De l'autre côté

Prologue

Borgia fini de faire ce qu’il avait à faire et quitte d’au dessus mon corps.

J’aurai dû arreter dès la premiere fois ,j’aurai dû le stopper. Mais j’ai laissé le gout de l’interdi me submerger et surtout,j’ai cru que j’en etais amoureuse.

Je ne l’aimes pas , aujourd’hui je le sais mais c’est trop tard car il ne semble pas encrain à me laisser tranquille.

Dès qu’il sait que les parents ne sont pas la, il debarque et me couche . Je me sens comme une simple poupée sexuelle,un instrument pour son plaisir.

Borgia(mettant son slip): qu’est ce que tu es bonne Do!

Je relèves ma couverture sur mon corps et me tournes face contre mon bureau. Sur ma table se trouve des livres, notament zadig de voltaire. J’ai beau avoir decouvert il y’a quelques mois qu’il etait raciste,cela n’empeche pas le fait qu’il reste mon ecrivain et philosophe preféré. Je me dis juste que malgré son intellegence et sa sagesse,il n’a pas su avoir une vision propre. Il a juste fait pareille que ceux de son temps car l’exclavage etait bien un apanage de ce temps là non ? Pour etre assouvi,le noir se devait d’etre inferieur,le statut d’etre doué d’intelligence enlevé et…..

Borgia(haussant le ton): Dorelle je te parles !

Je me retournes et le regardes , il est beau mon cousin. Avec son gabari , sa peau noir luisante,il m’a rendu dingue la premiere fois qu’il m’a souri de ses dents blanches. J’avais alors cru que c’etait un coup de foudre. Peut etre que s’en etait un , un coup de foudre qui s’est dissipé au fur et a mesure que je me suis rendu compte de l’etre abjecte et meprisant qu’il peut etre parfois, quand je ne fais pas ce qu’il veut. Car aussi longtemps que je suis douce, il ne sevi pas.

Borgia(me caressant la cuisse): tu peux passer demain au bureau ? J’aurai un petit cadeau pour toi.

Moi (regardant le plafond): je n’ai pas envie de passer demain a ton bureau.

Borgia (serrant ma cuisse): mais tu vas le faire !

Je bouges affirmativement la tête. J’ai essayé de me revolter,de le quitter pffff chose impossible ! Mes parents l’adore,toute la famille l’adore et c’est lui qui sera cru , moi pas. Voilà ce qui arrive quand tu traines une identité de petite rebelle et d’enfant gaté.

Comment ma vie a basculé aussi vite?je me le demandes bien.

Je croyais vraiment l’aimer, j’ai essayé de lutter contre ce sentiment, mais c’etait comme une attraction entre deux aimants. Je n’y arrivais tout simplement pas. Et il a fini par avoir raison de ma faible resistance.

Borgia: hey ! Tu parais ailleurs,qu’est ce qui se passe dans ta petite tête ?

Moi: rien.

Borgia (me regardant en souriant): es que tu m’as dit vrai quand tu as dis que ta belle mère et tes soeurs vont rentrer à 19 h ?

Moi(le regardant): je t’ai dit ce qu’elle m’a dit avant de sortir.

Borgia(se lechant les lèvres): je penses qu’on peu encore tiré un coup non ? Tu n’as pas envie bébé?

Je me lèves a la suite de cette phrase en me couvrant de mon drap. Il est hors de question qu’il me touche encore,je ne le veux pas,je n’en ai pas envie.

Moi: tu avais dit que c’etait la derniere fois!

Borgia(souriant): j’ai menti !

J’ouvres la bouche afin de lui envoyer tout ce que je penses de lui au visage,mais je ne le fais pas. La derniere fois que je l’ai fait,ça c’est mal passé alors j’evites de le mettre en colère. Je ne veux pas que mes parents sachent ce que l’on a fait.

Borgia(s’approchant de moi): ne fait pas cette tete,tu ne vas pas me dire que tu n’aimes pas Do. Tes gemissements,ton souffle court montrent très bien comment tu adores mes coups de reins ! Alors arrete de faire ta vierge effarouchée (amusé) tu ne l’es plus bébé!

Moi (les larmes aux yeux): tu avais dit que c’etait la derniere fois ! Je ne veux plus Borgia ! Je ne veux plus ! Tu abuses de moi! Je n’en peux plus , je veux retrouver ma vie !

Il envoie une grosse gifle sur ma joue, je recule de deux pas. Il s’avance encore pour me frapper;afin d’eviter de me retrouver avec un oeil au bord noire au moment où les parents sont en ville, je lui avoue ce que je caches. Peut etre qu’il me laissera enfin tranquille ! J’en ai tellement marre !

Moi(cachant mon visage): je suis enceinte !

Le coup qui devait s’abbatre sur moi, semble s’etre figé. Je jete un coup d’oeil vers lui et peut voir la surprise dan son regard.

Borgia: comment ça tu es enceinte ?

Moi:…..

Borgia: tu le sais depuis quand ?

Moi:…..

Borgia: merde! Tu le sais depuis quand Dorelle !

Moi(beguayant): depuis deux semaines !

Borgia(rire nerveux): deux semaines tu dis ? Tu le sais depuis deux semaines et tu me l’as caché ? Mais tu es folles ? Et si ta belle mère s’en rendait compte ?

Moi:…..

Borgia tourne en rond sur lui meme avant de me regarder longuement.

Borgia: il est hors de question que tu gardes cette grossesse.

Moi(appeurée): c’est interdit par la loi!

Borgia: quoi ?

Moi: l’avortement est interdit par la lois !

Borgia (en colère): si tu gardes cet enfant,tu sais ce qui va se passé ? Tu vas devoir expliquer a ton pere,ta belle mère , ta mère et toute la famille comment tu t’es retrouvée enceinte. Et si jamais,je dis bien si jamais tu trouves le courage de leur dire que moi Borgia je t’ai enceinté, je crierai devant tous que tu m’as titillé, et ce n’est pas faux.

C’est bien toi qui m’aguichais avec tes petites tenues,tes petits sourires en coin, tes petits messages ! Je montrerai d’ailleurs tous ces messages et le monde va te tomber dessus. Tu ne veux pas de ça non ? Ton petit papa va se rendre compte de la petite pute qu’est sa fille et ta mère (rire) elle deviendra toute rouge de honte ! C’est ça que tu veux ? Je pensais que tu ne voulais pas que ça se sache tout ça Dorelle !

Moi (en larme):…..

Borgia(reflechissant): tu ne veux pas de scandale et moi non plus alors c’est simple,tu vas t’en debarrassé! Et apres je promet pour de vrai que je te laisserai !

Moi: mais…

Borgia : ferme là ! Demain tu viens et on va regler ta merde. Es que tu m’as compris ?

Moi(hochant la tete):….

Il s’approche de moi et m’embrasse sur les lèvres avant de sortir de la chambre.

Le torrent de larmes qui m’assaillent est tel,que je pourrai aisement remplir tout un seau.

Comment ma vie qui etait belle, paisible et joeuse a pu prendre ce revirement la ! En une année,je suis passé d’adolescente heureuse,a cette jeune fille mal dans son corps et son esprit. J’ai tellement mal !

Apres avoir fini de pleurer,je vais prendre une douche , puis je me couche sur mon lit en m’emitouflant sous ma couette. Je ne veux penser a rien, ni a ce monstre , ni a son enfant que je porte dans mon coeur. A rien !

Sur mon telephone,un message attire mon attention.

Ma Sophie: << je suis passé te faire un coucou,mais tu etais trop occupé à prendre ton pied>>.

La main sur ma bouche, je me sens mal qu’elle ai eu a voir ça. Elle a du tellement se sentir mal aimée. La connaissant,elle est en colere et ne voudra pas me parler avant longtemps. J’essaie tout de même de la joindre et bien sure,elle ne prend pas mes appels. Ça sera difficile de me faire pardonner mais j’ai tellement à gerer que je me sens overbooké par tous mes problèmes.

J’aurai peut etre dû naitre comme elle, aimer simplement ceux de mon sexe. Cela m’aurai sans doute evité, tous ces problèmes ! Cette attirance que j’ai eu pour une personne qu’il ne fallait pas.

Je finis par m’endormir ainsi dans ma douleur.

Le lendemain, je suis calme pendant le petit dejeuner . Les jumelles se disputent le dernier muphins pendant que Cetty joue au bebe en refusant tout ce que maman lui propose. Papa est parti tres tot, il est chargé de la securité du president depuis peu alors il est rarement là.

Je me rappelles que je dois passer un coup de fil a ma mère avant qu’elle ne m’appelle et ne se plaigne.

Jovie: es que tu vas mangé le tien Do ?

Moi(lui passant mon assiete): sert toi !

Jovie: merci.

Jodelle: on partage !

Jovie(pas contente): on est obligé ?

Moi(ailleurs): donne lui un !

Maman: Dodo ça va ?

Moi(lui souriant): oui, juste un peu patraque mais ça va!

Maman: quand tu vas retrouvé tes copines a l’ecole,ça ira mieux t’inquiete. Tu es toujours plus heureuse en periode scolaire !

Moi(sortant de table): je vais faire un tour !

Maman(occupé avec Cetty): okay, rentre avant le dejeuner,ton pere sera là.

Moi: humm.

Je suis allé chercher mon sac dans la chambre avant de sortir par la porte de la cuisine. Les jumelles sont capable de me coller.

Dehors, mon cruch de quand j’etais petite gare la voiture. Je souris rien qu’en imaginant quel effet il me faisait quand j’etais plus jeune. Sophie et Marlene passait leur temps a se moquer de moi a cause de cela. Et quand il est revenu marié de l’Afrique du Sud, il y’a trois ans,j’ai eu une pointe de jalousie. Jalousie qui me fait honte aujourd’hui vu ce qui s’est passé pour la pauvre femme par la suite.

Borgia a peut etre raison de dire que je suis une catin. Comment je fais pour toujours avoir le beguin pour des hommes bien plus agée ?

Il me klaxonne et je vais devant sa vitre,un sourire vrai sur le visage. Peut etre que ça aurai ete lui mon premier,si seulement j’avais pu attendre d’etre assez femme pour lui et que j’avais fermé les yeux devant la beauté malsaine de Borgia.

Ya Devos(souriant): bonjour Dorelle! Ça va ?

Moi (regardant Danielle a l’arriere): oui et vous ? Ça va ma puce !

Danielle (m’envoyant des bisous): je t’aime Dodo!

Moi (rire): moi je t’adore princesse! (Regardant son père) alors?

Ya Devos: on sa bat ma petite! Alors le bac c’est cette année non ?

Moi : oui et j’avoue avoir un peu peur ! Maman me met la pression avec cette histoire de Sorbonne!

Ya Devos : t’inquiete, pour toi je suis confiant. Tu es un genie!

Moi: tu la depose pour le week end ?

Ya Devos : oui, sa nounou est tombé malade et je me rends en foret demain ! Elle va resté les trois prochaines semaines.

Moi : previens mamie que je viendrai la cherché toute la journée de demain, elle jouera avec Cetty , il est grognon ces temps si signe que sa femme lui manque !

Ya Devos (rire): attention Dorelle ! Ton frere n’a pas payé la dote !

Moi (rire): nous ne sommes pas n’importe qui dans ce congo,ton prix sera le notre. (Souriant a sa fille) je viens te chercher demain ma belle , demain sans faute !

Danielle(me souriant): d’accord et Souri nono(son doudou) aussi!

Moi: souri nono aussi !

Son sourire d’enfant me revigore. Je les laisse entrer dans la parcelle et tend la main a leur gardien qui me lance un bonjour en refermant le portail.

Je marches un peu avant de trouver un taxi pour l’office du tourisme où Borgia travaille pour l’instant comme stagiaire.

A mon arrivée,je lui envoie un message et dix minutes plus tard,il sort de la batisse bien propre dans un pantalon en tissu et une chemise blanche affublée d’une cravate.

Sans un boujour,il me fait signe de la main de la suivre. Il arrete un taxi et nous nous rendons à Kinsudi,un quartier dont je n’ai jamais mis les pieds .

Apres etre descendu du taxi,nous prenons une route assez signeuse qui nous mene dans une zone qui me fait penser que nous sommes hors de la ville alors que nous y sommes toujours.

Arrivé devant une pancarte où il y ai ecrit “clinique de papa tsola” , Borgia me fait signe d’entrée.

Moi (choquée): ne me dit pas que c’est ici ?

Borgia: tu veux que le ciel te tombe dessus ou pas ?

Moi: mais c’est….

Borgia: arrete le bruit Dorelle, je dois retourner travailler dans une heure alors arrete de faire ta blonde. Tu n’es qu’a 25% blanche je te signales tsuiip.

Je le suis le coeur battant,j’ai peur. Cet endroit ne me plait pas.

A l’interieur de la cour,il y’a une maison , on nous fait assoir dans le salon qui sert de salle d’accueil. Une femme au visage peu avenant, nous dit que papa Tsola nous reçevra dans quelques minutes.

Le vieux monsieur est maigre comme tout,il sort d’une des chambres peu de temps apres et nous demande d’entrée. Je suis enclin a un desir de fuite mais je ne fais rien. Qu’est ce que je peux bien faire à part attendre.

Le monsieur discute avec Borgia sans faire cas de moi,comme si cette grossesse ne se trouvait pas dans mon corps.

Borgia lui raconte que je suis sa cousine, que je suis tombé enceinte par megarde et que nous sommes pret a debourser ce qu’il faut pour qu’il nous en debarrasse.

Papa Tsola lui demande mon age, c’est dans les yeux que Borgia lui ment en disant que j’ai 19 ans. Il lui dit alors qu’avec 60.000 francs cefa,il fera le travail. Borgia sort de suite six billet de dix milles francs cefa de son porte monnaie et les deposes sur la table. Papa Tsola lèche son doigt avant de compter l’argent et de les glisser dans la poche de sa blouse .

Pour la premiere fois depuis que je suis là, il pose un regard sur moi.

Lui : tu es enceinte depuis quand ?

Moi(timide): je ne sais pas.

Lui: tu le sais depuis ?

Moi: deux semaines.

Lui: et u as eu tes dernieres règles depuis quand ?

Moi: le 16 juillet!

Lui : nous sommes le 26 aout , donc cela fait a peu pres un mois et quelques que tu es enceinte.

Il se leve sans plus rien ajouter et tire le rideau que depuis mon entré je faisais fi de regarder. Il y’a la,une sorte de divan d’examen gynecologique avec plein de taches de sang sechés. Non ! Je ne veux pas ! Pas ici !

Prise d’un essaie de courage,je fais demi tour et me retourne pour m’en aller. Je n’ai pas voulu de cet enfant, mais je n’ai pas le droit de lui hoter la vie , surtout pas dans ses conditions là ! Non je ne peux pas faire ça!

Borgia me rattrape avant que je n’atteigne la porte et me gifle .

Borgia(en colère): tu es malade Dorelle ! Tu veux faire quoi comme ça ?

Moi (en larme): je vais le garder! Je m’en fou de ce que les gens vont dire, de comment les parents vont le prendre, je refuses de le tuer. Je vais assumer mes erreurs!

Papa Tsola(derriere moi): si elle n’est pas d’accord , je ne peux rien faire.

Borgia (le fixant): je suis pret a vous donné 200.000 francs tout de suite si vous le faite quand même !

Moi (le poussant): mais tu es un monstre Borgia ! Un monstre ! Je veux partir ! Je veux partir !

La colère de toute ces fois où en me menaçant il a eu ce qu’Il voulait , la colère qu’a cause de ma faiblesse je me retrouve ici dans cet endroit sale et horrible , cette colère là me pousse a le frapper. Je le frappes de toute mes forces pour qu’il me laisse passer ! Il m’attrape les bras et un truc se pose sur mon nez. Je ne sais pas ce que c’est,mais mes forces s’amenuisent et je finis par m’enfoncer dans le noir.

Une douleur lancinante me tire de cet espèce de sommeil. Mes yeux que j’arrives difficilement à ouvrir , se trouve face a une surface kaki qui sans doute etait blanc a un moment donné. Je me rends comptes que je suis couché sur le dos et que mon regard est posé sur un plafond sale.

J’essaie de bouger mes bras et mes jambes mais je n’y arrives pas. Mon corps est lourd et j’ai mal au niveau du ventre,tres mal !

-elle perd beaucoups de sang,il y’a dû y avoir une hemorragie quelque part.

- mais c’est votre travail , faite ce qu’il faut crit la voix de Borgia.

- je ne peux plus rien faire, elle est presque morte. Il faut l’emmener a l’hopital !

- l’emmener a l’hopital ? Vous savez qui est son père ? Vous connaissez Florent Mboma ? Oui c’est son pere et si il sait que nous avons mis sa fille cherie dans cet etat,on va finir mort dans un des nombreux prisons politique de ce pays ! Crit il.

- Elle va mourir si on ne fait rien !

- Alors bougez vous les couilles et faites quelques choses !

Le rideau est tirée ! J’essaie de regarder vers les voix mais je n’y arrive pas. J’ai tellement mal et je suis tellement faible.

J’ai envie de dormir oui, je veux dormir pour que cette doulour s’arrete. A mon reveil j’avourai tout, je dirai ce qu’on a fait. J’arreterai de mentir à Sophie, j’irai vivre avec maman parce que mon père ne voudra sans doute plus de moi après ça. A mon reveil je l’ejecterai de ma vie !

J’arretes alors de lutter et laisse mes paupières se refermer.

- Elle est morte ! Fait une voix .

- Ho mon Dieu ! Je suis un homme mort !

- Mon petit ce n’est pas moi que tu vas entrainer dans les betises. C’est toi qui l’a amené ici,donc c’est toi qui va t’occuper de ce corps .

- Il en est hors de question,c’est vous qui l’avez ouverte. Vous avez accepté l’argent alors faite votre boulot! Ho mon Dieu ma cherie! Mon amour ! Mon Dieu je suis un homme mort ! Faites quelque chose nom de Dieu !

Puis je me sens comme apé hors de mon corps. Je n’ai plus mal,vraiment plus mal. C’est tellement doux comme sentiment!

Couché sur ce divan qui m’avait repulsé par sa saleté,se trouve mon corps ensanglanté. Les jambes ecartés,les yeux mi-clos, le traits traduisant une profonde douleur.

Borgia est assi de l’autre coté du rideau contre la porte, les mains sur la tete et celle ci entre ses jambes à pleurer en se repetant qu’il est un homme mort.

Papa Tsola apparait dans la piece avec d’autres instruments en main .

- On va camouflé l’avortement en sacrifice rituel. Personne n’aura donc l’idée de nous rechercher. Dit il en panique.

- Vous etes serieux ? Qui pourrai s’attaquer a la fille d’un haut gradé de l’armée pour un crime rituel ? Retorque un Borgia les yeux rougis.

- Alors donne une autre idée ! C’est toi qui l’a ramené,c’est encore toi qui m’a proposé plus d’argents pour le faire. Je n’ai meme pas l’intention d’aller en prison pour une chose dont je ne suis pas coupable alors dit moi ce qu’on doit faire si mon idée est mauvaise.

- Faites comme vous voulez ! Je ne veux rien avoir a faire avec lance Borgia avant de se lever et de prendre ses jambes a son cou.

Une porte qui n’etait pas là, apparait devant moi! Je veux voir ce que papa Tsola compte faire,je veux proteger mon corps mais cette porte agi comme un aimant sur moi! Plus que cet attraction que de mon vivant j’avais ressenti pour ce monstre de Borgia. Je poses la main sur le poignet et je me sens appée dans les tenebres !