Un petit garçon se balade dans la cour il marche en direction d'une maison en terre battue. des enfants et une femme sont assis devant la porte en le voyant arriver, la femme se met dans une colere noire.
Un petit garçon se balade dans la cour il marche en direction d'une maison en terre battue. des enfants et une femme sont assis devant la porte en le voyant arriver, la femme se met dans une colere noire.
#DESTINEE
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Un petit garçon se balade dans la cour il marche en direction d'une maison en terre battue. des enfants et une femme sont assis devant la porte en le voyant arriver, la femme se met dans une colere noire.
Femme: ne passe pas ici va voir ta mère enfant maudit ne raméne pas ta malchance ici.
Le petit garçon reste figer sur place durant un bon bout de temps avant de retrousser chemin en larmes.
____ junior junior pourquoi est ce que tu pleures ?
Demande une jeune femme en se dirigeant vers le petit garçon toujours en pleure. Elle se baisse en son niveau et essuie ces larmes.
____ patience arrête de pleurer pourquoi est ce que tu pleures ??
Garçon: ma...man jean...ne m'a chas...sé.
____ ça va arrête de pleurer cheri chut ( en essuyant ces yeux)
Garçon: mam....an C'est..... quoi... un... en....fant mau....dit ??
___ où as tu entendu cela ?
Garçon:ma.....man jean...ne a dit que j'etais un.... enfant mau...dit.
___ ne l'ecoute pas. Dit elle en pleure.
Elle le prend dans ces bras en camouflant ces larmes dans le dos du petit garçon.
Je suis Marie Fa'a j'ai 26 ans je suis mariée à willy Fa'a cet enfant que je tiens dans mes bras c'est mon deuxieme enfant.
Je me souviens encore de ce jour où je l'ai tenu dans mes bras pour la premiere fois.
Mes yeux s'etaient remplis de larmes tellement il était beau lorsque mes yeux se sont posés sur son petit visage. Il etait si fragil et si mignon ces petits organes etaient encore si miniscules.
A ce moment là je ne pouvais pas imaginer que le petit ange que je tenais entre mes bras ce jour là n'etais pas comme les autres.
En plus d'avoir un teint plus claire que la normale à la naissance il l'était aussi pas son comportement.
Il avait grandi comme tout un enfant normal jusqu'à ce qu'il ait huit mois et ne se mettent à marcher puis à un ans il s'est remit à ramper.
Je me suis dit que ce n'etait qu'un caprice mais cela dura un peu trop longtemps et c'est à cet instant que j'ai constaté qu'il y avait quelques choses qu'il n'allait pas. La voix de ma belle mère vient me faire sortir de mes pensees.
___ que ce passe t- il ici ?
Demande t - elle en se rapprochant de nous. Je me leve et lui fait fasse.
Moi: il n'y a pas de soucis maman juste que ma'a jeanne qui ne s'est pas du tout retenue de dire ce qu'elle pense comme d'habitude.
Jeanne etait la coépouse de ma belle mère genevieve.
___ je vois pas la peine de faire cette tête c'est son travail et tu le sais essuie tes larmes ma fille.
Moi: merci maman comment était la reunion ?
___ comme d'habitude nous nous sommes bien engueulées.
Elle l' entre dans la maison et s'asseoir directement sur le lit en bambou poser derriere la porte. Mon mari vit en ville où il travail tandis que moi je suis au village avec ma belle mère qui est veuve depuis plusieurs années. Mon fils ainee vit également avec moi ma belle mère est une femme de la quarantaine doué d'une gentillesse inestimable et un grand coeur. En me mariant j'ai quitté ma mére et dieu m'en a donné une autre. Junior à quatre ans et son grand frere ben 8ans je ne crois pas être capable de donner encore naissance à un autre enfant de toute ma vie. La journee est tres vite passée nous sommes en soiree et les enfants dorment deja. Je suis assise à la cuisine avec ma belle mère lorsque ben m'appelle à haute voix.
Ben: MAMAN MAMAN
Je me dirige en toute vitesse vers la chambre en arrivant je trouve junior entrain de faire une crise de convulsions il se debat dans tout les sens. bave et à les yeux jetés dans le vide. Je le porte dans mes bras et j'essaye de le réveillé
___ JUNIOR JUNIOR reveille toi cheri ( pleure) repond moi est ce que tu m'entends ?
Je tapote sa joue et lui secours mais il ne réagir pas quelques minutes apres il se calme progressivement puis s'endort. Je regarde son visage fatigué et ces yeux clos.
Belle mère: c'est bon ma fille il faut le laisser se reposer ok il doit être fatiguer.
J'acquice de la tête et le fait coucher sur le lit. Je l'observe durant un long moment avant de sortir de la chambre. Je ne saurais expliquer le sentiment qui m'anime en ce moment. Est ce de l'impuissance ? Ou de la malchance ? Je ne saurais le dire mais si je suis su d'une chose c'est que le voir dans cette etat me brise le coeur chaque mère n'a qu'un seul rêve.Celui de voir ces enfants heureux et épanoui dans tout ce qu'ils font. Au debut de ces crises je me suis dit qu'elle n'était que passageres et qu'au bout d'un moment elles disparaîtraient mais je me suis être trompé. Parce qu'elles ont continué jusqu'aujourd'hui.
Genevieve: Marie Marie
___ oui maman
Genevieve: cesse de pleurer dieu est au control et seul lui à la solution à nos problemes. je sais que cela n'est pas du tout facile mais soit forte.
___ j'essaye maman mais à chaque fois je ne peux m'empêcher mes larmes de couler. La douleur est juste insupportable ( pleure).
Genevieve: shut Assia va te reposer je vais veuiller sur lui ne t'inquiète pas.
____ bonne nuit maman.
Je sors de la chambre et part me coucher dans la chambre que j'occupais avec maman. J'ai eu beaucoup de mal a trouvé le sommeil tout ces souvenirs de ces premiers jours de vie jusqu'aujourd'hui me hantaient l'esprist.Le lendemain je me suis réveillée tres tot vu que je pars au champs aujourd'hui. La parcelle est située près de la maison je fais réchauffer la nourriture d'hier que je fais manger aux enfants. Avant de sortir de la maison je tombe sur mon ami hotense en cours de route.
___ bonjour comment vas tu ?
Hotense: je vais bien et les enfants ?
___ Ils se portent également bien juste junior qui a encore fait une crise hier.
Hotense: waire Assia. en parlant même de lui j'ai appris qu'il y avait un grand guerisseur qui à fait ces preuves . On parle de lui dans les villages voisins. Il vit de l'autre coté du village je pourrais t'y amener si tu es d'accord ?
___ je vais en parler à maman et je vais te faire signe.
Hotense: ok je te laisse bonne journee a toi.
___ merci meilleur à toi.
C'est ainsi que nous nous separarons chacune prend sa direction.Je passe toute ma journee a travaillé le soir venu je rentre à la maison. En me voyant arriver les enfants courent vers moi.
Ben: maman maman yaya.... Yayato
Junior: maman
Il se jettent tous les deux sur moi je remarque une égratignure sur le front de junior.
___ Ben pourquoi ton frere porte t - il une cicatrice sur le front ?
Ben: Nous etions entrain de jouer dans la cour lorsque junior est venu daniel et les autres l'ont chassé. En volant fuir il est tombé.
Daniel est l'un de leurs cousins un vrai petit diable .
___ Où etais tu durant ce temps je t'ai toujours demandé de jouer avec ton frere ? Pourquoi ne l'as tu pas fait ?
Ben: il ne connait pas du tout jouer il passe son temps à tombé et s'enrouler comme un serpent.
_____......quoi ( la bouche ouverte).
Dans une grande maison de la region de l'ouest cameroun vu de l'exterieur c'est un joyo architectural. Au dernier etage à travers les vitres on observe une jeune femme de la vingtaine qui s'habille rapidement. Elle descent les escaliers en toute vitesse comme si elle était pressée.
Hier j'étais vraiment en colère. Suzanne n'est pas juste ma tante elle est comme une mère pour moi . J'ai véçu sur son toit durant des années et même si elle a toujours été un peu dure avec moi celle ne fais pas d'elle une mauvaise personne. Et le fait que Joel pense du mal d'elle m'a vraiment contrarié. Ce qui m'a vraiment retourné c'est le fait qu'il prenne la defense de cette fille. Stuip alors qu'il est a au courant de ces agissements.
Larissa FADIO est une jeune femme de 26 ans qui vit chez son oncle Jacque et sa femme Suzanne. Orpheline depuis l'age de cinq elle a été obligé de vivre avec son oncle et ces frères sont restes au village. Elle n'a pas puis finit ces etudes pour plusieurs raisons du coup depuis deux ans elle suit une formation de couturière dans un atelier de la place. Ce matin encore elle doit s'y rentre elle s'est habillée simplement juste une mini robe qui laisse voir ces longues jambes. Parce que oui Larissa etait geante et avait une corpulence qui lui donnait des allures de mannequins sans oublié son teint chocolat. Decidement elle etait une très belle femme qui n'avait rien à envié aux autres femmes de son age.
J’ai regardé mon mari signer les papiers qui allaient mettre fin à notre mariage, pendant qu’il envoyait des textos à la femme qu’il aimait vraiment. Il n’a même pas jeté un œil à l’en-tête. Il a juste griffonné sa signature nerveuse et acérée, celle qui avait signé les arrêts de mort de la moitié de Marseille, a balancé le dossier sur le siège passager et a tapoté à nouveau son écran. « C’est fait », a-t-il dit, la voix dénuée de toute émotion. Voilà qui était Dante Moretti. Le Sous-Chef. Un homme capable de sentir un mensonge à des kilomètres, mais incapable de voir que sa femme venait de lui faire signer un décret d’annulation, dissimulé sous une pile de rapports logistiques sans intérêt. Pendant trois ans, j’ai frotté le sang sur ses chemises. J’ai sauvé l’alliance de sa famille quand son ex, Sofia, s’est enfuie avec un civil. En retour, il m’a traitée comme un meuble. Il m’a laissée sous la pluie pour sauver Sofia d’un ongle cassé. Il m’a laissée seule le jour de mon anniversaire pour boire du champagne sur un yacht avec elle. Il m’a même tendu un verre de cognac – sa boisson préférée à elle – oubliant que je détestais ça. Je n’étais qu’un bouche-trou. Un fantôme dans ma propre maison. Alors, j’ai arrêté d’attendre. J’ai brûlé notre portrait de mariage dans la cheminée, laissé mon alliance en platine dans les cendres et pris un aller simple pour Genève. Je pensais être enfin libre. Je pensais m’être échappée de la cage. Mais j’avais sous-estimé Dante. Quand il a finalement ouvert ce dossier des semaines plus tard et réalisé qu’il avait renoncé à sa femme sans même regarder, le Faucheur n’a pas accepté la défaite. Il a mis le monde à feu et à sang pour me retrouver, obsédé par l’idée de récupérer la femme qu’il avait déjà jetée.
Rena est entrée dans une liaison avec Waylen, un milliardaire, un soir où elle avait trop bu. Elle avait besoin de son aide, tandis qu'il était attiré par sa beauté. Ainsi, ce qui devait être une aventure d'une nuit s'est transformé en quelque chose de sérieux. Tout allait bien jusqu'à ce que Rena découvre que le cœur de Waylen appartenait à une autre femme. Lorsque son premier amour est revenu, il a cessé de rentrer à la maison, laissant Rena seule toutes les nuits. Elle a supporté cela jusqu'à ce qu'elle reçoive un chèque et une note d'adieu un jour. Contrairement à ce à quoi Waylen s'attendait, Rena avait un sourire sur son visage en lui disant au revoir. « Ça a été amusant, Waylen. J'espère que nous ne croiserons jamais nos chemins. » Mais comme le destin l'aurait voulu, leurs chemins se sont de nouveau croisés. Cette fois, Rena avait un autre homme à ses côtés. Les yeux de Waylen brûlaient de jalousie. Il a craché : « Comment as-tu pu te mettre avec un autre homme ? Je pensais que tu n'aimais que moi ! » « Comme tu l'as dit, aimais, c'est du passé ! » Rena a jeté ses cheveux en arrière et a rétorqué : « Il y a plein de poissons dans la mer, Waylen. De plus, c'est toi qui as demandé une rupture. Maintenant, si tu veux sortir avec moi, tu dois attendre ton tour. » Le lendemain, Rena a reçu sur son compte des milliards et une bague en diamant. Waylen est réapparu, s'est agenouillé et a dit : « Puis-je m'intercaler dans la file d'attente, Rena ? Je te veux toujours. »
Ils ne savent pas que je suis une fille. Ils me regardent tous et voient un garçon. Un prince. Les gens de leur espèce achètent des humains comme moi pour assouvir leurs désirs lubriques. Et quand ils ont fait irruption dans notre royaume pour acheter ma sœur, je suis intervenue pour la protéger. Je les ai obligés à me prendre aussi. Le plan était de s'échapper avec ma sœur dès que nous en aurions l'occasion. Comment pouvais-je savoir que notre prison serait l'endroit le plus fortifié de leur royaume ? J'étais censée rester à l'écart. Celle dont ils n'avaient pas vraiment besoin. Celle qu'ils n'ont jamais voulu acheter. Mais voilà que la personne la plus importante de leur pays sauvage, leur impitoyable roi-bête, s'est intéressée au « joli petit prince ». Comment survivre dans ce royaume brutal, où tout le monde déteste nos semblables et n'a aucune pitié pour nous ? Et comment une personne, avec un secret comme le mien, peut-elle devenir une esclave de la luxure ? NOTE DE L'AUTEUR Il s'agit d'une romance noire, au contenu sombre et mature. Très bien noté 18+ Attendez-vous à des déclencheurs, attendez-vous à du hardcore. Si vous êtes un lecteur chevronné de ce genre, à la recherche de quelque chose de différent, prêt à y aller à l'aveuglette sans savoir à quoi s'attendre à chaque tournant, mais désireux d'en savoir plus de toute façon, alors plongez ! Par l'auteur du best-seller international : « L'esclave détestée du roi Alpha ».
Sa sœur refuse catégoriquement d'épouser son fiancé. On dit de lui qu'il est hideux, froid... et pire encore, impuissant. Sa mère s'agenouille, implorant Clara : « Ma fille... sauve ta sœur. Prends sa place à l'autel. » Un frisson parcourt son échine . C'est insensé... et pourtant, Clara accepte. Le soir des noces, tout bascule. L'homme qu'on disait monstrueux est d'une beauté à couper le souffle. Mais son regard, glacé, la transperce : - Tu es d'une laideur sans nom. Elle s'attendait à une indifférence polie... elle découvre une brutalité inattendue. Il la plaque sur le lit, ses mots tranchants comme une lame : - Peu importe ton visage. À présent, tu es mienne. Clara relève les yeux, son cœur battant à tout rompre. Elle ose répliquer d'une voix ferme : - Toi, en revanche... tu n'as rien d'impuissant. Et quand il arrache enfin ses déguisements, révélant un visage d'une beauté envoûtante, son sourire s'assombrit : - Il semblerait que les rumeurs étaient fausses... mais désormais, tu ne pourras plus échapper à ton rôle d'épouse.
Laide et obèse Olivia Harper est la risée de la ville lorsque son fiancé rompt leurs fiançailles. Olivia réussit à perdre du poids et revient plus tard dans une beauté éblouissante. Son ex-petit ami lui apporte des fleurs et s'excuse en disant : "J'avais tort, Olivia". Je ferai n'importe quoi pour que tu reviennes vers moi, et je le ferai. Olivia sourit et lui répond : "Les vrais hommes ne s'attardent pas sur le passé." Après s'être mis en colère, il dit à Olivia : " Tu n'es qu'une idiote chargée de bagages dont je me suis débarrassé. Personne ne voudra jamais de toi à part moi !"
Être la deuxième meilleure, c'est pratiquement inscrit dans mes gènes. Ma sœur recevait l'amour, l'attention, les feux des projecteurs. Et maintenant, même son foutu fiancé. Techniquement, Rhys Granger était maintenant mon fiancé : milliardaire, d'une beauté renversante, et un rêve ambulant de Wall Street. Mes parents m'ont poussée dans cet engagement après la disparition de Catherine, et honnêtement ? Ça ne me dérangeait pas. J'avais craqué sur Rhys depuis des années. C'était ma chance, non ? Mon tour d'être celle que l'on choisit ? Faux. Un soir, il m'a giflée. À cause d'une tasse. Une stupide, ébréchée et moche tasse que ma sœur lui avait offerte des années auparavant. C'est à ce moment-là que j'ai compris : il ne m'aimait pas. Il ne me voyait même pas. Je n'étais qu'un substitut à peine chaleureux pour la femme qu'il désirait réellement. Et apparemment, je ne valais même pas une simple tasse à café glorifiée. Alors je l'ai giflé en retour, largué sur-le-champ, et préparé la catastrophe : mes parents perdant la tête, Rhys piquant une crise de milliardaire, sa famille effrayante complotant ma perte prématurée. Évidemment, j'avais besoin d'alcool. Beaucoup d'alcool. C'est là qu'il est apparu. Grand, dangereux, injustement séduisant. Le genre d'homme qui vous donne envie de succomber rien qu'en existant. Je ne l'avais rencontré qu'une seule fois auparavant, et ce soir-là, il se trouvait justement au même bar que moi, en pleine autosatisfaction alcoolisée. Alors j'ai fait la seule chose logique : je l'ai traîné dans une chambre d'hôtel et arraché ses vêtements. C'était irréfléchi. C'était stupide. C'était complètement déconseillé. Mais c'était aussi : le meilleur sexe de ma vie. Et, il s'est avéré que c'était la meilleure décision que j'aie jamais prise. Parce que mon aventure d'un soir n'est pas qu'un type quelconque. Il est plus riche que Rhys, plus puissant que toute ma famille, et assurément plus dangereux qu'avec qui je devrais m'amuser. Et maintenant, il ne compte pas me laisser partir.
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