À la suite de la disparition de Leila Stepanov, éminente biologiste russe, lors d'un séminaire organisé par l'OMS à Paris, son époux, opposant russe sans envergure, est soupçonné de l'avoir supprimée et d'en avoir dissimulé le corps. Emprisonné à son retour à Moscou, sa famille et ses partisans crient au complot d'État. La police française et un retraité de celle de Moscovie mandaté par un cabinet d'avocat mènent conjointement l'enquête. En parallèle, un professionnel des missions peu scrupuleuses à la solde d'un banquier suisse se retrouve pris entre ce qu'il a fait, ce qu'il sait, ce qu'il a vu et ce qu'il pourrait entreprendre tant sa capacité de nuisance est monstrueuse et indéfinissable. Un chassé-croisé palpitant... Entre personnages anonymes et l'influence des différents services d'État, avec un énigmatique moine, une pétillante hôtesse de l'air, un chauffeur de taxi excentrique, traverserez-vous cette histoire pour le meilleur mais surtout pour le pire ? Connaît-on jusqu'où la nature humaine est encline à produire le malsain dans ce qu'il croit de l'intérêt général ? L'accepteriez-vous ? Vivrez-vous assez longtemps pour l'étudier puis d'en imaginer la véracité possible ou non de cette fiction ? Bonne lecture dans cet espace virtuel, entre humour et immoralité.
Du mĂŞme auteur
Digne souffrance,éditions Elzévir, 2011 ;
Sacrifie LEU, Bookelis, 2018.À ma mamanCette fiction ne reflète nullement l'idée d'une pensée ni l'apologie d'une solution radicale. Elle, seule, ne peut répondre à la conscience et à l'idée des hommes sur leur capacité à résoudre les défis structurels, technologiques, numériques, sanitaires et environnementaux de demain.
C'est vous, lecteurs, lectrices, en votre âme et conscience qui écrirez l'histoire !La réalité de demain est faite de l'utopie d'hier et d'aujourd'hui.
André Gide
Prologue
Jeudi,
Au quai d'Orsay. Une missive manuscrite au tracé d'une plume, cursive, en continu, passéiste...
Très cher Ministre,
Comment choisir son univers dans cette pénombre lancinante et nauséabonde qui entoure notre avenir ? Laissez-vous entraîner vers la lumière et suivez le guide suprême, ce fils miséricorde que Dieu le père nous envoie à l'aube d'une nouvelle ère. Sur le sacro-saint de cette foi, de la justice divine et de la préservation du bien terrestre, il vous rendra grâce, vous libérera de la contrainte comme le vent sait si bien le faire et vous rendra la fierté telle la pierre dressée au gré des éléments les plus funestes. Il vous transmettra assurément un monde meilleur et plus merveilleux qu'aucune imagination sur terre n'ait à ce jour encore pu en rêver.
En attendant votre présence parmi nous lors de la réception donnée en l'an de grâce 2022 datée du 19 de mai par la Sainteté le Pape Louis 7 à la Basilique Saint-Pierre de Rome.
Veuillez recevoir Monsieur le Ministre mes... et blablabla... !
Le ministre des Affaires étrangères et ancien ministre de l'Intérieur après un remaniement ministériel, resta dubitatif quelques secondes tout en retournant la carte pour ne rien voir de plus qu'une interrogation. Quel message intemporel voulait-on lui signifier ? Une invitation à Rome ? Sa femme en serait ravie. Dieu envoyant son fils sur terre d'après la prédiction ? Fantasme biblique ? Les services de la papoté craignaient-ils pour la sûreté du pape ? Auraient-ils eu vent d'un quelconque projet d'attentat par une officine étrangère ? On cogna fébrilement. Le ministre leva le menton vers son secrétaire particulier dont la tête dépassait l'entrebâillement de la porte.
- Alors monsieur le Ministre ?
Celui-ci dressa les sourcils, les yeux écarquillés.
- Quoi alors ?
- Eh bien, le frère De Lebardin attend que vous le receviez. Il a pris rendez-vous. Plusieurs semaines qu'il demande une entrevue.
- Ah ? Le frère ? De Lebardin ? Ah... je... mais... ? Ah oui, c'est lui ce message ?
- Vous m'avez bien dit : pas maintenant, monsieur.
- Euh oui ! Enfin non, mais quand je suis en communication avec ma femme, je ne veux pas qu'on me dérange sous un prétexte aussi veule. Enfin bon, on ne sait pas bien compris... Il faudrait à l'avenir vous faire plus explicite dans votre communication ou sinon, c'est la porte que vous allez prendre !
Il leva les yeux, un brin exaspéré. Maintenant, il se souvenait des mots qu'il n'avait su mettre dans leur contexte entre les reproches de sa femme et son devoir ministériel. Les jours lui paraissaient si longs. Il se renfrogna quelque peu. Cet homme d'Église voulait certainement une réponse pour sa mauvaise intuition. Il allait en obtenir une qui ne tarde à le remettre sur le chemin de la sortie.
- Allons, Bresson, faites donc entrer ce... ce moine.
Une minute s'écoula à peine avant que l'homme en soutane avec une sacoche de cuir en bandoulière apparût, le visage jovial et rougeâtre, gracieux et tout en rondeur. Une poignée de main cordiale plus tard avec les amabilités d'usage, le ministre lui proposa le fauteuil devant son bureau. Les pas lourds du prêtre avec ses grosses chaussures avaient mis à mal le parquet comme jamais il n'eut à l'entendre. Le ministre, plissant les yeux, sourit discrètement en voyant en ces lieux un homme peu ordinaire.
- Veuillez m'excuser de vous avoir fait attendre aussi longtemps, j'étais en communication avec le Président.
- Voilà sans doute le mauvais côté des affaires courantes d'un pays. Un travail harassant, je suppose ?
Derrière le moine, le ministre vit son secrétaire faire la moue en inclinant brièvement la tête. «Toi, mon mignon, si tu continues, tu vas prendre mon pied où je pense ! », pensa-t-il en s'asseyant face à son visiteur. Il croisa les doigts sur son bureau, le sourire sarcastique et plutôt en opposition à la sagesse du frère De Lebardin qui venait de lancer un regard circulaire sur la hauteur de plafond puis vers les dorures émaillant de tous côtés. Tout semblait briller dans ses yeux avant que ses lèvres s'en émerveillent aussi.
- Que puis-je pour vous, mon frère ?
- Vous...
- Vous êtes dans l'antre de la République avec une constitution qui prône la laïcité et assis dans un fauteuil qui n'a pas forcément vocation à y recevoir le postérieur d'un religieux et quel qu'en soit son prophète.
- Je...
- Il me semble que ce ministère ne soit pas la bonne porte. Voyez mon secrétaire pour ça, il vous guidera et vous orientera vers les services compétents afin de résoudre votre réclamation dans les plus brefs délais.
Le curé secoua les mains en y maîtrisant son hilarité.
- Vous n'y êtes pas du tout, mon fils. Je n'ai aucun mal à vous croire. D'ailleurs, le fauteuil m'est très agréable, rigola-t-il en se trémoussant sur le siège. Et Dieu, je l'espère, nous donnera l'occasion d'en aimer d'autres avec la probité divine.
- Venez-en aux faits, vous seriez gentil.
- Jamais le seigneur ne me demande de ne pas l'ĂŞtre. Je ne suis que le messager de ses paroles.
Le ministre écarquilla les paupières sur cet homme d'église tout en couleur. Il l'aurait même trouvé délicieux s'il n'avait pas autre chose à faire.
- Frère De Lebardin, entonna-t-il d'un air las, j'ai des affaires à traiter. Alors, que me voulez-vous exactement sans tourner autour du pot ?
- J'ai juste une requête à vous formuler, se hasarda-t-il d'une petite voix mais sans perdre son sourire. Elle ne retiendra votre attention que pour quelques instants et elle ne vous décevra pas. Mais en toute discrétion, seulement vous, moi et le bon Dieu.
Le frère De Lebardin s'était retourné en même temps sur le secrétaire avec un large sourire de circonstance. D'un signe de tête, le Ministre renvoya son subordonné. Porte close, ils se dévisagèrent. Inexplicablement, le Ministre se sentit mal à l'aise sans qu'étrangement son visiteur ne s'en montre perturbé. Tout simplement, lui n'avait sans doute pas peur de mourir, estima-t-il de ce moine jusqu'à l'impression de devoir s'en méfier.
- Si vous avez besoin d'une subvention pour la rénovation d'une église, voyez plutôt le ministère de la culture même si la séparation de l'état avec l'église est actée depuis longtemps. Le financement du culte n'est plus du ressort de l'état. Mais je sais que la restauration du patrimoine est aux yeux du président un sujet digne d'intérêt... alors...
- Oh non ! Nous avons des donateurs très généreux pour cela.
Le curé se pencha vers le bureau avec un visage tout aussi généreux et chuchota avec une certaine espièglerie.
- Il faut bien le reconnaître et en toute honnêteté, l'archevêché n'est pas à plaindre et... je ne suis venu que sur les recommandations de mon diocèse et en simple relai de la parole du tout puissant
Le ministre fronça les sourcils, de plus en plus intrigué. Ce type n'avait rien de commun. Le moine sortit méticuleusement une grande enveloppe kraft de sa sacoche. Les traits toujours aussi avenants, il se leva, le dos courbé comme pour se plier à l'autorité d'un seigneur, et la glissa délicatement sur le bureau avant de se rasseoir. Le Ministre la repoussa immédiatement sur le rebord.
- De Lebardin ! C'est bien ça ?
Le bien nommé acquiesça avec un gracieux clignement de cils mélangeant plaisir et fierté.
- Je ne mange pas de ce pain-là ! Je vous rappelle que vouloir corrompre un homme dépositaire d'une autorité ou d'une fonctionnalité administrative est un délit et punissable par les lois de la république.
- Rassurez-vous, ne voyez aucune corruption dans cette initiative, mais juste un service que Dieu vous rendra le jour venu.
Le regard du ministre s'assombrit, le teint pâle, ne maîtrisant plus son exaspération.
- Rangez-moi le bon Dieu dans un coin de votre pensée, voulez-vous bien ! Il me sera grand temps de converser avec lui le jour venu s'il a quelque chose à me reprocher. Alors, venez-en au fait, s'il vous plaît et rien qu'au fait ! Merci !
Le sourire du prêtre ne quitta pas son visage. Une attitude qui eut le don d'énerver un peu plus le Ministre pour l'avoir ressenti dédaigneux.
- Je ne crains pas que votre conscience soit perturbée, car vous êtes, j'en suis sûr, quelqu'un de respectable avec un enseignement sans faille pour les générations futures.
- En tout cas, je m'y emploie.
- Oh, certainement. Vous ĂŞtes le principe mĂŞme de la conscience Ă analyser, comprendre et discerner le bien du mal.
- J'estime être assez intelligent pour en reconnaître le bon et ses méfaits sur l'homme.
- Et pourtant, je crois savoir que vous n'obéissez pas toujours à cette philosophie, certainement un moment d'égarement par un effet d'égoïsme. J'en conviens, cela peut traverser n'importe quel esprit sur terre.
- Le mien s'interdit de penser Ă mal mais au bien de mon pays. Que cela vous gĂŞne ne me contrarie pas.
- Oh non, vous n'y êtes pas du tout. Je préconise la pensée du long terme dans l'application de vos actions. Cela devrait être la règle de base pour tout homme dont le pouvoir est grand et oriente le destin des Français.
Au Caire, Hisham a fait une brillante carrière professionnelle et jouit d'une certaine aisance financière. Il semble très amoureux de la belle Dinah, une jeune chanteuse égyptienne à la voix sensuelle et au sourire prometteur. Pourtant, Hisham porte en lui une blessure secrète qui ne cicatrise pas. Quand éclatera la crise au Moyen-Orient et que le martèlement des bottes américaines se fera plus menaçant, il n'hésitera pas à s'engager aux côtés des Irakiens. Dans le désert saoudien, il constatera avec amertume la décomposition d'un monde arabe qui longtemps a caché ses haines et ses divisions derrière une unité de façade. Pour Hisham, la Guerre du Golfe marquera la fin d'une belle utopie.
Le recul du bélier est une oeuvre portée par des acteurs qui refusent le délitement de leur société. Convaincus que l'homme est le premier fossoyeur de la nature, de son environnement, ils se battent pour ne pas laisser un monde irrespirable aux futures générations. Le rapport à l'argent, le rapport à son environnement, la place de la femme et du plus faible sont les principaux moteurs de leurs combats. Issus de pays dont les sols et sous-sols regorgent de toutes les ressources vitales pour l'humanité, ils n'acceptent pas que les fils et filles issus de ces terres n'aient pas le minimum pour une vie décente. Ils se lancent alors, au péril de leur vie, à la quête d'un savoir susceptible de les hisser au niveau des leviers de commande de leur pays. Ce savoir acquis sera-t-il suffisant pour faire face à des monstres qui mettent à mal les leurs ?
Dakota, Tyler, Keyla et Max sont meilleurs amis depuis l'enfance. Ils décident de partir à Tahiti, le paradis à l'eau turquoise. Tout va pour le mieux, les paysages magnifiques, l'océan, le début d'une histoire d'amour. Soudain, cauchemar, ils se retrouvent plongés dans une forêt hostile pleine de danger et de mystères. Comment sont-ils arrivés là ?
À bord du gigantesque vaisseau spatial Exo10, Wayan, 18 ans, recherche son passé. Après l'accident qui a coûté la vie à ses parents et l'a laissé amnésique, il a été confié par les autorités à des tuteurs : Neige et Ming. Malgré ses nombreuses questions pour retrouver ses souvenirs, il n'a jamais obtenu satisfaction, d'où sa décision de trouver lui-même les réponses, et ce, en secret. Aidé de sa grande complice, Nephtys, et de leurs amis, Wayan se lance dans une quête parsemée d'embûches, ignorant que celle-ci va changer le destin des Exodiens, et surtout le sien.
À la suite des évènements du premier tome, Argus a disparu. Cependant, les Gardiens subissent une menace née des actions passées. Katan, nommé Émissaire du Conseil, doit s’impliquer corps et âme dans la bataille afin éviter que l’ordre des Gardiens ne s’effondre à tout jamais. Quant à Jason, jeune Gardien, il aura l’occasion d’en apprendre davantage sur l’histoire de son père, et les conséquences de ses choix moraux. Les heures sont comptées pour les Gardiens, et leurs vies ne tiennent qu’à Morl-Dérin.
Cécile est très amoureuse d’Hisham. Leur relation dure depuis deux ans. Cécile a proposé à ce dernier une escapade d’une dizaine de jours à Naples. En Italie, le ciel est toujours bleu. Les rayons d’un soleil jeune et éclatant offrent des ombres et des lumières qui se combinent avec une mer capricieuse qui ondule sous la brise et déroule ses flots bleus. Hisham est sensible au charme des belles Napolitaines, à leur maintien fier et assuré, à leur sourire caressant et prometteur. Il aspire à une vie nouvelle, mais avec les femmes, il se montre souvent indécis et hésitant. Dans le couple qu’il forme avec Cécile, apparaissent déjà les premières fêlures. Hisham est rattrapé par une ancienne nostalgie. L’évocation d’Andromaque entretient un étrange souvenir. Celui d’une femme aux yeux verts, belle et mystérieuse...
Pour Stella, le mariage a été un lit d'épines. Elle a vécu comme une esclave pendant six ans, s'occupant de tout pour son mari. Un jour, Waylon, son mari insensible, lui a dit : « Ayla va bientôt revenir. Tu dois déménager demain. » « Je veux divorcer », a répondu Stella. Elle est partie sans verser une larme ni essayer de dissuader Waylon. Quelques jours après leur divorce, ils se sont revus. Mais Stella se trouvait dans les bras d'un autre homme. Le sang de Waylon s'est mis à bouillir en la voyant si heureuse. « Alors, tu n'as même pas pu attendre un peu avant de te jeter dans les bras d'un autre homme ? », a-t-il demandé avec dégoût. « Tu te prends pour qui pour remettre en cause ma décision ? C'est ma vie, c'est moi qui décide. Ne te mêle pas de mes affaires ! » Stella l'a fusillé du regard avant de se retourner pour regarder son nouvel homme avec des yeux brillants. Waylon a immédiatement perdu les pédales.
Rena est entrée dans une liaison avec Waylen, un milliardaire, un soir où elle avait trop bu. Elle avait besoin de son aide, tandis qu'il était attiré par sa beauté. Ainsi, ce qui devait être une aventure d'une nuit s'est transformé en quelque chose de sérieux. Tout allait bien jusqu'à ce que Rena découvre que le cœur de Waylen appartenait à une autre femme. Lorsque son premier amour est revenu, il a cessé de rentrer à la maison, laissant Rena seule toutes les nuits. Elle a supporté cela jusqu'à ce qu'elle reçoive un chèque et une note d'adieu un jour. Contrairement à ce à quoi Waylen s'attendait, Rena avait un sourire sur son visage en lui disant au revoir. « Ça a été amusant, Waylen. J'espère que nous ne croiserons jamais nos chemins. » Mais comme le destin l'aurait voulu, leurs chemins se sont de nouveau croisés. Cette fois, Rena avait un autre homme à ses côtés. Les yeux de Waylen brûlaient de jalousie. Il a craché : « Comment as-tu pu te mettre avec un autre homme ? Je pensais que tu n'aimais que moi ! » « Comme tu l'as dit, aimais, c'est du passé ! » Rena a jeté ses cheveux en arrière et a rétorqué : « Il y a plein de poissons dans la mer, Waylen. De plus, c'est toi qui as demandé une rupture. Maintenant, si tu veux sortir avec moi, tu dois attendre ton tour. » Le lendemain, Rena a reçu sur son compte des milliards et une bague en diamant. Waylen est réapparu, s'est agenouillé et a dit : « Puis-je m'intercaler dans la file d'attente, Rena ? Je te veux toujours. »
Comment peut-on tourmenter une personne ? Pour Vincent, c'est de la piéger dans un mariage sans amour et de remplir ses journées d'humiliations et de misères sans fin. Il était convaincu que la perfide Kaitlin méritait tout cela, et n'a jamais regretté ses actes jusqu'à ce qu'il se tienne devant sa tombe. Kaitlin avait vingt ans lorsqu'elle est tombée amoureuse de Vincent. Pendant les trois années qui ont suivi, elle a été l'humble et douce épouse de Vincent, supportant son impitoyable ressentiment tout en l'aidant à atteindre le sommet. « L'amour ? » Il s'est moqué d'elle dans ses dernières heures. « Il n'y a jamais eu d'amour entre nous. » Comment peut-on détruire quelqu'un ? Pour Kaitlin, c'est de le faire savoir au dernier moment que c'est sa propre main qui a détruit ce qu'il chérissait le plus. Quand Vincent a appris la vérité qu'il attendait depuis longtemps, il l'avait déjà détruite lui-même.
Melissa avait pu tolérer d'être trompée et humiliée, mais elle ne pouvais pas se voir accuser à tort. Aux yeux de son mari, trois ans de mariage étaient moins importants qu'une simple larme de sa maîtresse Arielle. Et finalement, un jour pluvieux, elle avait été impitoyablement abandonnée. Cinq ans plus tard, Melissa a réapparu avec ses adorables jumeaux, telle une reine dans le milieu médical. C'est alors que son ex-mari, Everett, revenait à la charge en lui demandant de l'aider à soigner Arielle... « Papi, si tu veux parler à maman, tu dois d'abord passer mon test. » Le jeune fils de Melissa, Merrick, a levé fièrement le menton. « Papi ? » Everett s'est demandé s'il avait l'air si vieux que ça ? « Dis donc, papa, tu es vraiment très vieux... », a affirmé Lindsey, la sœur jumelle de Merrick, avec une moue.
[Bébé mignon + Identité secrète + Héros et héroïne puissants]. Caroline a aimé Damian de tout son cœur pendant cinq ans. Elle s'est dévouée à lui et a vécu humblement pour lui. Quand leur relation a rencontré des crises, elle a espéré que sa grossesse allait asseoir leur mariage, mais ce qu'elle a obtenu en retour n'était qu'un accord de divorce. Et pour couronner le tout, alors qu'elle était sur le point d'accoucher, elle s'est fait la cible d'un coup monté et sa vie a été mise en danger. Après avoir survécu à une expérience aussi éprouvante, elle était déterminée à couper les ponts avec cet homme. Cinq ans plus tard, elle est revenue la tête haute, à la tête d'une entreprise renommée. Ceux qui avaient l'habitude de l'intimider ont maintenant goûté à leur propre médecine. Et la vérité sur le passé a peu à peu refait surface... Ebloui par la confiance retrouvée de Caroline, son ex-mari a voulu se remettre avec elle, mais elle a fermé les yeux sur ses avances. Damian a désespérément supplié : « Chérie, notre bébé a besoin de ses deux parents. S'il te plaît, remarie-toi avec moi ! »
Madisyn a découvert avec stupeur qu'elle n'était pas l'enfant biologique de ses parents. À cause des manigances de la vraie fille, elle a été mise à la porte et est devenue la risée de tous. Alors qu'on la croyait issue d'une famille de paysans, Madisyn a découvert que son vrai père était l'homme le plus riche de la ville et que ses frères étaient des personnalités renommées dans leur domaine respectif. Ils la couvraient d'amour, avant d'apprendre que Madisyn avait sa propre entreprise florissante. « Arrêtez de me harceler », lui a dit son ex. « Mon cœur n'appartient qu'à Jenna. » « Comment oses-tu penser que ma femme a des sentiments pour toi ? », a affirmé un mystérieux gros bonnet.