivent? Petit Ă petit j'apprends Ă dĂ©couvrir que derriĂšre cette façade trĂšs cruelle, se cache en fait un homme trĂšs tendre!
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Pour rembourser la dette, désespérée et sans choix, elle a remplacé la mariée et a épousé l'homme qui était connu comme un démon redouté par tout le monde. Mais aprÚs avoir connu sa douceur, il s'est soumis progressivement à sa compagnie. Avant qu'il ne s'en rende compte, il était déjà incapable de se libérer d'elle. Comment cet amour conditionnel continuerait-il ? Voulez-vous connaßtre le suite de leur histoire
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En tant que simple assistante, envoyer un message au PDG en pleine nuit pour demander des films pornos Ă©tait une initiative audacieuse. Sans surprise, Bethany n'a reçu aucun film. Cependant, le PDG a rĂ©pondu qu'il n'avait pas de films Ă partager, mais qu'il pouvait offrir une dĂ©monstration en direct. AprĂšs une nuit pleine de passion, Bethany Ă©tait certaine de perdre son emploi. Mais au lieu de cela, son patron lui a proposĂ© : « Ăpouse-moi, s'il te plaĂźt, rĂ©flĂ©chis-y. » « M. Bates, vous vous moquez de moi, n'est-ce pas ? »