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Il prit l'un de ses côtes
Il prit l'un de ses côtes
Partie 1
Adossée dans le fauteuil du Mariott hotel de Boston, je regarde les participants au colloque sur la relation d'aide. Des personnes arrivent des quatre coins du globe et je me sens un peu perdu dans cet environnement fait de luxe et de beauté.
Mais je ne me suis pas encore présenté. Je suis le Pasteur Paul-Yvan, je viens de la Côte d'Ivoire. Je sais vous vous dites que je suis un de ses grands pasteurs avec des pontes de la république qui me verse les grosse dîmes et les offrandes à 7 chiffres pour s'acheter une bonne conscience.
Non, je suis un jeune pasteur ivoirien, il y a trois ans, le Seigneur a mis sur ma route une jeune femme, atteinte de folie. Personne ne savait ni qui elle était ni d'où elle venait. A force de jeune et de prière, le Seigneur nous avait permis d'arriver au terme de cette délivrance. Et lorsqu'elle a retrouvé sa lucidité, nous avons découvert qu'elle était la fille d'un homme d'affaire gabonais. Nous avons pu contacter sa famille et leur expliquer ce que devenait leur fille qui étais portée disparu depuis bientôt 3 ans. Je vous laisse imaginer la joie et la délivrance que cette nouvelle à apporter. Tiens je vous raconterais cette histoire un jour... Mais mon attention vient d'être attirée par une arrivée...
Je fixe la délégation qui marche vers la réception, et j'ai l'impression de revoir une connaissance, mais en plus jeune... c'est bizarre, sosie ? Je me rapproche de la réception et j'entends la dame s'exprimer dans un espagnol que je ne comprends pas. Elle parle à la jeune dame en espagnol, mais je ne saisi pas ce qu'elle se dise waouh c'est frappant...
Je réfléchi, ou ai-je déjà croisé ce visage... je retourne m'asseoir dans le petit salon. Je ressens le besoin de prier.
Moi : Seigneur, c'est quoi cette sensation-là ? C'est qui cette jeune femme ? Qu'attends-tu de moi ?
Et une image me revient : Je me revois marchant dans le quartier de la sablière (libreville –Gabon) entrain de méditer la parole du jour, et cette maman qui vend des oranges et des fruits... Elle lève les yeux vers moi : Mon fils, il y a des oranges et des belles mangues hein...
Le choc... la Dame, hormis la tristesse dans son regard et le poids des années, j'avais l'impression de revoir cette jeune dame là... Waouh Seigneur, que se passe t-il ici ???
Je me lève pour remonter dans ma chambre. Il me faut prier un moment... Il n'y a pas de hasard avec le Seigneur, donc assurément il a un message à me faire entendre au vue de cette situation. J'arrive dans ma chambre et je prie et je médite...
La jeune fille dont je vous parlais tout à l'heure, Cathia, celle qui avait été guéri d'une folie. Je dirais même délivré car la Jeune dame avait découvert la chambre secrète du riche homme d'affaire qui l'entretenait malgré l'argent que son père lui envoyait. Après plus d'une année, de suivi, elle a pu réapprendre à vivre et une fois qu'elle a eu fait la paix avec elle-même, elle a exprimé le désir de rentrer au Gabon. Son père insistait pour que je rentre avec elle. Il tenait à tout prix à rencontrer, celui par qui Dieu était passé pour lui rendre sa fille.
C'est ainsi qu'il y a 6 mois je me suis retrouvé pour la première fois au Gabon. Dieu m'a fait la grâce de leur annoncer l'Evangile et Dieu a vraiment fait une grande œuvre dans cette famille. J'étais de retour à Abidjan quand j'ai reçu cet appel de Papa Avome :
- Pasteur comment vas-tu ?
- Je vais bien papa, et toi la famille j'espère qu'il n'y a rien de grave.
- Rien que de bonnes nouvelles mon fils. Ecoute j'ai rencontré l'organisatrice de la conférence mondiales sur la relation d'aide à Montréal le mois dernier. Elle m'a parlé du thème de cette année j'ai tout de suite pensé à toi, et je lui ai rendu ton témoignage. Tu recevras son appel pour y participer.
- Hum papa, je suis un petit pasteur hein, les grands rassemblements là, je ne sais pas si...
- Oui Paul-Yvan, je sais que tu ne veux pas de mon argent, mais ce coup-ci ce n'est pas moi qui paie. C'est pris en charge par les organisateurs, tu vas discuter avec eux directement. Tu me permettras juste de te soutenir pour te préparer hein... On est en mars hein, tes chemises pagnes woodin là, ça ne va pas marcher là-bas hein...
Nous avons ri et le processus était enclencher. Le pasteur Lisa, une charmante quinquagénaire m'a guidé, pour l'obtention du visa et toutes les formalités...
Et là cette rencontre...
Partie 2
Le réveil de mon portable retentit violemment dans la pièce, me faisant sursauter brutalement. Je m'étais assoupi. Il est 17h, nous avons une session que je ne veux pas rater. C'est un témoignage de ce que la relation d'aide peut faire. Sur la brochure, je lis, « Des chaines de la prostitution à son admirable lumière »...
Rapidement je me rafraîchis et j'attrape mon kit du participant. Heureusement que j'ai déjà repéré la salle. J'arrive dix minutes avant le début. Les francophones sont regroupés, je me retrouve avec des pasteurs du canada, de la France, des pays arabes et quelques-uns d'Afrique noir. Nous ne sommes vraiment pas nombreux...
La lumière s'éteint dans la salle, et le podium s'illumine. Le maître de cérémonie s'avance. Je prends mon casque et je le mets, juste à temps. La salle applaudi et je vois apparaître la jeune dame et son accompagnatrice de ce matin. J'entends la traductrice nous dire que la séance sera traduite en anglais et en espagnol et que l'intervenante s'exprimera en français.
« Bonjour, je m'appelle Cassandra. C'est un nom d'emprunt. En vous rendant mon témoignage je ne pourrais pas citer les lieux où j'ai été, ni les vrais noms des personnes que j'ai croisé car ma vie est encore menacé à ce jour.
Je suis originaire d'un pays d'Afrique. Mon grand frère vivait dans un pays européen où il semblait bien avoir réussi. Tous les mois il nous envoyait des sommes importantes, et nous avions mm commencé à construire une maison. Tout le monde nous enviait. Souvent je l'appelais pour le solliciter financièrement pour mes sorties entre copine et il était toujours prompte. Au début de cette triste aventure. Il était rentré pour les vacances. Des marques, de l'argent, du high Tech... et moi j'étais gavé de cadeau et d'argent. Nous avons fait le boucan. J'avais à peine 17 ans. Il insistait pour que je ne couche avec aucun de mes petits amis. Et tous ceux qui lui semblaient difficile à maitriser étaient éjectés. C'est l'une des raisons qui a poussé ma mère à lui faire confiance.
Ce n'était que mon demi-frère, mais il prenait tellement soin de moi, que lorsqu'il a proposé à ma mère et mon père de me laisser partir avec lui, ils n'ont pas hésité. La première chose qui aurait dû nous étonner était le fait qu'il ai fait toutes les démarches pour le voyage sans avoir besoin de moi ou de nos parents, pourtant j'étais mineure...
La seconde c'était le plan de vol. Au lieu d'aller directement à destination, notre voyage à durer presque 3 jours avec une partie du trajet en car... Arrivé à destination, il était vraiment gentil, il me donnait tout ce qui me plaisait, je faisais du shopping, mangeais dans des fast food et la rentrée approchait, mais personnes n'en parlait. J'avais remarqué que tous les soirs il y avait un défilé de jeune fille habillée de manière très sexy, il y en avait de toutes les nationalités et il y avait une dame, forte assez dur du regard qui les supervisait.
Un soir tout à basculer. Je regardais le journal télévisé quand j'ai vu les reportages sur la rentrée. Aida (on l'appellera comme ça) étais à côté avec les filles. J'interpellais mon frère :
- Mais tu as bien dit aux parents que j'irais à l'école mais qu'est ce qui se passe ici ? D'abord qui sont ces filles-là ? c'est ce que tu fais pour envoyer l'argent au pays ? Moi je ne mêle pas de tes affaires mais mon histoire d'école je ne blague pas avec ça...
J'ai parlé pendant un moment, il me regardait le regard méchant l'air de dire, ma petite tu auras ce que tu cherches puis brutalement il est sorti et est revenue avec un verre. « Bois ça » ! Je ne comprenais pas, et je m'énervais, il ressorti et revint avec Aida. Et d'un seul regard elle me fit une prise qui m'empêchait de me débattre pendant que mon frère me déversait le contenu du verre dans la bouche. Aida m'empêchait de respirer pour m'obliger à avaler puis le trou noir...
(Pasteur Paul-Yvan)
-Seigneur, ce n'est pas vrai dites-moi que c'est un film, j'ai chaud j'ai froid... Mes collègues de tables sont tous silencieux, comme imprégné d'une douleur sombre...
(Cassandra)
Je me réveille attaché au lit de mon frère, bâillonner, la tête lourde, la nausée, je suis perdue... je fais un effort, je me rends compte que je suis nue, j'ouvre les yeux ! 4 paires d'yeux goguenards me scrutent avec des sourires niais. Mon frère est là, j'entends sa voix de loin « c'est bon elle se réveille, on peut commencer »...
Je vous passerais les détails, cher auditoire, mais retenez, que mon frère à assumer la responsabilité de me déflorer, violemment brutalement. Les autres étaient là pour m'ouvrir disait-il. J'ai été violé pendant combien de temps je ne sais pas. Quand la douleur devenait insoutenable je perdais connaissance. Je voulais mourir, mais je ne mourais pas, je reprenais mes esprits pour souffrir encore et encore... Je ne voulais plus me relever, mais il m'obligeait à avaler des mixtures, plus tard j'apprendrais que c'était de la drogue... et enfin je puis m'endormir, toujours attachée. Je me réveillais en me rendormais... je ne pouvais pas penser mon esprit était embué...
A un moment Aida rentra dans la chambre, je la regardais en la suppliant, tout ce que j'espérais c'était un peu de compassion. Elle me fit une injection... Et de nouveau le trou noir...
Je me suis réveillée, attacher par des menottes à un lit, dans une autre pièce. Je ne la connaissais pas. Mon pied était attaché, mais mes mains étaient libres. A part un verre d'eau je n'avais rien à portée de main. A croire qu'il y avait une caméra dans la pièce aussitôt que je me suis assise, un homme, un blanc, grand taillé comme un bloc de glace entra dans la pièce avec une dame. Une belle blonde au regard froid et caché derrière eux une africaine...
La dame parlait une langue que je ne comprenais pas et j'entendais une voix qui traduisait.
« Bien, je t'ai acheté à 50.000€ et j'entends rentabiliser mon investissement. Donc, Tu me dois 100.000€, tu as le choix. Tu peux être docile et tu commenceras dans une de mes vitrines à putes, ou alors Igor ici présent t'aidera à accepter ta situation... »
« Voici, Stone, elle sera ton guide ici. C'est votre maison... Il y a des caméras partout, les barrières sont électrifiés et tu n'as ni argent ni papiers pour t'enfuir... Si tu n'obéis pas Igor s'occupera de toi... Et tu iras faire le tapin dans la neige sous le froid pour t'apprendre les bonnes manières... »
Mon monde venait de s'écrouler autour de moi... Vendu par mon propre frère...
(Pasteur Paul-Yvan)
J'entends des snif dans la salle, je sens un liquide coulé sur ma joue... je pleure... Et moi qui croyais avoir déjà rencontré toutes l'horreur de l'humanité... la voix de Cassandra s'éteind, on la sent étreint par une vive émotion. Son accompagnatrice, prend le micro et demande une pause de 10 minutes et l'emmène...
La salle se retire pour la pause dans le silence... je ne bouge pas de ma place...
Partie 3
(Pasteur Paul-Yvan)
J'ai les yeux clos « Seigneur, je suis faible, son témoignage me choque, j'ai mal et j'ai envie de m'enfuir en courant tant j'ai mal. Mais je comprends que je ne suis pas ici par hasard. Seigner je me cache en toi pour avoir ta force. Aide moi Seigneur je t'en supplie je ne peux pas le faire sans toi... »
J'entends les autres revenir à leur place, la séance reprend, je regarde ma montre il est 18h45. La jeune femme reprend son récit.
« J'ai vécu dans ce pays pendant presque 3 ans. Après une année de vitrine parce que j'étais docile j'ai intégré la maison des plaisirs. Une maison truffée de caméra dont les films étaient diffusés sur une chaine câblée dans toutes l'Europe. Pendant près d'une année. Puis est arrivée un étranger qui ne voulait que moi pour le weekend end, il m'avait vu sur cette chaine là et voulais passer son weekend end avec moi. J'étais aux anges car ce genre de prestation rapportait gros, plus de 5 000€.
Le temps passa, et le même, appelons le Eric, revint, tous les mois pendant 1 an, pour moi. Je commençais à m'attacher à lui. Et au cours d'une de ses visites, il m'informa de son désir de me ramener chez lui. Oh ce que j'ai jubilé, j'y ai vu ma délivrance. Enfin, sorti de l'enfer de ma prostitution. Si seulement je savais.
Après trois semaines de tractation, ma propriétaire, m'appela et me dit M. Eric viens de rembourser le reste de ta dette pour que tu puisses partir avec lui. Il t'a acheté à 48.000€. Il a désormais en sa possession, tous tes papiers et tu dois faire tes affaires il passera te chercher. Mais, qu'il soit bien clair, que si tu tentes de t'échapper, de nous dénoncer ou n'importe quoi d'autres, nous te retrouverons partout dans le monde et te le ferons payer très cher... Tu ne seras en sécurité nulle part...
Je n'écoutais rien de ce qu'elle disait car je ne voyais que la liberté au bout du tunnel. Dès que je pu je couru ranger mes quelques affaires, et je me rendis compte que je n'avais rien. Ce fut vite fait, j'étais assise dans le salon. Il arriva et nous sommes partis... et j'ai découvert que l'enfer a plusieurs pallier...
Nous sommes arrivés chez Eric, mais depuis quelques heures il avait changé, il n'était plus ni affectueux ni même chaleureux... il avait une belle maison, un peu éloigné de la ville avec un grand jardin. Mais une boule au ventre m'empêchait de jubiler, je sentais que quelque chose n'était pas net. Nous sommes rentrés, il m'a dit « suis-moi » et nous somme descendu à la cave. La une chambre austère avait été aménagé. J'avais un placard des vêtements décents. Une salle de bain. Nous sommes remontés à l'étage. Une belle femme était assise à la cuisine elle me regardait comme on apprécie un gigot. Puis Eric pris la parole :
« Je te présente Hilda, mon épouse, nous sommes un couple libertin et nous aimons le sexe. J'ai apprécié tes services et j'en fait pars à mon épouse qui a souhaité que nous nous attachions tes services. Ici tu seras traité humainement. Mais tu seras à notre disposition sexuellement, tu seras payé ne t'inquiète pas. Tu pourras contacter ta famille et leur envoyer de l'argent, après tout c'est pour cela que vous venez toutes en Europe non ? Mais si tu nous dénonces tes anciens patrons s'occuperont de toi... »
Le monde s'effondrait à nouveau sous mes pieds...
J'ai vécu avec Eric & Hilda pendant 3 ans. Pour le voisinage j'étais la fille au pair. Bien traité et, au bout de 6 mois j'ai appelé ma maman, j'avais tellement honte que je n'ai rien pu lui dire. Simplement je lui envoyais de l'argent. Puis je suis tombé enceinte d'Eric... Hilda a commencé à se montrer cruelle à me faire manger à même le sol... Pendant ma grossesse, elle a commencé à introduire des amis aux couples à nos ébats. Elle disait-elle avoir besoin d'une autoroute pour mettre au monde son batard.
Eric lui était gentil, il veillait à ce que je fasse mes visites, et fit même un trousseau. J'attendais des jumeaux. Il était heureux. I fit venir un architecte, qui décora une nurserie. J'espérais que de lui donner des enfants changeraient ma situation. Après 32 semaines de grossesse, mon fils et ma fille sont nés prématurés. A la suite d'un rapport violent avec le prof de tennis de Hilda... Je devais être heureuse d'avoir accouché mais non...
Je suis rentrée à la maison, les enfants dormaient à la nurserie et moi par terre pour m'occuper d'eux... Quand ils ont 3 mois j'ai commencé à subir des pressions pour signer les papiers de l'adoption qui ferait d'hilda leur mère. D'abord c'était des demandes, ensuite elle m'a proposé 50 .000€, mais je ne voulais pas c'était la seule dignité qu'il me restait. Mes enfants.
Des qu'ils ont eu 6 mois, elle a commencé à organiser des partouzes géantes ou j'étais la victime. Je ne cédais toujours pas, puis un jour ce fut un chien un dog allemand. Je me suis tellement défendu que le chien m'a planté ses crocs dans le dos...
J'étais presque morte, je me suis réveillée à l'hôpital et là j'entendais quelqu'un prier pour un malade à côté... et j'ai commencé à pleurer...
Hello c'est les vacances je décide de m'écrire un peu. Plongez vous dans mon monde
L'histoire de Samrane, c'est l'histoire de tous les hommes, c'est l'histoire de l'orgueil et de la presse sociale. L'histoire de l'amour qui fuit quand on le cherche
Prologue (Quelque part au Nigeria) (il y a quelques années) Dans une hutte sombre, un homme d'une certaine classe est assis sur une paillasse rougit par la poussière face à un féticheur. - Oga - Ashe... - Oga, je suis venu te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi. - Ashe... - Grâce à toi mes pirogues de sable sont prospères ! Mes mines de gravier aussi. Oga je suis millionnaire... - Ashe... - Oga, tu es très fort et tes génies sont très puissants et je leur ai apporté ce qu'ils aiment... - Ashe...
Prologue Un jour le lion malade, aho lolololo il a demandé la cause de sa maladie, Rien ne saurai le guérir aho lolololo Ama zinkpè, zinkpè sans caleçon Zinkpè bonne appétit merci! Mes amies et moi rivalisons d'ardeur dans un déhanchement pleins de joie. Nous éclatons de rire... "Dotou! Dotou!" J'aperçois les femmes qui reviennent des champs à la lisière de la forêt. Ma mère m'appelle pour que je vienne la décharger de son bagage de tête. Elle porte mon petit frère Tundé sur son dos, ses outils dans une main et sur sa tête un fagot de bois. Elle a l'air fatiguée. J'abandonne mes jeux et me précipite pour la décharger. Le fagot est transféré d'elle à moi et je me saisis de ses outils.
L'homme avec qui j'ai eu une aventure d'un soir est le PDG !« Les relations amoureuses entre employés sont strictement interdites. »La vie amoureuse chaotique de Karina commence lorsqu'elle obtient l'emploi de ses rêves, mais elle tombe amoureuse de son collègue dès le premier jour. Les choses se compliquent quand le PDG découvre leur relation interdite. Ivre et le cœur brisé, Karina passe une nuit passionnée avec un inconnu pour découvrir que c'est son diabolique patron PDG. Karina navigue dans le réseau compliqué du désir et des mensonges avec une détermination forte pour atteindre ses objectifs de carrière. Qu'adviendra-t-il de Karina et de sa vie amoureuse lorsque le diabolique PDG exigera qu'elle devienne sa « secrétaire personnelle » ?
" Carroll Brown est mort ! Mais tu dois l'épouser au nom de ta sœur. " Ma mère me dit d'un ton froid. Ma sœur était fiancée au milliardaire le plus sexy. Cela aurait dû être un mariage parfait. De façon inattendue, Carroll était mort dans un accident. Ma sœur ne voulait pas devenir veuve, alors elle m'a forcée à épouser son fiancé décédé. Et je n'avais pas le droit de lui refuser. En fait, j'étais la fille biologique de la famille Smith. Ma sœur était adoptive. Ma sœur et moi avions été échangées à l'hôpital alors que nous venions de naître. Mes parents avaient déjà eu une relation profonde avec elle. Alors ils ont choisi de me sacrifier. Le jour du mariage, j'ai été emmenée dans la salle de deuil. "Madame, veuillez tenir compagnie au Maître et laissez-le se réchauffer." dit la gouvernante avec une expression froide. Je n'ai pas pu m'empêcher de lever les yeux vers le portrait au-dessus du cercueil, et mon cœur a raté un battement à ce regard. L'homme du portrait était plus beau que les superstars d'Hollywood. Carroll Brown ? Mon mari décédé ? Wow, il était vraiment beau ! Je ne savais pas combien de temps s'était écoulé lorsque mon estomac a commencé à se rebeller. Après un coup d'œil au cercueil, j'ai avalé ma salive puis j'ai supplié en croisant les doigts. « M. Carroll, je meurs de faim ! Puis-je manger vos pâtisseries ? Cela ne vous dérange pas, n'est-ce pas ? "Je fais." « Ah ! » Effrayé, j'ai eu des sueurs froides. Mes jambes sont devenues molles et je suis tombé au sol. J'ai crié "Fantôme !" Carroll retroussa les lèvres, se pencha et toucha le cercueil noir. "M. Carroll est ressuscité des morts. Que pensez-vous de ce titre demain?"
Sa sœur refuse catégoriquement d'épouser son fiancé. On dit de lui qu'il est hideux, froid... et pire encore, impuissant. Sa mère s'agenouille, implorant Clara : « Ma fille... sauve ta sœur. Prends sa place à l'autel. » Un frisson parcourt son échine . C'est insensé... et pourtant, Clara accepte. Le soir des noces, tout bascule. L'homme qu'on disait monstrueux est d'une beauté à couper le souffle. Mais son regard, glacé, la transperce : - Tu es d'une laideur sans nom. Elle s'attendait à une indifférence polie... elle découvre une brutalité inattendue. Il la plaque sur le lit, ses mots tranchants comme une lame : - Peu importe ton visage. À présent, tu es mienne. Clara relève les yeux, son cœur battant à tout rompre. Elle ose répliquer d'une voix ferme : - Toi, en revanche... tu n'as rien d'impuissant. Et quand il arrache enfin ses déguisements, révélant un visage d'une beauté envoûtante, son sourire s'assombrit : - Il semblerait que les rumeurs étaient fausses... mais désormais, tu ne pourras plus échapper à ton rôle d'épouse.
Cachée pendant des années par l'État malgré une fortune valant des milliards, Grace a été successivement expulsée de trois foyers d'accueil. La quatrième famille, la riche famille Holden l'a entourée d'attention, ce qui a suscité des rumeurs malveillantes disant qu'elle était une opportuniste méprisable. Ces mensonges se sont dissipés lorsqu'un président d'université l'a accueillie. « Professeur, votre laboratoire est maintenant prêt. » Un PDG de premier plan lui a présenté un dossier. « Chef, nos bénéfices ont explosé de 300% cette année ! » Une organisation internationale de hackers est venue à sa porte. « Le marché financier s'effondrerait sans vous ! » Colton, un mystérieux magnat, l'a fixée doucement. « Assez joué, passons aux choses sérieuses : faisons des bébés. » Les joues de Grace se sont mises à rougir. « Je n'ai pas accepté ça ! » Il a glissé une carte noire dans sa main. « Pour chaque bébé, une île en récompense. »
Scarlett voit son monde s'écrouler le jour où son père et sa belle-mère la droguent pour la vendre à un vieux veuf répugnant, déjà père de cinq enfants. Trahie par les siens, prête à tout pour échapper à ce destin abject, elle accepte la proposition inattendue d'un inconnu aussi charismatique que redoutable : un mariage contractuel d'un an. Une alliance sans amour, censée la protéger et lui rendre sa liberté au terme de douze mois. Mais rien ne se déroule comme prévu. Entre héritage disputé, manigances familiales et secrets soigneusement dissimulés, Scarlett se retrouve projetée dans une existence vertigineuse, faite de faux-semblants, de passion inattendue et de dangers imprévisibles. Prisonnière d'un contrat qui devait la libérer, elle découvre que la frontière entre protection et captivité, entre jeu et vérité, est plus fragile qu'elle ne l'aurait jamais imaginé...
Valeria Brown était la fille unique de la famille Brown, une famille plutôt aisée. Elle avait une meilleure amie, Ashley. Mais celle-ci et sa mère avaient l'intention de tout lui prendre. Par ailleurs, Mason, qui était sorti avec Valeria pendant quatre ans, la trompa. Elle surprit son petit ami, Mason, en train d'embrasser Ashley dans la voiture ! Cependant, cette dernière n'eut aucune honte. Au contraire, elle drogua Valeria avant de demander à un gigolo de la dépuceler. D'une manière inattendue, un inconnu surgit de nulle part pour chasser le gigolo. Il était au courant de ce qui se passait. Lorsque Valeria s'était réveillée, elle découvrit cet homme inconnu et sexy s'allonger à côté d'elle. Elle se souvenait que selon Ashley, cet homme était un gigolo. A ces pensées, elle s'énervait. Mais en fait, cet homme, qui avait sauvé Valeria du gigolo et qui avait couché avec elle, n'était autre que le plus riche PDG…
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