/0/13952/coverbig.jpg?v=ea0b72849d27a991eb62c0a8dcb01165)
Victime de ces sentiments qui marquent à vie.
Victime de ces sentiments qui marquent à vie.
Chapitre 1
Tout commence il y a quelques années de cela...
La musique résonnait dans ma tête, je me sentais bien, je me sentais désormais libre.
Je rêvais en laissant l'avion décoller, Paris était désormais sous mes pieds et le paysage ne cessait de défiler. Je retrouvais peu à peu ce sourire que j'avais perdu depuis un certain temps.
Lunettes de soleil et autres accessoires accompagnaient ce moment si exceptionnel pour moi.
Entre mer et désert, fraîcheur, chaleur et immensité j'étais encore endormie lorsqu'on commençait à survoler la ville. L'arrivée venait d'être annoncée pour l'aéroport Internationale Félix Houphouët Boigny.
Après un long vol à destination de la capitale magique je n'étais plus qu'à quelques minutes de voir enfin mon rêve d'enfance se réaliser, toute ma famille allait être réunie et j'étais de plus en plus excitée à l'idée de savoir que j'allais bientôt pouvoir serrer ma mère dans mes bras.
Lorsque je penchais ma tête vers le hublot les couleurs du ciel étaient si chatoyantes que je savais d'hors et déjà qu'il faisait beau au pays, le temps avait été clément et ça tombait bien car au fond de moi j'étais persuadée que je partais pour vivre une expérience inoubliable.
Mon voisin d'à côté semblait lui aussi très impatient d'y être tant il affichait une mine détendue et heureuse.
Cela faisait maintenant 17ans bien comptés que j'avais vécu à Paris dans le 6eme arrondissement avec mon père qui travaillait dans cette ville depuis ma naissance.
Ma mère quant à elle vivait à Abidjan avec mes deux frères, contrairement à ce que l'on aurait pu penser mes parents n'étaient pas séparés, ils étaient toujours bels et bien ensemble, un véritable couple atypique.
Ne me demandez pas pourquoi nous vivions auparavant ainsi car je serais incapable de vous répondre, je n'avais pas la réponse. Ces choses que je ne comprenais moi même pas, je les avaient toujours trouvées comme ça et était contrainte de vivre avec.
La seule chose que je savais c'est que c'était à présent terminé, les choses allaient être différentes car on partait rejoindre les autres pour toujours, fini la vie à deux comme si nous étions seuls au monde.
Mon père et moi foulions maintenant le sol de notre nouvelle terre d'accueil. A peine sortons-nous de l'aéroport qu'on apercevait une femme qui ne cessait pas de s'agiter au loin.
Lui : regarde Nahima, là-bas, c'est maman.
Je n'avais même pas encore eux l'occasion de bien la contempler qu'elle m'avait déjà sauté dans les bras, une foule impressionnante se pressait pour enlacer mon père on aurait dit qu'il était un Héros.
- Nahima ma fille, regarde comment tu es belle, tu es toute grande, atout,monte sur mon dos ooh, je suis trop contente de te voir. Disait Bernadette ma mère en me prenant dans ses bras.
Prise entre joie et frisson une chose ne cessait pas de retenir mon attention, je ne comprenais pas pourquoi tant de monde pour deux personnes, on n'était pas des rescapés de guerre à ce que je sache, apparemment j'étais vraiment décalée et ce n'était là que le commencement.
Au même moment, mon père en rajoutait une couche :
- Tu n'embrasse pas tes frères ? Allez Fabrice et Arnaud ne soyez pas timides salués votre petite sœur.
Euh aucune réaction malgré ça, ils étaient encore un peu statiques certainement pris entre émotion et gêne.
Bon on allait quand même pas se regarder comme ça longtemps alors je prenais les devants.
Je me rapprochais d'eux et je leur faisais la bise.
- Vous allez bien ? demandais-je
- Oui et toi tu as fait bon voyage ? questionnais Arnaud le plus grand.
- Un peu fatiguée mais bon je suis qu'à même contente de vous voir et c'est l'essentielle.
- Bonne arrivée alors ... terminait Fabrice le frère cadet.
Chez nous en France on disait ' soit la bienvenue' et ici c'était 'bonne arrivée' un tas d'expression comme ça avec lesquels je devais rapidement me familiariser si je voulais m'en sortir côté linguistique.
Pour me rassurer, papa disait que j'allais très vite finir par m'y habituer....
Ensuite, on se dirigeait tous vers un énorme 4X4 noir qui se glissait rapidement dans les rues ensoleillées de la capitale.
Je découvrais la ville, c'était une grande première, le paysage était différent de ce que j'avais toujours l'habitude de voir mais quelque part ça avait du charme, rien avoir avec les clichés qu'on pouvait avoir sur l'Afrique de l'autre côté de l'occident.
Jusque là je n'ai vu ni jungle, ni cabane, mais plutôt une civilisation charmante, agréable, pleine de vie et de modernisme.
La voiture s'arrêtait à la Riviera devant une petite Villa très coquette, qui allait être notre lieu d'habitation durant tout notre séjour; moi qui avait toujours vécu du haut d'un immeuble de 12 étages en arrivant dans ma nouvelle maison j'avais juste l'impression d'être dans un château, quant à ma chambre un véritable jardin, enfin bref ... le 'kiff' quoi.
Très rapidement je prenais mes marques et je retrouvais une vie de famille normale.
Un jour alors que je traînais encore dans ma chambre, maman venait m'annoncer que pour cette année, c'est-à-dire ma dernière année au lycée, elle m'avait inscrit dans une école catholique de sœur ou il n'y avait que des filles.
La nouvelle tombait dans mes oreilles comme un véritable coup de massue. L'idée ne m'enchantait absolument pas d'autant plus que durant tout mon cursus j'étais dans un lycée mixte et là apprendre d'un coup qu'on voulait m'éloigner de l'univers masculin alors que j'étais déjà habituée à leur présence c'était tout simplement inimaginable pour moi.
Je me sentais déjà quasiment isolée il fallait que ça change car, pour moi ce n'était absolument pas possible.
Malheureusement la décision de maman était sans appels, ça allait être comme ça un point c'est tout, elle disait à qui voulait l'entendre que cette école était un véritable nid d'Elite et que toutes les femmes influente du pays y avaient pris leur marque du coup j'étais un peu obligée de me soumettre à cette décision qui était sans équivoque.
Voilà une autre chose avec laquelle j'allais avoir du mal l'autorité parental. Mes habitudes différaient totalement de ce qu'on semblait vouloir me montrer, ici, en gros, s'agissant de tout ce qui me concerne je n'avais pas mon mot à dire ma mère décidait tout pour moi et je devais le prendre comme ça.
Bizarrement mon père qui depuis toujours m'avait laissé faire se désolidarisait peu à peu de moi et m'observait dépourvu de moyen subir la presque dictature de ma mère mais , heureusement que, malgré des débuts difficiles car j'avais un mal fou à m'adapter à tout cela je finissais tout de même par m'y habituer et à prendre mes marques.
C'est ainsi que, peu de temps après, j'avais fait la rencontre de Rokia, une voisine de maison qui fréquentait le même lycée que moi et qui allait par la suite devenir l'une de mes plus fidèles amies.
Peu à peu elle et moi partagions un peu plus que nos études, on se disait pratiquement tout et rien ... Au point où, lorsqu'arrivait les premiers congés d'hivers autrement dit les vacances de noel et que mes parents avaient décidé de m'envoyer faire une semaine à Paris histoire de changer d'air très rapidement je sentais un manque.
Le jour de mon retour donc, je ne perdais pas une seconde, avant même de défaire mes valises, je filais rapidement rejoindre mon amie, ma nouvelle sœur qui m'avait tant manqué.
Une fois chez elle, je parcourais toutes les pièces de la maison direction sa chambre en ouvrant la porte toute enthousiaste, j'étais saisie de surprise, elle n'était pas seule, en effet, un jeune-homme se tenait couché à côté d'elle, lorsque, celui-ci dévoilait son visage et que mon regard croisait le sien, quelque-chose d'inhabituel se passait, une sorte de trouble, un bouleversement,j'étais un peu confuse et c'était assez impressionnant comme sensation.
Dès lors, mon aventure en Afrique allait prendre une véritable tournure, c'était là, le début du bal des sentiments qui marqueront ma vie à tout jamais.................................................................................................................................
(si vous aimez, cliquez j'aime et commentez)
Deux ans qu'il m'a annoncé froidement qu'il ne m'aimait plus. Deux ans qui m'a dit qu'il ne souhaitait plus se marier à moi
〤◕‿◕〤 IDÉE GÉNÉRALE 〤◕‿◕〤 Synopsis Les mésaventures de Jess, œuvre africaine, à l'auteur anonyme relate avec un humour hilarant voir totalement gabonais, les frasques d'un jeune homme séduisant blasé par le sexe et l'argent, rimant souvent avec risque et excès dans un Gabon folklorique et moderne peuplé de légendes mystérieuses. Le narrateur c'est inspiré de sa propre vie pour nous dépeindre cette chronique aux allures sombres et gaies. Le livre se compose de plusieurs parties et se verra quelques fois moralisateur. C'est sur une légère sonorité Bilangoumique (Bilagum dictionnaire argot gabonais) que l'écrivain nous entraine dans un univers surnaturel et familier. Je réclame d'ors et déjà votre indulgences pour les multiples fautes grammaticales et orthographiques! Bonne lecture cher(e)s lecteurs et lectrices biscuit! Slogan: Si t'aimes clic et message si t'aimes pas clic pour le fun
Prélude: -Allo! Salut la grande, on dit quoi? Ca tient toujours pour tout à l'heure?... Okay alors, 16h à la maison... Oui oui, sans probleme... Ok ma puce, bisous... Il etait encore 9h et à vrai dire je me levais à peine. La journée s'annoncait plutot longue et mouvementée. Au téléphone c'était ma meilleure amie Ferla Ondame, on se connait depuis 20ans maintenant. Rassurez vous, ca n'a pas toujours été rose entre nous, en vingt ans, tellement de choses se sont passées... Mon nom à moi c'est Myria Eyene née Azizet, j'ai 34ans un mari merveilleux et des jumeaux de 17ans Irwin et Grace et une petite fille de 7ans, Alene. Je suis rentrée il y a seulement 4ans et j'ai aussitot été embauchée comme chargée des relations exterieures dans une grande entreprise de la place. On est samedi aujourd'hui, et comme tous les samedis, Ferla et moi nous retrouvons soit au déjeuner soit pour le thé... Aujourd'hui on se voit donc pour le thé chez moi (ms vous connaissez la gaboma non? Y a pas que le thé ooh). Je me lève vraiment malgré moi, je me suis couchée tard. Il faut que je fasse les gateaux, biscuits, et autres tartes pour tout à l'heure. - Kante! Kante! - Madame... - Mais tu n'entends pas? Ca fait 5mins que Ferla claxonne!!! - Pardon madame zetai toilet k... - aaaah laisse le bruit et vas ouvrir Ferla est la avec deux autres copines, Desirée et Cynthia. -Bonjour oooh installez vous je vous rejoins tout de suite! Je vais retrouver Grace dans sa chambre. -maman, stp viens m'aider à faire le service... -aaAanh, moi suis fatiguée han... -tsouooo, Grace, tu es fatiguée que tu fais même quoi dans cette maison? S'IL TE PLAIT Maman, lève toi un peu et viens m'aider ça ne va pas te tuer... Grace se lève bon gré mal gré et vient m'aider à transporter les desserts et autres gourmandises au buffet dressé pour l'occasion... Grace: Bonjour Ferla: oooooouh, le mannequin!!! On dit quoi ma chérie? Grace: On est là tata Ferla... Que sexy oh Ferla: Ah oui hein, il faut pas se laisser faire! Quand nous on avait ton âge, demande à ta mère on était maaaal ponceeeeeee hein, c'est pas ce que vous faites aujourd'hui là... Moi: dis lui ooh Fe... Grace: et voila, on y est! Le discours éternel... Après quelques petits fous rires, Grace nous laissait donc toutes les quatres. Fe: Mimi ta fille me rappele tellement toi a l'époque! Moi: hum, Fe... Physiquement peut-etre, mais elle est tellement plus sage que je ne l'étais à son âge... Tu te souviens?!! Fe: Et comment!!! En effet mon adolescence n'a pas été de tout repos, ni pour mes parents, ni pour moi... je me demande d'ailleurs par ou commencer... Tout à commencé l'année de ma 3eme...
Bonsoir à vous. je me présente. Otit, Oti, Anthony, Thony bref tous ces noms sont les miens. je ne peux pas ajouter a cela un nom de famille bien défini. vous saurez pourquoi tout en lisant mon histoire. je suis l'enfant de l'eau, l'enfant du Karma et meme pour certains l'enfant de la malédiction. Mais suis je vraiment une malédiction?
Ace Atticus, héritier froid de l'empire Atticus, doit se marier et rester marié un an pour toucher son héritage. Il choisit Fay Landon, une serveuse rousse, sarcastique, émotive et au rire ravageur, humiliée publiquement et trahie par son petit ami. Leur mariage est un contrat, sans amour ni promesses. Mais dans l'univers cruel du pouvoir et des apparences, les sentiments s'invitent. Fay tombe la première, Ace plus profondément encore. Leur jeu devient une passion réelle, entre affrontements, jalousies, secrets de famille et trahisons dévastatrices. Dans cette bataille entre cœur et contrôle, Ace réalise qu'il ne veut plus seulement l'héritage. Il veut Fay - cette femme imprévisible, fragile et forte, devenue indispensable à sa vie.
En public, elle était la secrétaire de direction du PDG. En privé, elle était l'épouse qu'il n'avait jamais officiellement reconnue. Lorsqu'elle a appris qu'elle était enceinte, Jenessa était folle de joie. Mais cette joie a cédé la place à la peur lorsque son mari, Ryan, a ravivé la flamme avec son premier amour. Le cœur lourd, elle a choisi de le libérer et de partir. Lorsqu'ils se sont revus, l'attention de Ryan a été attirée par le ventre proéminent de Jenessa. « Tu portes le bébé de qui ? » a-t-il demandé. Mais elle s'est contentée de se moquer. « Ça ne te regarde pas, mon cher ex-mari ! »
Sophie Dubois, ouvrière humble mais fière de son travail, n'avait qu'un seul trésor : une vieille montre à gousset, héritage de son grand-père. Quand Alexandre de Courmont, l'héritier d'une riche dynastie textile, posa les yeux sur elle, ce fut le coup de foudre, simple et direct. Leur amour semblait pur, mais la famille d'Alexandre rejeta violemment cette union "disgracieuse" incompatible avec leur nom. Sous l'implacable pression matriarcale, Alexandre céda : il épousa une autre femme, l'ambitieuse et manipulatrice Isabelle Dubois. Pourtant, il ne cessait de me supplier : "Attends encore un peu, mon amour. C'est juste une formalité pour la famille." Ces "attends encore un peu" devinrent le mantra d'un calvaire insoutenable, fait d'humiliations et de promesses brisées. Isabelle, par pure cruauté, brisa la montre de mon grand-père, le seul vestige de ma dignité. Alexandre me repoussa violemment, son propre père me gifla publiquement, sous un regard passif. Pire encore, même après avoir offert mon sang pour sauver une Isabelle "blessée", il m'accusa froidement. Comment cet homme, jadis si amoureux et dévoué, était-il devenu un lâche, un instrument de ma souffrance ? Mais la vision d'Alexandre et Isabelle, enlacés, s'embrassant tendrement, brisa les dernières parcelles de mon cœur. Toutes mes illusions s'effondrèrent en un instant. Ce "encore un peu" résonnait comme la plus cruelle des moqueries. Ce jour-là, le jour de leurs noces fastueuses, je pris une décision irrévocable. J'ai tout laissé derrière moi, n'emportant qu'une lettre d'adieu, pour ne plus jamais regarder en arrière.
Après cinq années à jouer le rôle de la fille modèle, Rylie a été démasquée comme une remplaçante. Son fiancé s'est enfui, ses amis se sont dispersés et ses frères adoptifs l'ont poussée dehors, lui disant de retourner en rampant vers sa vraie famille. Lassée de l'humiliation, elle s'est juré de récupérer ce qui lui appartenait. Le choc a suivi : sa famille biologique régnait sur les richesses de la ville. Du jour au lendemain, elle est devenue leur fille adorée. Le frère membre du conseil d'administration a annulé les réunions, le frère génial a abandonné son laboratoire, le frère musicien a reporté une tournée. Alors que ceux qui l'avaient rejetée imploraient son pardon, l'amiral Brad Morgan a déclaré calmement : « Elle est à moi. »
Janet a été adoptée quand elle était enfant, pour les orphelins, c'est comme un rêve devenu réalité. Cependant, sa vie était tout sauf heureuse. Sa mère adoptive l'a constamment raillée et brutalisée. L'amour et l'affection familiaux qu'elle a jamais connus venaient de la vieille domestique qui l'a élevée. Malheureusement, la domestique est tombée malade, les parents adoptifs de Janet ne voulaient pas payer ses frais médicaux sauf si Janet remplacer leur fille biologique pour épouser un homme tristemet célèbre. Serait-ce un conte de Cendrillon ? Mais l'homme était loin d'être un prince, à l'exception de sa belle apparence. Ethan était le fils illégitime d'une famille riche qui menait une vie insouciante et avait du mal à joindre les deux bouts. Il s'est marié pour réaliser la dernière volonté de sa mère. Cependant, lors de sa nuit de noces, il a constaté que sa femme était différente qu'il l'avait cru. Le destin avait uni ces deux personnes qui avaient tous les deux de profonds secrets. Ethan était-il vraiment l'homme qu'on pensait qu'il était ? Étonnamment, il ressemblait étrangement à l'homme le plus riche et le plus mystérieux de la ville. Découvrirait-il que Janet l'a épousé à la place de sa sœur ? Leur mariage sera-t-il un conte romantique ou un désastre total ? Lisez la suite pour découvrir l'histoire de Janet et Ethan.
Une nuit malheureuse a changé le cours de la vie de Yvonne. Tout a commencé après qu'elle ait surpris son fiancé en train de coucher avec sa sœur. Le cœur brisé, elle s'est saoulée et s'est trompée de chambre. Elle a fini par avoir des relations sexuelles avec un parfait inconnu. Après que son père l'ait reniée parce qu'elle est tombée enceinte hors mariage, elle est partie à l'étranger avec la détermination de réussir sa vie et de se venger. Six ans plus tard, elle est revenue dans le pays en tant que médecin réussie et mère d'un fils surdoué. À l'âge tendre de six ans, son fils Aiden était déjà un hacker de premier plan. Il a obtenu la liste des célibataires les plus éligibles en ville. Un jour, il a demandé à sa mère : « Maman, je peux t'aider à trouver un petit ami. Quel genre d'homme préfères-tu ? » Yvonne, qui n'avait aucun intérêt pour les hommes, a fait semblant d'y réfléchir. Avant qu'elle ne puisse répondre, un homme a dit : « Aiden, je suis ton père. Pourquoi fais-tu ça ? » Et ainsi, la mission du petit qui consistait à réunir ses parents a officiellement commencé !
© 2018-now Kifflire
TOP