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Cendrillon à la marocaine
Cendrillon à la marocaine
Assalamou alaykoum wa rahmatoullah wa barakatouh ! 💕
Septembre,
J'étais encore en vacances, au Maroc. La rentrée c'est passée il y a deux semaines, je l'avais raté. En plus, cette fois ci c'est pas à Marseille que je rentre, mais dans une autre ville (dont je ne citerai pas le nom). J'avais un pansement au cœur de quitté la ville où j'ai grandi mais j'étais impatiente et tarpin contente d'aller dans ma nouvelle ville. Pourquoi ? Eh bien ma copine Nisa habite là-bas, on sera dans le même lycée en plus !
Mohim, je me suis réveillée vers 10h, j'ai mis une abaya vtf et je suis sortie. J'ai pris un taxi et je suis allée direction le cimetière.
Moi : Chokran.
Je sors du taxi et marche jusqu'à l'entrée du cimetière.
... : Assalamou Alaykoum.
Moi : Alaykoumou Salam.
Je poursuit ma route jusqu'à leurs tombe.
Je connaissais cet endroit par cœur. Je sais exactement où est leurs tombe.
Je m'agenouille devant. Je prends une bouteille d'eau qui était à côté et en verse dessus.
Les larmes ont commencé à couler, comme à chaque fois que je viens ici, les voir...
Vous vous demandez sûrement qui c'est ?
Eh bien, ceux sont mes parents. Mes vrais parents.
Je vais vous expliquez brièvement.
J'avais 11 ans, avec mes parents, on était allée à la fête foraine. A vrai dire, c'est moi qui ai insisté pour y aller...
Sur le chemin du retour, une voiture à percuter très violemment notre voiture. Mes parents y sont morts...
Pour moi, on peut me dire tout et n'importe quoi, si ils ne sont plus là, c'est ma faute. Si je n'avais pas forcé comme je l'avais fait, ils seraient peut-être encore là...
Depuis qu'ils ne sont plus là, c'est Lamia et Riyad qui s'occupe de moi. C'était des amis très proches de mes parents, vraiment très proches. Ils ont vite fait une demande pour qu'ils soient mes représentants légaux, et aujourd'hui c'est le cas.
Mohim, une fois ma visite finie, je suis rentrée chez moi.
J'ai dis au revoir à ma famille, et j'ai pris un taxi pour aller à l'aéroport.
Les départs sont toujours émouvant. J'vous jure j'avais pas envie de partir ! J'étais bien là où j'étais, avec ma famille !
Mais bon, la vie va reprendre son court...
Après 2heures de vols, je suis enfin arrivée.
Je suis sortie de l'aéroport, et je suis allée sur le parking. Normalement Riyad devait venir me chercher.
Un peu plus loin je le vois, arrivé au loin.
Il a l'air énervé.
Riyad : T'en a mis du temps ! Tu crois j'ai que ça à faire !? Dépêche toi, viens !
Super l'accueil, mais bon je vois que mes habitudes ne changent pas...
Moi : Désolée, mais c'est pas ma faute y'avais tarpin de monde.
Riyad : C'est jamais ta faute avec toi ! Aller avance !
On va vers la voiture, je met ma valise dans le coffre et je monte.
Riyad : Demain tu vas en cours.
Moi : Demain ?!
Riyad : T'as déjà raté deux semaines !
Moi : Mais demain c'est trop tôt !
Riyad : Demain c'est lundi, donc tu y vas c'est tout !
Mohim, on est arrivé dans notre nouvelle maison.
Je suis rentrée, j'ai Salam tout le monde et je suis allée dans ma nouvelle chambre.
J'ai sauté sur mon lit et je me suis endormie.
... : Lève toi ! Chemsa !
Moi : Qu'est-ce qui ya ?
Lamia : Va faire à manger ! C'est fini les vacances !
Moi : Dounia ou Marwa elles peuvent pas le faire. 3afek j'suis trop fatiguée.
Lamia : Lève tou j't'ai dit !
Je me suis donc levée péniblement et je suis descendu faire à manger.
J'ai vraiment l'impression d'être la boniche ici. Va faire à manger, va faire le ménage, va faire les courses, va faire une lessive, va faire si, va faire ça...
C'est tout le temps comme ça !
Mais en sah je vais pas me plaindre, el hamdoulillah j'ai un toit, je mange bien, j'ai tout ce dont j'ai besoin.
Mohim quand j'ai terminé de faire à manger, je suis retournée dans ma chambre et j'ai appelé Nisa en FaceTime.
FaceTime
Nisa : SALAM MAVIII !
Moi : Salam ! Sava ?
Nisa : El hamdoulillah et toii ? Ton vol ça été ???
Moi : Sava el hamdoulillah.
Nisa : el hamdoulillah. J'ai vraiment trop hâte qu'on se voit !!
Moi : Même moi !! J'suis trop impatiente !
Nisa : Demain tu viens ?
Moi : Ouii ! Même si je voulais pas trop commencer demain j'suis obligée.
Nisa : T'as raté deux semaines ma belle. Faut pas abuser. Moi aussi j'aurai trop aimer rester en Turquie.
Moi : Mais deux semaines c'est rien.
Nisa : En deux semaines on a fait trois contrôle alors que c'est la rentrée donc bon.
Moi : Toujours le dernier mot toi !
Nisa : Bah ouii ! Bon je te laisse te reposer, demain je passe te chercher pour qu'on aille à l'arrêt de bus.
Moi : Tu sais où j'habite déjà ?
Nisa : Bah ouiii t'inquiète pas.
Moi : Vazii bah bisousss a demain incha'الله !!!
Nisa : Bisoussss ! Rêve bien de ton chéri !
Moi : T'inquiète pas ! *fou rire*
Fin FaceTime
C'est vraiment trop ma vie cette fille !
Mohim, je suis allée manger, j'ai préparé mes affaires pour demain et je suis allée dormir.
Je vais vous expliquez la phrase "rêve bien de ton chéri". Alors non je ne suis pas en couple, non je ne suis pas en cruch, non je ne flirt pas.
Depuis début juillet, toutes les nuits sans exception, je rêve d'un garçon. Je me réveille toujours vers 4/5heures du sbah. Et quand je veux me souvenir de son visage, je n'y arrive jamais. Je ne le connais pas, je ne me souviens pas à quoi il ressemble mais je rêve de lui, sans cesse.
Mohim, je me suis endormie et comme d'hab je me suis réveillée vers 4h30 du sbah. J'arrivais plus à dormir. J'ai tourné dans tout les sens pendant un looonnng moment. Mais bon, j'ai décidé de me lever.
« Liliane, j'ai besoin que tu donnes un de tes reins à Chloé. » La voix calme de mon mari, Arnaud, a transformé le salon parisien en scène de cauchemar. Ma main tenant le pinceau s'est figée, l'odeur réconfortante de la térébenthine me soulevant désormais le cœur. Un rein. Pour Chloé, sa jeune stagiaire, la femme pour qui il me négligeait depuis des mois. La demande, monstrueuse, a eu peine à être traitée par mon cerveau. « Ses reins sont en train de lâcher, a-t-il poursuivi sans la moindre émotion. Tu es compatible. C'est la solution la plus simple. » La solution la plus simple. Comme si j'étais un objet, interchangeable. Une douleur fulgurante m'a frappée, voilant ma vision. Puis, une secousse. Un flash aveuglant. Je n'étais plus là. J'étais dans les flammes, entendant ma propre voix crier son nom. J'ai vu Arnaud porter Chloé hors du brasier, sans un regard pour moi, piégée. Il m'a laissée mourir. La douleur de sa trahison était mille fois pire que la poutre sur ma jambe. Quand j'ai rouvert les yeux, j'étais de retour dans cet atelier. Arnaud était là, avec la même expression froide. Ce n'était pas un rêve. C'était un souvenir de ma mort. J'étais revenue. Au jour où il m'avait demandé l'ultime sacrifice. Cette fois, les choses seraient différentes. Il ne me détruirait plus.
Kaelyn a passé trois ans à s'occuper de son mari qui avait été victime d'un terrible accident. Mais une fois qu'il a été complètement rétabli, il l'a abandonnée et a ramené son premier amour de l'étranger. Le cœur brisé, Kaelyn a décidé de divorcer, sous le regard moqueur des gens qui se moquaient d'elle. Elle s'est ensuite réinventée, devenant un médecin très recherché, une championne de course automobile et une architecte de renommée internationale. Malgré cela, ceux qui l'avaient trahie ricanaient avec dédain, croyant que Kaelyn ne trouverait jamais quelqu'un qui l'aimerait. C'est alors que l'oncle de son ex-mari, un puissant chef de guerre, revient avec son armée pour demander la main de Kaelyn.
Janet a été adoptée quand elle était enfant, pour les orphelins, c'est comme un rêve devenu réalité. Cependant, sa vie était tout sauf heureuse. Sa mère adoptive l'a constamment raillée et brutalisée. L'amour et l'affection familiaux qu'elle a jamais connus venaient de la vieille domestique qui l'a élevée. Malheureusement, la domestique est tombée malade, les parents adoptifs de Janet ne voulaient pas payer ses frais médicaux sauf si Janet remplacer leur fille biologique pour épouser un homme tristemet célèbre. Serait-ce un conte de Cendrillon ? Mais l'homme était loin d'être un prince, à l'exception de sa belle apparence. Ethan était le fils illégitime d'une famille riche qui menait une vie insouciante et avait du mal à joindre les deux bouts. Il s'est marié pour réaliser la dernière volonté de sa mère. Cependant, lors de sa nuit de noces, il a constaté que sa femme était différente qu'il l'avait cru. Le destin avait uni ces deux personnes qui avaient tous les deux de profonds secrets. Ethan était-il vraiment l'homme qu'on pensait qu'il était ? Étonnamment, il ressemblait étrangement à l'homme le plus riche et le plus mystérieux de la ville. Découvrirait-il que Janet l'a épousé à la place de sa sœur ? Leur mariage sera-t-il un conte romantique ou un désastre total ? Lisez la suite pour découvrir l'histoire de Janet et Ethan.
« Chassez cette femme ! » « Jetez cette femme dans la mer ! » Quand il ne connaîssait pas la véritable identité de Debbie Nian, Carlos Huo la méprisait. « M. Huo, elle est ta femme », lui a rappelé le secrétaire de Carlos. En entendant cela, Carlos lui lance un regard froid en se plaignant : « Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt ? » Depuis, elle est pourrie gâté par Carlos. Personne ne s'attendait à ce qu'ils puissent se divorcer.
J'étais enceinte de quatre mois, une photographe enthousiaste quant à notre avenir, participant à un brunch de bébé sophistiqué. Puis je l'ai vu, mon mari Michael, avec une autre femme, et un nouveau-né présenté comme son fils. Mon monde s'est effondré tandis qu'un torrent de trahison me submergeait, magnifié par l'affirmation méprisante de Michael, qui prétendait que j'étais simplement trop émotive. Sa maîtresse, Serena, m'a narguée, révélant que Michael avait discuté de mes complications de grossesse avec elle, puis m'a giflée, provoquant une crampe terrifiante. Michael a pris son parti, me couvrant de honte publiquement, exigeant que je quitte leur fête, alors qu'un blog mondain les présentait déjà comme une famille de carte postale. Il s'attendait à ce que je revienne, que j'accepte sa double vie, disant à ses amis que j'étais dramatique mais que je finirais toujours par revenir. L'audace, la cruauté calculée de sa tromperie et la malveillance glaçante de Serena ont nourri en moi une rage froide et dure que je peinais à reconnaître. Comment avais-je pu être si aveugle, si confiante envers l'homme qui m'avait manipulée pendant des mois tout en construisant une seconde famille ? Mais sur la moquette moelleuse de ce cabinet d'avocat, alors qu'il me tournait le dos, une nouvelle résolution, inébranlable, s'est solidifiée. Ils pensaient que j'étais brisée, jetable, facilement manipulable – une épouse raisonnable qui accepterait une séparation de façade. Ils n'avaient aucune idée que mon acceptation calme n'était pas une reddition ; c'était une stratégie, une promesse silencieuse de démanteler tout ce qui lui était cher. Je ne me laisserais pas faire ; je ne comprendrais pas ; je mettrais fin à tout cela, et je m'assurerais que leur mascarade de famille parfaite s'effondre en poussière.
Dans mon ancienne vie, Bastien, mon fiancé, et mon frère, Hugo, étaient mon univers, les piliers inébranlables de mon existence. Puis, Clara est arrivée – une fille aux larmes faciles, sans histoire – et en un clin d' œil, elle a tout volé. Mon fiancé a rompu nos fiançailles, mon frère a brisé sa promesse de me protéger. Tous deux se sont tournés vers elle, me traitant comme une intruse. J'ai été publiquement humiliée, bousculée, accusée de jalousie. Ils ont permis qu'elle vole la formule de parfum inachevée de ma mère, mon héritage le plus précieux. Pire encore : la montre Cartier de ma mère, celle qu'elle m'avait léguée et que j'ai vue à son poignet, Bastien l'a brisée sous mes yeux. Et Hugo voulait donner le refuge de ma mère à cette usurpatrice. Leur trahison a dépassé l'entendement. Ce jour-là, au fond de cet abîme de douleur, j'ai réalisé que l'amour que je leur portais était mort. Et, étrangement, la haine aussi. Il ne restait qu'un vide glacial. Comment des êtres que j'avais tant aimés ont-ils pu me dénier mon existence même, me traiter en ennemie pour une étrangère? Alors, j' ai décidé de disparaître. J' ai mis le feu à notre appartement parisien, à tous nos souvenirs, laissant des indices pour qu' on me croie morte dans les flammes. C'était la seule façon de renaître de mes cendres, loin d'eux, sous un nouveau nom, Léa Martin. Mais ce qu'ils ont ignoré, c'est que cette mort n'était que le début de ma véritable vie, et la leur, celle d'un remords sans fin.
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