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Au nom de l'amour on s'est dit Oui
Au nom de l'amour on s'est dit Oui
Je suis un cliché ambulant. Un vrai. Il y a tellement de filles comme moi dans le monde que mon cas, enfin notre cas, devient commun. Mais je crois que moi, j'accumule. Ma situation n'est pas pire que celle d'une autre mais vraiment j'accumule.
Point 1 je suis camerounaise. Ce n'est pas une nationalité facile à porter (quoi que certaines personnes en disent). Point 2 je vis au Cameroun : là pas besoin d'explication. Chacun connait la situation dans notre pays. Point 3 je ne suis la fille de personne de connu, je ne connais personne qui « est quelqu'un quelque part ». Ce qui peut d'ailleurs être une explication du point 2. Le point 2 et le point 3 c'est pour dire que ma vie est loin d'être facile, mais j'avoue que je suis mieux lotie que certains puisque moi, je travaille. Point 4, je ne suis pas belle. Je ne cherche pas les compliments ni rien, c'est juste que chaque matin quand je me regarde dans mon miroir je dois faire face à la triste réalité. Je ne suis pas belle, je suis quelconque, je suis banale. Ce qui rend le point 5 encore plus pathétique. Point 5 donc : je suis grosse, une véritable baleine, si je tombe du haut d'une colline, je vais tout simplement rouler. Ok j'exagère mais sur une échelle allant de la gazelle à la baleine, je dirais que je suis un panda. Pour terminer, je suis très , très maladroite. Un cliché, vous dis-je.
Oui je sais, « il faut avoir confiance en soi », « les hommes préfèrent les rondes », « tu es plutôt jolie dans ton style », « plus tu as confiance en toi, plus tu irradie et plus les hommes te regardent » et tout ce putain de tralala que le gens, qui ne sont pas dans votre corps et n'ont aucune idée de ce que vous vivez, vous racontent. Qu'est ce que les gens croient même exactement ? Que la confiance en soi se ramasse dans la rue ? Comment avoir confiance si les hommes qui te plaisent ne daigne même pas d'accorder un regard ? Même pour dire bonjour ? Tu vas avoir confiance en toi si dans une assemblée les gens t'évitent systématiquement pour aller vers les plus minces et les plus belles ? Pas la peine de dire que j'exagère, seules les grosses (et les gros) savent. Comment avoir confiance en soi si tu es tout le temps obligé de jouer un rôle ? Celle de la bonne GROSSE amie toujours enjouée et qui a l'air bien dans sa peau ? A qui ont fait les confidences à propos de l'homme qui lui plait en train de draguer/coucher avec telle ou telle fille.
Je fais pourtant des efforts, je jure. Je ne porte plus systématiquement le noir. Je porte des couleurs vives, enjouées. Je souris, je ris, je ne reste plus dans mon coin, je vais vers les gens. Je porte des mini jupes et des talons, je fais tout, mais rien n'y fait, les mecs qui me draguent sont si...fades...quelconques !
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je sais, je sais. Il faut que je joue dans ma catégorie, mais que Dieu me pardonne, je veux un mec grand et beau et musclé. Je sais je fais aux autres ce que je n'aimerai pas qu'on me fasse mais vraiment sur ce point, je ne lâcherais pas l'affaire. Oui les mecs petits et gros et laids, méritent l'amour comme tout un chacun, mais moi, je veux donner mon amour à un mec GBM (Grand Beau et Musclé), un point c'est tout ! Vous-même, les gros et laids avec les gros et laids ? Les beaux avec les beaux ? Non le monde ne peut pas s'en sortir comme ça. Il faut de la mixité dans tout. Je le dis sans trembler et avec toute la mauvaise foi possible certes mais je le dis quand même. Je ne veux pas un GBM, juste comme ça hein. Il y a une raison. Grand parce que...voilà, j'aime les mecs grands (oui c'est une raison parfaitement potable), beau parce que...c'est toujours mieux d'avoir une belle chose qu'une laide (ce sont MES raisons, fouttez moi la paix) et enfin musclé parce que il faut qu'il soit capable de me porter et de me supporter dans un lit (et toc !).
J'anticipe votre prochaine question, « Pourquoi tu ne fais pas du sport ? ». Attendez je ris...On vous a dit que c'est FACILE ? Je wanda même sur vous, nous les gros, laids et/ou quelconques (GLQ) ont a du mal à faire du sport...Beh oui, nos corps sont plus lourds que ceux des GBM (et leurs dérivée les BMC : les belles minces et CONASSES !). Du coup ont a du mal a les déplacer, le moindre effort nous fatiguent et on aime manger la bonne nourriture. Donc non je ne fais pas de sport. Je vais juste marcher une heure tous les matins. Enfin les matins où j'arrive à me lever à 6 heures.
Bon la suite du cliché ? J'ai eu une scolarité solitaire, toujours dans mon coin. Vous savez qu'il n'y a pas plus cruels que les enfants entre eux non ? Ai-je besoin d'expliquer plus ? J'ai fait mon probatoire 2 fois et j'ai eu mon bac du 1er coup. Toujours aussi solitaire ou acoquiner avec les GLQ comme moi. J'ai foncé vers un BTS banque avant de décider que l'école c'était trop pour moi. J'ai galéré pendant 2 ans avant de trouver mon boulot actuel, je suis la réceptionniste de la réceptionniste d'une banque de la place. Oui oui, les boulots comme ça existent. Parce que (là imaginez une BMC prenant un air supérieur et ennuyé) « certaines parmi nous ont trop de boulot pour recevoir n'importe qui ». C'est donc moi qui reçois « n'importe qui » afin de l'aider à se diriger vers tel service ou vers...la réceptionniste en chef. Bien sur, je fais aussi les photocopies, le café et toutes les autres basses besognes que vous pouvez imaginer. Mais à vrai dire, je m'en fous. Je suis payée pour ça et mon ambition n'a jamais été d'être directrice d'une banque !
Un tas de documents atterrit sur mon bureau en un bruit mat, me tirant de ma rêverie.
-En 10 exemplaires. C'est urgent !
Pas même un bonjour ou un stp. Je ramasse les documents tout en me retenant de dire à Carine d'aller se faire foutre ! Carine c'est la BMC type ! Elle est grande, 1m80, belle, toute en courbes mais mince, toujours tirée à 4 épingles, pas le genre à revenir avec une tâche d'huile sur son chemisier (moi, hier à la pause), et bien sur méchante. Je la DETESTE. Elle est chargée de clientèle ici et elle est rudement efficace, ce qui attise ma haine. Si au moins elle ne savait rien faire et se la pétait juste. Non elle se la pète avec raison parce qu'elle fait bien son travail, est belle et s'en fout des jalouses comme moi.
Je vais faire les photocopies et je trouve la photocopieuse bourré. Je réussi à m'en tirer sans tâche d'encre mais je suis un peu essoufflée et je sens déjà une légère odeur de transpiration sous mes aisselles. Je prends le temps de me calmer avant de me diriger vers son bureau. Je frappe et j'entre.
-Moi : Voici vos documents madame !
Oui oui vous avez bien lu. Cette connasse exige que je l'appelle « madame ». Elle lève les yeux et, ô miracle, me sourit.
-Carine : Merci !
Je plisse les yeux devant tant de gentillesse et c'est là que je LE sens. Il est derrière moi. LE GBM ! Je me sens tout à coup plus bête et moche et puante que d'habitude, mais je me retourne.
-Moi : bonjour
Le son est à peine audible et je fonce vers la porte sans attendre sa réponse. Je me rassois à mon bureau et je respire.
Le GBM Franck Bile (big up à Arsène, mon special one). Il est G. oh oui, il l'est. Et B. aussi, sweet Jesus ! tellement B. que je suis incapable de le regarder dans les yeux. Et M., oh seigneur, ses muscles ! Et il est gentil, pas hautain du tout, et il sent bon et il a des dents parfaites et il s'habille bien et il est célibataire...et il ne connait pas mon nom !
Je reviens brutalement dans la réalité. Oh rassurez vous, je n'ai pas de visées sur Franck et il n'a pas d'intérêt secret pour moi. Il est totalement et irrémédiablement « out of my league ». On ne joue définitivement pas dans la même catégorie. Je ne perds même pas mon temps à fantasmer sur lui...ok j'essaie de ne pas perdre mon temps. Je suis quasi invisible pour lui et c'est tant mieux comme ça. Parce que si jamais il remarque mon existence, si il me parle, si il prononce mon prénom, je suis cuite. Le temps de dire « ouf » je serais amoureuse de lui et bien sur, j'aurais le cœur brisé. Donc mieux, il continue à ignorer mon existence.
Je soupire et je redresse le torse pour accueillir un client qui se dirige droit vers moi.
-Moi : Bonjour, je suis Anna, en quoi puis-je vous aidez ?
La GLQ.
Deux ans qu'il m'a annoncé froidement qu'il ne m'aimait plus. Deux ans qui m'a dit qu'il ne souhaitait plus se marier à moi
〤◕‿◕〤 IDÉE GÉNÉRALE 〤◕‿◕〤 Synopsis Les mésaventures de Jess, œuvre africaine, à l'auteur anonyme relate avec un humour hilarant voir totalement gabonais, les frasques d'un jeune homme séduisant blasé par le sexe et l'argent, rimant souvent avec risque et excès dans un Gabon folklorique et moderne peuplé de légendes mystérieuses. Le narrateur c'est inspiré de sa propre vie pour nous dépeindre cette chronique aux allures sombres et gaies. Le livre se compose de plusieurs parties et se verra quelques fois moralisateur. C'est sur une légère sonorité Bilangoumique (Bilagum dictionnaire argot gabonais) que l'écrivain nous entraine dans un univers surnaturel et familier. Je réclame d'ors et déjà votre indulgences pour les multiples fautes grammaticales et orthographiques! Bonne lecture cher(e)s lecteurs et lectrices biscuit! Slogan: Si t'aimes clic et message si t'aimes pas clic pour le fun
Prélude: -Allo! Salut la grande, on dit quoi? Ca tient toujours pour tout à l'heure?... Okay alors, 16h à la maison... Oui oui, sans probleme... Ok ma puce, bisous... Il etait encore 9h et à vrai dire je me levais à peine. La journée s'annoncait plutot longue et mouvementée. Au téléphone c'était ma meilleure amie Ferla Ondame, on se connait depuis 20ans maintenant. Rassurez vous, ca n'a pas toujours été rose entre nous, en vingt ans, tellement de choses se sont passées... Mon nom à moi c'est Myria Eyene née Azizet, j'ai 34ans un mari merveilleux et des jumeaux de 17ans Irwin et Grace et une petite fille de 7ans, Alene. Je suis rentrée il y a seulement 4ans et j'ai aussitot été embauchée comme chargée des relations exterieures dans une grande entreprise de la place. On est samedi aujourd'hui, et comme tous les samedis, Ferla et moi nous retrouvons soit au déjeuner soit pour le thé... Aujourd'hui on se voit donc pour le thé chez moi (ms vous connaissez la gaboma non? Y a pas que le thé ooh). Je me lève vraiment malgré moi, je me suis couchée tard. Il faut que je fasse les gateaux, biscuits, et autres tartes pour tout à l'heure. - Kante! Kante! - Madame... - Mais tu n'entends pas? Ca fait 5mins que Ferla claxonne!!! - Pardon madame zetai toilet k... - aaaah laisse le bruit et vas ouvrir Ferla est la avec deux autres copines, Desirée et Cynthia. -Bonjour oooh installez vous je vous rejoins tout de suite! Je vais retrouver Grace dans sa chambre. -maman, stp viens m'aider à faire le service... -aaAanh, moi suis fatiguée han... -tsouooo, Grace, tu es fatiguée que tu fais même quoi dans cette maison? S'IL TE PLAIT Maman, lève toi un peu et viens m'aider ça ne va pas te tuer... Grace se lève bon gré mal gré et vient m'aider à transporter les desserts et autres gourmandises au buffet dressé pour l'occasion... Grace: Bonjour Ferla: oooooouh, le mannequin!!! On dit quoi ma chérie? Grace: On est là tata Ferla... Que sexy oh Ferla: Ah oui hein, il faut pas se laisser faire! Quand nous on avait ton âge, demande à ta mère on était maaaal ponceeeeeee hein, c'est pas ce que vous faites aujourd'hui là... Moi: dis lui ooh Fe... Grace: et voila, on y est! Le discours éternel... Après quelques petits fous rires, Grace nous laissait donc toutes les quatres. Fe: Mimi ta fille me rappele tellement toi a l'époque! Moi: hum, Fe... Physiquement peut-etre, mais elle est tellement plus sage que je ne l'étais à son âge... Tu te souviens?!! Fe: Et comment!!! En effet mon adolescence n'a pas été de tout repos, ni pour mes parents, ni pour moi... je me demande d'ailleurs par ou commencer... Tout à commencé l'année de ma 3eme...
Bonsoir à vous. je me présente. Otit, Oti, Anthony, Thony bref tous ces noms sont les miens. je ne peux pas ajouter a cela un nom de famille bien défini. vous saurez pourquoi tout en lisant mon histoire. je suis l'enfant de l'eau, l'enfant du Karma et meme pour certains l'enfant de la malédiction. Mais suis je vraiment une malédiction?
Pendant huit longues années, ma vie tournait autour d'Antoine de Valois. J'étais son ombre discrète, son assistante dévouée, anticipant chacun de ses désirs, et secrètement, son amante clandestine depuis quatre ans. Notre arrangement était basé sur un amour fou et insensé de ma part, et une froide commodité de la sienne. Puis, Camille de Rohan, son amour de jeunesse, est revenue. Antoine, sans aucune considération pour mes sentiments, l'a affichée publiquement, la déclarant l'unique femme de sa vie. Mon monde s'est effondré. Ce n'était que le début de mon calvaire. Aveuglée par la jalousie et forte de la cécité d'Antoine, Camille a entrepris de me détruire. Elle m'a délibérément humiliée : j'ai dû ramasser sa traîne de robe comme une servante, elle a versé du café brûlant sur moi, et m'a accusée publiquement de vol lors d'une soirée mondaine. L'apogée de sa cruauté fut quand Antoine lui-même, sur ses ordres, m'a forcée à m'agenouiller sur le trottoir glacé de l'avenue Montaigne, exposée à la honte devant tous les passants. Mon cœur, naguère si plein d'amour, s'est brisé en mille morceaux. Comment l'homme que j'aimais, à qui j'avais tout donné, pouvait-il me réduire à cela ? N'étais-je rien d'autre qu'un objet, « personne d'important » pour lui ? J'ai subi cette trahison et cette humiliation avec une dignité mourante. Mais cet acte de barbarie m'a libérée. Ce jour-là, j'ai su que l'amour que je lui portais était mort. J'ai tout quitté, Paris, lui, notre passé. J'ai choisi de me reconstruire, loin de cette folie. Et même quand Antoine, face au chaos qu'il avait créé, a finalement ouvert les yeux et s'est mis à me supplier de revenir, il était trop tard. Mon cœur est resté muet. L'amour était mort, pour toujours.
Toute ma vie, j'ai cru que mon Alpha, Kaëlen, était mon âme sœur. Un don sacré de la Déesse de la Lune. Mais la veille de mes dix-huit ans, il a présenté une autre louve, Séraphina, comme sa Luna. Il s'est servi d'un louveteau emprunté dans un complot cruel pour anéantir mon âme. Quand des Rogues ont attaqué notre meute, un lustre en argent s'est décroché et a chuté vers nous. Kaëlen a bondi. M'ignorant. Sans un regard. Il a protégé Séraphina de son corps. Me laissant là. Prête à être écrasée. Il ne s'est jamais retourné. Plus tard, après m'avoir accusée à tort de l'avoir blessée, il a traîné mon corps meurtri jusqu'à un bassin d'eau glacée et m'a poussée sous la surface. Alors que je luttais pour respirer, il s'est penché sur moi, sa voix un rugissement de commandement. « Si tu la touches encore une fois, je te retirerai ton nom et je ferai de toi une Rogue. » En voyant l'homme que j'aimais essayer de me tuer, le dernier de mes espoirs s'est finalement réduit en cendres. Cette nuit-là, j'ai accepté une offre pour rejoindre la meute de Bois-d'Argent. Puis, je suis allée à la forge et j'ai jeté dans les flammes chaque souvenir qu'il m'avait donné, regardant la fille qui l'aimait brûler et disparaître à jamais.
Pendant cinq ans, mon mari, Cortland de la Roche, m'a fait enfermer dans une clinique privée, racontant au monde entier que j'étais une meurtrière qui avait tué sa propre demi-sœur. Le jour de ma libération, il attendait. La première chose qu'il a faite a été de lancer sa voiture droit sur moi, essayant de m'écraser avant même que je quitte le trottoir. Mon châtiment, en réalité, ne faisait que commencer. De retour à l'hôtel particulier que j'appelais autrefois ma maison, il m'a enfermée dans un chenil. Il m'a forcée à me prosterner devant le portrait de ma sœur « morte » jusqu'à ce que ma tête saigne sur le sol en marbre. Il m'a fait boire une potion pour s'assurer que ma « lignée souillée » s'éteindrait avec moi. Il a même essayé de me livrer pour la nuit à un partenaire commercial lubrique, une « leçon » pour mon insolence. Mais la vérité la plus cruelle restait à venir. Ma demi-sœur, Camille, était vivante. Mes cinq années d'enfer n'étaient qu'une partie de son jeu pervers. Et quand mon petit frère Adrien, ma seule raison de vivre, a été témoin de mon humiliation, elle l'a fait jeter en bas d'un escalier en pierre. Mon mari l'a regardé mourir et n'a rien fait. Mourante, blessée et le cœur brisé, je me suis jetée par la fenêtre d'un hôpital, ma dernière pensée étant une promesse de vengeance. J'ai rouvert les yeux. J'étais de retour au jour de ma libération. La voix de la directrice était neutre. « Votre mari a tout arrangé. Il vous attend. » Cette fois, c'était moi qui allais l'attendre. Pour l'entraîner, lui et tous ceux qui m'ont fait du mal, droit en enfer.
Adèle est tombée amoureuse d'Owen Leroux , le futur Alpha de la meute Wind Winder. Elle a toujours voulu qu'il la remarque. Pendant ce temps, Owen était un Alpha arrogant qui pensait qu'une faible Oméga ne pouvait pas être sa compagne. Joseph Leroux, le cousin d'Owen qui est revenu de l'étranger et qui était le véritable héritier du pack, n'a jamais essayé d'obtenir la position ni montré aucun intérêt pour celle-ci. Il était un Alpha playboy populaire mais quand il est revenu au pack, une chose a capturé ses yeux. et c'était Adèle .
Mon contrat avec l'Alpha Eleanor "Ellie" Wainwright, une jeune femme issue d'une famille cruelle et manipulatrice, est contrainte d'épouser un Alpha redouté et solitaire, Victor Hartfang. Née sans loup, elle est considérée comme une anomalie dans sa meute, un poids mort pour sa famille et un objet de mépris pour les autres membres. Victor, Alpha de la puissante meute des Ombres-Noires, accepte ce mariage pour des raisons mystérieuses. Distant, glacial et dominant, il la traite comme une étrangère. Pourtant, derrière sa façade impénétrable, il cache un lourd secret : son passé est marqué par des trahisons et des choix déchirants, et son propre loup est enchaîné par un mal étrange. Plongée dans une nouvelle meute où les tensions et les défis se multiplient, Ellie doit naviguer dans un monde de dominance, de jalousies et d'intrigues politiques. Pourquoi Victor a-t-il vraiment accepté cette union ? Qu'espérait-il obtenir d'elle ? Et pourquoi son loup semble-t-il réagir si violemment à sa présence, oscillant entre rejet et une attirance presque insupportable ? Alors que leur lien improbable commence à se renforcer, une menace plus grande émerge. Une meute rivale, des ennemis anciens et une prophétie oubliée risquent de bouleverser leur fragile équilibre. Ellie, dépourvue de pouvoirs lupins, pourra-t-elle prouver qu'elle est plus qu'une faible humaine ? Victor osera-t-il révéler ses secrets avant qu'ils ne les détruisent tous les deux ? Et surtout, que se passera-t-il lorsque Victor découvrira qu'Ellie n'est peut-être pas aussi "humaine" qu'elle le croit ?
J'étais enceinte de quatre mois, une photographe enthousiaste quant à notre avenir, participant à un brunch de bébé sophistiqué. Puis je l'ai vu, mon mari Michael, avec une autre femme, et un nouveau-né présenté comme son fils. Mon monde s'est effondré tandis qu'un torrent de trahison me submergeait, magnifié par l'affirmation méprisante de Michael, qui prétendait que j'étais simplement trop émotive. Sa maîtresse, Serena, m'a narguée, révélant que Michael avait discuté de mes complications de grossesse avec elle, puis m'a giflée, provoquant une crampe terrifiante. Michael a pris son parti, me couvrant de honte publiquement, exigeant que je quitte leur fête, alors qu'un blog mondain les présentait déjà comme une famille de carte postale. Il s'attendait à ce que je revienne, que j'accepte sa double vie, disant à ses amis que j'étais dramatique mais que je finirais toujours par revenir. L'audace, la cruauté calculée de sa tromperie et la malveillance glaçante de Serena ont nourri en moi une rage froide et dure que je peinais à reconnaître. Comment avais-je pu être si aveugle, si confiante envers l'homme qui m'avait manipulée pendant des mois tout en construisant une seconde famille ? Mais sur la moquette moelleuse de ce cabinet d'avocat, alors qu'il me tournait le dos, une nouvelle résolution, inébranlable, s'est solidifiée. Ils pensaient que j'étais brisée, jetable, facilement manipulable – une épouse raisonnable qui accepterait une séparation de façade. Ils n'avaient aucune idée que mon acceptation calme n'était pas une reddition ; c'était une stratégie, une promesse silencieuse de démanteler tout ce qui lui était cher. Je ne me laisserais pas faire ; je ne comprendrais pas ; je mettrais fin à tout cela, et je m'assurerais que leur mascarade de famille parfaite s'effondre en poussière.
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