Envolée meurtrière ou amoureuse ? L'histoire d'amour de deux femmes : une aux allures masculines et l'autre aux allures féminines.
Envolée meurtrière ou amoureuse ? L'histoire d'amour de deux femmes : une aux allures masculines et l'autre aux allures féminines.
Le matin de la réunion cruciale, vêtue d'un costume taillé sur mesure, je traverse l'entrée du siège social avec une aisance naturelle. Mon apparence résolument masculine attire les regards, mais c'est ma prestance qui captive réellement l'attention. Les employés s'inclinent légèrement, exprimant leur respect tacite envers moi, la fille de Arlo Thornfield. Sachant que derrière mon apparence se cache une force entrepreneuriale indéniable.
Mes pas assurés résonnent dans le hall luxueux, créant une aura de confiance qui ne laissent personne indifférent. En chemin, je salue les employés d'un signe de tête, répondant aux politesses avec un léger sourire.
Arrivée à l'ascenseur, je croise le regard de mon frère Reese, qui porte une expression de défi.
- En mode homme d'affaires aujourd'hui, Ellery ? Reese demande d'un ton moqueur.
- Toujours, Reese. C'est ce qui compte ici, non ?
L'ascenseur s'ouvrît sur la salle de réunion, où nous nous préparions à défendre nos idées.
Dans la salle de réunion, le décor était sobre et élégant. Le long de la table en bois poli, des dossiers soigneusement préparés attendaient les protagonistes. J'entrai d'un pas assuré, mon frère me suivant de près. Nos regards s'affrontèrent, révélant une rivalité profonde.
Notre père, assis à la tête de la table, leva le regard à notre entrée.
- Bien, commençons. Il dit d'un ton calme mais autoritaire.
Nous prenons place, face à face. Les regards échangés étaient emplis de rivalité.
Je pointe du doigt un graphique sur le tableau.
- Regarde ça, Reese. La stratégie de croissance que j'ai développée apporte une stabilité à long terme.
Reese croise les bras.
- Stabilité? On parle d'affaires ici, pas de construire des châteaux en Espagne. Ma proposition générera des profits immédiats.
La discussion s'intensifie, chaque mot prononcé résonnant comme un coup dans notre duel entrepreneurial.
- Les profits immédiats peuvent être éphémères. Mon approche assure une croissance durable et une fidélisation client.
Alex, avec un sourire moqueur croise les doigts.
- Tu es trop idéaliste, Ellery. Les chiffres parlent d'eux-mêmes, et les actionnaires veulent des résultats concrets.
- Assez, vous deux. Présentez vos plans de manière concise et pragmatique. Mon père intervient pour calmer les esprits.
Le débat se poursuit avec une série d'arguments chiffrés, de graphiques et de projections.
Je décide de porter le coup de grâce à Reese, en remettant en question une de ses hypothèses.
- C'est une stratégie risquée. On ne peut pas garantir le succès en se basant uniquement sur des tendances passées.
Reese ayant visiblement anticipé, contre avec assurance.
- Le risque est une partie intégrante des affaires, Ellery. Il faut être audacieux pour réussir.
Les employés observaient en silence, captivés par le duel verbal qui se déroulait devant eux. Les alliances se formaient discrètement, chaque camp cherchant à influencer les personnes clés.
Entre les débats tendus, le personnel de l'entreprise entre discrètement, apportant du café pour tenter de nous rendre cette réunion confortable.
Secrétaire, souriante mais prudente s'approche de moi.
- Café pour la réunion ?
Je lui réponds d'un bref hochement de tête avant de me reconcentrer sur les affirmations de mon frère.
Les tasses fumantes sont déposées devant moi et Reese, mais même ce geste courtois ne parvint pas à m'alléger. Chacun sirote son café, gardant un œil sur l'autre.
Finalement, mon père prend une décision.
- Ellery, je te confie cette affaire. Je crois en ta vision à long terme.
Un silence lourd de conséquences envahit la salle, marquant le début d'une nouvelle ère pour moi dans l'entreprise familiale.
- Tu as réussi à me convaincre. C'est ton plan qui sera mis en œuvre.
La victoire dans mes yeux contraste avec la déception de Reese.
- Alors Reese, ça fait quoi d'être une seconde fois tapis dans mon ombre ?
- Ferme-la tu veux ? C'était un coup de chance, rien de plus.
- Un coup de chance quatre fois d'affilée ? Tu dois sacrément être malchanceux toi.
- Je vous prie d'arrêter les comportements immatures. Nous sommes au-delà des querelles préadolescentes. Ellery, veille à utiliser le jet privé pour conclure l'accord et accomplir les autres responsabilités qui t'incombent.
Il se lève à la fin de ces mots et part. Je récupère mes dossiers et je pars à mon tour. Je pense que je vais y aller, et de plus la ville dans laquelle je me rend est très belle.
Lorsque je me dirige vers mon bureau, je rencontre mon père qui me cherchait sans doute.
- Mon chauffeur te conduira sur le tarmac peu importe le jour, mais le plus tôt sera le mieux.
- Je compte m'y rendre dès maintenant. J'avais déjà anticipé tout ça et ma valise se trouve dans mon coffre, préviens ton chauffeur.
- Je suis fier de toi Ellery, il me tape chaleureusement le dos.
Je lui adresse un sourire chaleureux avant de laisser mes directives à mon assistante, concernant mon voyage et toute la paperasse que je lui confie jusqu'à mon retour.
(...)
Sur le tarmac, le jet privé m'attend, symbole de la responsabilité nouvellement confiée. À ma montée dans le jet, je remarque immédiatement l'hôtesse de l'air. Cependant, au lieu de l'accueil professionnel auquel je m'attendais, elle affiche une attitude qui trahit clairement des intentions autres que professionnelles. Ses yeux ne quittent pas mon père, Arlo Thornfield, et son sourire suggère une familiarité déplacée.
Mon instinct entrepreneur s'aiguise, et je ne tarde pas à comprendre la situation. Cette femme semble avoir perdu toute professionnalité en présence de mon père. Les lignes entre le personnel et la famille semblent s'estomper à ses yeux.
Cette confusion inacceptable ne passe pas inaperçue. Alors que nous sommes en altitude, je m'approche de cette dernière, lui faisant part de mon mécontentement quant à son comportement inapproprié.
Ma décision est sans appel : elle est renvoyée sur-le-champ.
- Votre conduite ne correspond pas aux normes professionnelles de cette entreprise. Je vais devoir vous demander de quitter le jet. Nous aurons quelqu'un d'autre pour assurer le service. Je l'informe avec fermeté.
Surprise et gênée, elle quitte le jet sous mon regard impassible. Les règles sont claires, même à des milliers de pieds au-dessus du sol.
- Qu'est-ce qui s'est passé mademoiselle Thornfield ? Pourquoi l'hôtesse vient de s'en aller alors que nous allons bientôt décoller ?
- Choisissez mieux les membres d'équipage. Cette femme avait des attentions autres que professionnelles, vis-à-vis de mon père.
- Je vous prie de m'excuser mademoiselle. Je tacherais d'être plus prudent la prochaine fois.
- Cela ne fait rien. A l'atterrissage, vous pourrez vous concentrer sur la recherche d'une nouvelle hôtesse, je termine avant de rejoindre le siège passager, en attendant que nous atterrissons il fallait que je travaille sur ce dossier.
- J'ai discuté avec le pilote El, je pense que tout se passera bien. Je ne pourrai pas t'accompagner alors tu iras avec mademoiselle Rockefeller, il m'informe à la dernière minute.
Sérieusement ? J'aurais préféré m'y rendre avec Reese plutôt que Peyton. Finalement, j'aurais peut-être dû voyager avec mon assistante. Je me surmène, alors que je ne désire même pas prendre la relève dans l'entreprise familiale. Que c'est barbant.
- Cela sous-entend que le vol est retardé jusqu'à son arrivée ?
- Non, elle est déjà dans la ville avec les entrepreneurs. Elle tâte le terrain. Bon je dois y aller, bon voyage.
Il part et je soupire.
- Mademoiselle Thornfield, votre assistante a fait parvenir ça pour vous.
- De quoi est-ce qu'il s'agit ? Je demande peu intéressée.
- De votre emploi du temps.
Elle alors, toujours organisée. Si j'étais ici, c'était pour clore le plus rapidement que possible ce dossier et profiter de cette ville pour me prélasser.
(...)
L'atterrissage se déroule sans encombre, et à ma descente du jet, Peyton Rockefeller m'attend déjà sur le tarmac. Son regard captivant et son sourire charmeur témoignent de son assurance habituelle.
- Ellery, quel plaisir de te revoir.
Je lui réponds d'un bref sourire, tout en m'assurant que le dossier est en ordre. Nous prenons place dans la voiture qui nous mènera à la demeure des Thornfield. Sur le trajet, Peyton engage la conversation.
- Alors, cette réunion cruciale a-t-elle été à la hauteur de tes attentes ?
- C'était un succès, comme prévu. Mon père a décidé de mettre en œuvre mon plan.
- Félicitations. C'est une nouvelle étape pour toi.
Je hoche la tête, consciente des implications de cette victoire dans l'arène des affaires familiales. Cependant, mes pensées se tournent rapidement vers le dossier dont je m'apprête à m'occuper.
- Peyton, parlons affaires. J'ai appris des choses cruciales lors de la réunion. Les chiffres ne sont qu'une partie de l'équation. Les relations et les alliances sont tout aussi importantes.
Mes paroles intriguent Peyton.
- Qu'as-tu découvert ?
J'analyse un instant le dossier.
- Reese et Alex ont leurs propres réseaux d'alliances au sein de l'entreprise. Il ne s'agit pas seulement de chiffres, mais aussi de la capacité à influencer les personnes clés. Nous devons jouer intelligemment.
Peyton acquiesce, comprenant la complexité de la situation.
- Tu sais, tu devrais te ménager. Tu viens à peine d'atterrir que tu parles du boulot. Je suis sûre que dans le jet, tu avais encore le nez dans ces papiers.
- C'est bien pour ça que je suis là, Peyton. Pour le boulot.
Plus personne ne parle et cela me fait plaisir, car partager un dossier avec mon ex était une chose, mais qu'elle commence à prétendre s'inquiéter pour moi était une tout autre chose.
À mon arrivée à la demeure des Thornfield, les employés se précipitent pour m'aider à décharger mes affaires du véhicule, exprimant leur respect envers moi. Le luxe et le raffinement de la demeure étaient fort plaisant.
Au milieu de cette scène, une domestique se distingue par sa grâce et son professionnalisme. Ou du moins, par ses formes qui m'attirent et son beau visage.
- Quel est son prénom ? Je demande à Vincent, le majordome.
- Elena, mademoiselle.
- Merci, Vincent. Comment se porte votre famille ?
- Ils vont tous bien mademoiselle, c'est très aimable de votre part, de porter un intérêt à ma famille.
- C'est naturel Vincent, je lui touche amicalement l'épaule avant de reporter mon regard sur Elena.
Son nom est Elena. Elle dirige l'équipe d'employés avec une assurance discrète, veillant à ce que chaque détail soit pris en compte.
Mon regard se croise brièvement avec celui d'Elena, qui détourne timidement le regard. Un sourire en coin étire mes lèvres, timide ? Cette interaction n'échappe pas à Peyton Rockefeller, qui observe la scène avec un intérêt mal dissimulé. La jalousie s'inscrit brièvement sur son visage, masquée sous un sourire poli.
- Ellery, on dirait qu'Elena a attiré ton attention. Une nouvelle amie, peut-être ?
- Elle semble être une employée exceptionnelle. La qualité du service est essentielle, n'est-ce pas ? Je laisse apparaître un sourire énigmatique.
- Bien sûr, Ellery. Je suppose que tu auras une équipe à ta mesure. Elle sourit faussement avant de me libérer de sa présence.
Enfin, si j'avais su que mater une autre fille l'aurait éloigné de moi, je l'aurai fait depuis bien longtemps. Je monte dans les appartements, me changer avant de réfléchir à comment faire venir Elena, dans mes appartements.
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