Le corps d'un homme a disparu de la morgue, de jeunes femmes se font enlever. Élisa Balli, policière et vampire, est prise dans un tourbillon d'enquêtes qu'elle n'arrive pas à résoudre. Tout bascule quand elle tombe sur Tyll Meyer, un bel homme étrange et mystérieux. Qui est-il ? D'où vient-il ? Et pourquoi a-t-elle le sentiment qu'il cache quelque chose d'important ? Serait-il possible qu'il ait un rapport avec les enlèvements ? La jeune femme fera tout pour le découvrir, quitte à risquer sa vie. À PROPOS DE L'AUTEURE Inspirée par ses différentes lectures, Virginie Blanc saute le pas et s'engage dans cette aventure fascinante qu'est l'écriture. Après Kali, elle propose Élisa, deuxième tome de la saga intitulée Rouge poursuite.
Prologue
Il était tapi dans l'ombre. Il avait surveillé sa proie toute la journée. Elle lui plaisait. Elle avait de beaux cheveux bouclés couleur ébène, un corps de mannequin, des yeux d'un beau vert forêt et des lèvres pulpeuses qui appelaient aux baisers. Il ne l'avait pas encore approchée, il attendait qu'elle soit seule pour passer à l'acte. Mais ces satanées filles avec qui elle était ne voulaient pas partir. Sa patience avait des limites. Il y était depuis dix heures du matin et il était presque vingt-trois heures. Il aurait pu user de ses pouvoirs, mais personne ne devait le voir.
Elles se disaient enfin au revoir. Il allait pouvoir l'attraper.
Chapitre 1
Élisa Balli était lasse. Son optimisme et sa bonne humeur qui la caractérisaient si bien étaient mis à rude épreuve. L'enquête en cours lui prenait tout son temps, une fatigue extrême l'avait assaillie, laissant des marques sous ses beaux yeux bleus. L'enquête sur les meurtres de jeunes femmes, perpétrés par un certain Thomas Santo, avait été conclue trois semaines avant. Mais malheureusement, une autre enquête avait commencé. Des enlèvements de jeunes filles s'enchaînaient dans la région et elle ne savait plus où donner de la tête.
Elle était assise à son bureau, au poste de police de Samadet, soi-disant un petit village tranquille des Landes, et cherchait en vain une solution. Kyllian Franc, son coéquipier depuis presque cinq ans, était parti en vacances depuis à peine deux semaines, mais elle avait l'impression que ça faisait un mois. Il lui manquait beaucoup dans des moments comme ça, où tout allait de travers. Tellement de choses s'étaient passées depuis la mort et la disparition du corps de Thomas Santo de la morgue, trois semaines auparavant.
Thomas Santo, un homme qui, pour une raison propre à lui, avait torturé, violé et assassiné plusieurs jeunes femmes. Qui aurait pu croire qu'avec ses beaux cheveux châtains soyeux et bien coiffés, ses beaux yeux verts et sa gueule d'ange, il pouvait faire ça ? Ses méfaits remontaient à plusieurs années. La police de Nice leur avait envoyé le dossier complet sur l'enquête. En tout, dix-neuf femmes avaient été retrouvées mortes, mais Élisa avait quelques doutes sur le nombre exact, étant donné qu'avec Gabriel, son ami de longue date, ils avaient retrouvé une tombe de fortune avec plusieurs filles à l'intérieur. Elle pensait bien qu'il y en avait d'autres que l'on n'avait pas encore trouvées.
Gabriel avait été impliqué personnellement dans l'affaire vu que sa compagne, Kali Deguin, avait été la fiancée puis la victime de ce fou dangereux. Kali s'en était relativement bien tirée, Thomas l'avait enlevée et torturée jusqu'à ce que Gabriel la trouve et la libère. Maintenant, ils coulaient des jours heureux, ils avaient emménagé ensemble dans la maison de Gabriel. La seule ombre au tableau, c'était la recrudescence des disparitions de jeunes filles, mais aussi, et encore plus bizarre, la disparition du corps de Thomas de la morgue, après que Gabriel et lui s'étaient battus et qu'il avait fini mort en traversant une fenêtre.
Élisa s'était demandé si Thomas ne s'était pas relevé d'entre les morts comme elle, mais comment aurait-il pu faire ? À moins qu'un autre vampire lui ait fait boire son sang, et là , c'était une autre histoire. De toute façon, elle ne pouvait pas y croire, Gabriel et elle étant les seuls vampires de la région.
Son téléphone portable sonna, ce qui la fit sursauter. Tout en reprenant ses esprits, elle décrocha.
- Oui, allo.
- Salut Élisa, c'est Kali. Je te dérange pas ?
- Non, c'est bon. Qu'est-ce qu'il t'arrive, tu vas bien ?
- Oui, ne t'inquiète pas. Je voulais juste savoir si ce soir tu étais libre pour venir au concert au pub. Gabriel et moi on s'est dit que ça te ferait du bien de t'aérer un peu.
- Je ne sais pas trop, je suis complètement vidée.
- Allez, viens. Le concert ne dure que jusqu'à vingt-trois heures, c'est comme si tu regardais un film. On va s'amuser, ça te changera un peu.
- Oui, tu as peut-ĂŞtre raison. Je vous retrouve vers vingt heures, c'est bon ?
- Oui c'est parfait, on mangera sur place, on prendra des pizzas au snack ChezPascal. Ça te va ?
- Oui c'est super, Ă tout Ă l'heure.
- À tout à l'heure Élisa, bises.
Élisa raccrocha, poussa un long soupir de lassitude et regarda sa montre. Il restait deux heures avant le rendez-vous. Son service était fini depuis une demi-heure déjà , mais elle voulait encore bosser sur l'affaire qui, malgré tous ses efforts, n'avançait pas.
La tête pleine de questions sans réponses, elle se dirigea vers l'armurerie afin de se désarmer et rejoignit son casier pour prendre ses affaires et se changer.
Une fois dehors, elle prit un grand bol d'air frais, il faisait encore bon en ce début du mois d'octobre. L'air était frais mais pas froid. Elle pensait toujours à l'affaire quand elle se dirigea vers sa voiture. Son nouveau coupé cabriolet rouge détonnait parmi les vieilles voitures de ses collègues. Elle se l'était acheté un mois auparavant, elle avait prétexté un héritage d'une vieille tante décédée pour qu'on ne lui pose pas trop de questions. Ce n'était pas avec son mince salaire de policière qu'elle aurait pu se le payer.
Elle ne pouvait tout simplement pas leur dire la vérité, j'ai 182 ans et j'ai investi où il fallait, quand il fallait. Ne pas griller sa couverture, un des principes vampiriques, même s'il n'y avait aucune loi écrite, ça coulait de source. Les gens avaient peur de la différence et de ce qu'ils ne comprenaient pas. Alors un vampire, qui boit le sang des humains pour se nourrir et les tue, comme écrit dans certains livres fantastiques, ça les aurait plus qu'effrayés et elle aurait eu à sa porte toute l'armée. Même si son régime alimentaire ne comportait que du sang animal, les gens ne comprendraient pas.
Elle s'installa sur le siège en cuir noir, même si ça faisait un mois qu'elle l'avait, elle se délectait toujours de la sensation et du confort. Elle resta quelques minutes à profiter puis démarra pour se rendre chez elle. Sa maison se trouvait à un peu plus de cinq kilomètres du poste. La route qui l'y menait était bordée de champs et de bois, c'était cette nature sauvage qui l'avait attirée ici. Au début de sa « vie vampire », elle préférait la ville, histoire de pouvoir se nourrir juste en sortant de sa maison, car à l'époque, elle se nourrissait encore de sang humain prélevé directement à la source, mais au fur et à mesure des années, elle s'était lassée. Le bruit, les voitures, la pollution, le stress, tout ça l'avait poussée à partir et à trouver un petit coin de verdure et de calme.
Elle arriva chez elle après seulement dix minutes de route. Elle avait choisi une petite maison typique des Landes, aux murs extérieurs blancs entrecoupés de poutres en bois et un toit à trois pans. Il n'y avait que deux chambres, une cuisine ouverte sur le salon, une salle de bain et les toilettes, ce qui lui convenait parfaitement puisqu'elle vivait seule. Afin de ne pas avoir de voisin direct, elle avait acheté tous les champs jouxtant la maison, de ce fait, celle-ci était seule au milieu d'une vaste étendue de verdure.
Après être rentrée, elle se lava, coiffa ses beaux cheveux blonds et raides, se maquilla très légèrement, juste pour faire ressortir ses yeux bleu topaze. Pour cette soirée au pub, elle se vêtit simplement d'un jean bleu, d'un joli débardeur noir décoré d'une broderie fine au niveau de sa poitrine généreuse et d'une petite veste en laine noire.
Pour ne pas penser à l'enquête en attendant l'heure du départ, elle commença à lire un nouveau livre, avachie sur son canapé. Elle adorait ça, lire. L'année de sa naissance, en 1839, les femmes n'avaient pas le monopole, elles devaient rester bien sagement à la maison pour s'occuper des enfants, du mari et de la maison. Déjà , enfant, elle se rebellait contre la société, elle aidait sa mère le matin pour les tâches ménagères et l'après-midi, elle courait dans le bois, à côté de la ferme familiale, pour rejoindre son ami Siegfried, qui lui apprenait à lire en douce. Quand son père voulut la marier de force à dix-sept ans, avec le fils du voisin, un paysan, pour pouvoir agrandir son domaine agricole, elle s'était enfuie de chez elle.
Siegfried, qui ne l'avait jamais quittée, la recueillit et l'éduqua pour qu'elle devienne une grande dame. Il lui avait appris à lire, à écrire et même à se battre. Elle avait écouté ses conseils, s'était forgée un caractère et, avec son savoir-faire et son charisme, elle avait réussi à négocier avec les plus grands. Elle achetait des biens immobiliers au bord de l'effondrement, les restaurait et les revendait plus cher. Siegfried l'avait beaucoup aidée dans ses affaires, surtout avec ceux qui étaient récalcitrants à l'idée de négocier avec une femme.
Vers ses vingt-six ans, elle avait commencé à avoir de drôles de symptômes. Perte de mémoire, grande fatigue, perte de ses mots, même la lecture devenait difficile. Elle sentait que quelque chose n'allait pas ce qu'avait confirmé Siegfried, qui s'y connaissait un peu en médecine. Sur son lit de mort, il lui avait donné le choix. Vivre éternellement et en bonne santé ou mourir. Sur le moment, elle n'avait pas compris ce qu'il lui disait pensant qu'il délirait lui aussi, jusqu'à ce qu'il lui montre ses crocs et lui explique ce qu'il était en réalité. Bien sûr, même en sachant ce qu'elle devrait faire pour se nourrir, elle avait préféré vivre. Grâce aux progrès technologiques et aux découvertes scientifiques, elle avait pu comparer ses symptômes et voir qu'ils correspondaient à une tumeur au cerveau. Pour elle, elle avait fait le bon choix et ne l'avait jamais regretté. Et donc, depuis sa transformation, elle profitait de chaque instant pour lire, chose que la maladie avait failli lui enlever pour toujours.
Au Caire, Hisham a fait une brillante carrière professionnelle et jouit d'une certaine aisance financière. Il semble très amoureux de la belle Dinah, une jeune chanteuse égyptienne à la voix sensuelle et au sourire prometteur. Pourtant, Hisham porte en lui une blessure secrète qui ne cicatrise pas. Quand éclatera la crise au Moyen-Orient et que le martèlement des bottes américaines se fera plus menaçant, il n'hésitera pas à s'engager aux côtés des Irakiens. Dans le désert saoudien, il constatera avec amertume la décomposition d'un monde arabe qui longtemps a caché ses haines et ses divisions derrière une unité de façade. Pour Hisham, la Guerre du Golfe marquera la fin d'une belle utopie.
Le recul du bélier est une oeuvre portée par des acteurs qui refusent le délitement de leur société. Convaincus que l'homme est le premier fossoyeur de la nature, de son environnement, ils se battent pour ne pas laisser un monde irrespirable aux futures générations. Le rapport à l'argent, le rapport à son environnement, la place de la femme et du plus faible sont les principaux moteurs de leurs combats. Issus de pays dont les sols et sous-sols regorgent de toutes les ressources vitales pour l'humanité, ils n'acceptent pas que les fils et filles issus de ces terres n'aient pas le minimum pour une vie décente. Ils se lancent alors, au péril de leur vie, à la quête d'un savoir susceptible de les hisser au niveau des leviers de commande de leur pays. Ce savoir acquis sera-t-il suffisant pour faire face à des monstres qui mettent à mal les leurs ?
Dakota, Tyler, Keyla et Max sont meilleurs amis depuis l'enfance. Ils décident de partir à Tahiti, le paradis à l'eau turquoise. Tout va pour le mieux, les paysages magnifiques, l'océan, le début d'une histoire d'amour. Soudain, cauchemar, ils se retrouvent plongés dans une forêt hostile pleine de danger et de mystères. Comment sont-ils arrivés là ?
À bord du gigantesque vaisseau spatial Exo10, Wayan, 18 ans, recherche son passé. Après l'accident qui a coûté la vie à ses parents et l'a laissé amnésique, il a été confié par les autorités à des tuteurs : Neige et Ming. Malgré ses nombreuses questions pour retrouver ses souvenirs, il n'a jamais obtenu satisfaction, d'où sa décision de trouver lui-même les réponses, et ce, en secret. Aidé de sa grande complice, Nephtys, et de leurs amis, Wayan se lance dans une quête parsemée d'embûches, ignorant que celle-ci va changer le destin des Exodiens, et surtout le sien.
À la suite des évènements du premier tome, Argus a disparu. Cependant, les Gardiens subissent une menace née des actions passées. Katan, nommé Émissaire du Conseil, doit s’impliquer corps et âme dans la bataille afin éviter que l’ordre des Gardiens ne s’effondre à tout jamais. Quant à Jason, jeune Gardien, il aura l’occasion d’en apprendre davantage sur l’histoire de son père, et les conséquences de ses choix moraux. Les heures sont comptées pour les Gardiens, et leurs vies ne tiennent qu’à Morl-Dérin.
Cécile est très amoureuse d’Hisham. Leur relation dure depuis deux ans. Cécile a proposé à ce dernier une escapade d’une dizaine de jours à Naples. En Italie, le ciel est toujours bleu. Les rayons d’un soleil jeune et éclatant offrent des ombres et des lumières qui se combinent avec une mer capricieuse qui ondule sous la brise et déroule ses flots bleus. Hisham est sensible au charme des belles Napolitaines, à leur maintien fier et assuré, à leur sourire caressant et prometteur. Il aspire à une vie nouvelle, mais avec les femmes, il se montre souvent indécis et hésitant. Dans le couple qu’il forme avec Cécile, apparaissent déjà les premières fêlures. Hisham est rattrapé par une ancienne nostalgie. L’évocation d’Andromaque entretient un étrange souvenir. Celui d’une femme aux yeux verts, belle et mystérieuse...
Belinda pensait qu'après le divorce, ils se sépareraient pour de bon. Il pourrait vivre sa vie comme il l'entendait, tandis qu'elle pourrait profiter du reste de la sienne. Mais le destin en a voulu autrement. « Ma chérie, je me suis bien trompé. Veux-tu revenir vers moi ? » L'homme, qu'elle aimait autrefois profondément, a baissé humblement sa tête fière. « Je te supplie de revenir vers moi. » Belinda a froidement repoussé le bouquet de fleurs qu'il lui offrait et a répondu : « C'est trop tard. »
En tant que simple assistante, envoyer un message au PDG en pleine nuit pour demander des films pornos était une initiative audacieuse. Sans surprise, Bethany n'a reçu aucun film. Cependant, le PDG a répondu qu'il n'avait pas de films à partager, mais qu'il pouvait offrir une démonstration en direct. Après une nuit pleine de passion, Bethany était certaine de perdre son emploi. Mais au lieu de cela, son patron lui a proposé : « Épouse-moi, s'il te plaît, réfléchis-y. » « M. Bates, vous vous moquez de moi, n'est-ce pas ? »
Comment peut-on tourmenter une personne ? Pour Vincent, c'est de la piéger dans un mariage sans amour et de remplir ses journées d'humiliations et de misères sans fin. Il était convaincu que la perfide Kaitlin méritait tout cela, et n'a jamais regretté ses actes jusqu'à ce qu'il se tienne devant sa tombe. Kaitlin avait vingt ans lorsqu'elle est tombée amoureuse de Vincent. Pendant les trois années qui ont suivi, elle a été l'humble et douce épouse de Vincent, supportant son impitoyable ressentiment tout en l'aidant à atteindre le sommet. « L'amour ? » Il s'est moqué d'elle dans ses dernières heures. « Il n'y a jamais eu d'amour entre nous. » Comment peut-on détruire quelqu'un ? Pour Kaitlin, c'est de le faire savoir au dernier moment que c'est sa propre main qui a détruit ce qu'il chérissait le plus. Quand Vincent a appris la vérité qu'il attendait depuis longtemps, il l'avait déjà détruite lui-même.
"Dis-moi, ma fille, pourquoi toi et ton espèce de bon à rien êtes-vous entrés sur mon territoire ?" Une voix inconnue retentit juste devant moi. Je baisse la tête et mes yeux commencent à se fermer. C'est ici, c'est ici que ma vie va se terminer. J'ai toujours pensé que ce serait de la main de mon beau-père, mais non. C'est à cause d'autres types qui m'ont aussi fait du mal de façon tortueuse. Laissez-moi vous dire que ma vie a été géniale. Je vous laisse deviner le sarcasme. Soudain, une grosse main me saisit le menton. Il me force à relever la tête contre ma volonté. Non ! Non, je ne veux pas le regarder, je ne veux pas voir son visage monstrueux. Mais une fois de plus, il est bien plus fort que moi. Alors, avec le peu de vie que j'avais en moi, je regarde férocement ses yeux d'un bleu profond. Immédiatement, l'expression de l'homme passe d'une expression livide et stoïque à une expression surprise et douce. Je l'entends murmurer : "Mon pote". ~~~ Willa est une jeune fille simple qui n'a pas eu de chance dans la vie. Elle a été abandonnée sur le pas de la porte alors qu'elle n'était qu'un nouveau-né, ses deux parents adoptifs sont morts et son beau-père a abusé d'elle presque toutes les nuits. Elle pensait que son petit ami et sa meilleure amie lui permettraient d'échapper à la vie horrible qu'elle menait à la maison. Mais en fin de compte, ils n'ont fait qu'ajouter à la vie tortueuse qu'elle menait. Elle a donc fait la seule chose à laquelle elle pouvait penser pour s'éloigner de la terrible réalité qui l'engloutissait lentement. Elle a couru. Elle était loin de se douter qu'en courant dans les bois cette nuit-là , sa vie entière allait basculer. ----
Une nuit malheureuse a changé le cours de la vie de Yvonne. Tout a commencé après qu'elle ait surpris son fiancé en train de coucher avec sa sœur. Le cœur brisé, elle s'est saoulée et s'est trompée de chambre. Elle a fini par avoir des relations sexuelles avec un parfait inconnu. Après que son père l'ait reniée parce qu'elle est tombée enceinte hors mariage, elle est partie à l'étranger avec la détermination de réussir sa vie et de se venger. Six ans plus tard, elle est revenue dans le pays en tant que médecin réussie et mère d'un fils surdoué. À l'âge tendre de six ans, son fils Aiden était déjà un hacker de premier plan. Il a obtenu la liste des célibataires les plus éligibles en ville. Un jour, il a demandé à sa mère : « Maman, je peux t'aider à trouver un petit ami. Quel genre d'homme préfères-tu ? » Yvonne, qui n'avait aucun intérêt pour les hommes, a fait semblant d'y réfléchir. Avant qu'elle ne puisse répondre, un homme a dit : « Aiden, je suis ton père. Pourquoi fais-tu ça ? » Et ainsi, la mission du petit qui consistait à réunir ses parents a officiellement commencé !
Winter Monroe a tout planifiée pour sa dernière année au lycée Cambree : elle ne fera rien d'extravagant, continuant à réussir ses examens et restant à l'écart des ennuis. Pourtant, tout cela est tombée à l'eau lorsque la mère de Winter lui annonce qu'elle doit partir en mission pour l'Afrique et que Winter sera obligée de vivre chez une amie de sa mère. N'attendant rien de'extradordianire, Winter est prête à réussir sa dernière année au lycée. Mais que se passe-t-il lorsqu'elle se rend compte qu'elle va cohabiter pendant un an avec quatre garçons qui gouvernent essentiellement le lycée Cambree ? Lorsque vous restez avec les quatre mauvais garçons, vous savez que votre vie va basculer en une seconde et c'est exactement ce à quoi Winter ne s'attend pas. Winter peut-elle vivre avec les quatre garçons mais aussi éviter les ennuis ou les garçons mèneront-ils les ennuis vers la bonne fille ?