/0/13850/coverbig.jpg?v=d3b3eacf610acd621e0d5ad6f6210f55)
Parce qu'il n'y a pas d'erreur dans le plan de Dieu que sa volonté soit faite. Je m'appelle Kiara et voici mon histoire.
Parce qu'il n'y a pas d'erreur dans le plan de Dieu que sa volonté soit faite. Je m'appelle Kiara et voici mon histoire.
Part 1
-Pain de 100 avec 3 oeufs et une sardine.
Je prends le bol et je casse les œufs à l'intérieur. J'ajoute la sardine et je bats le tout. La poêle est déjà avec l'huile sur le feu. Oignons, fines herbes, tomates. Je bats encore.
-Moi: Piment?
-Oui...ajoute...encore. Voilà c'est bon.
C'est vous qui avez choisi mon prénom donc pas la peine que je me présente. Par contre a part mon prénom vous ne savez rien de moi n'est ce pas?
Je vous arrête tout de suite, je ne suis pas comme votre amie Lex. Je ne suis pas née avec une cuillère d'argent dans la bouche. Que connait-elle du dur labeur? Rien. Elle, elle travaille avec son cerveau et parce qu'elle le veut bien. Moi je bosse avec mes mains parce que je n'ai pas le choix. Croyez-moi si j'avais un père comme le sien, je ne foutrais rien de mes journées à part profiter de la vie.
Je verse les œufs battus dans l'huile chaude. Vous avez remarquez que votre amie aime bien tout ce qui a un rapport avec la cuisine? Ce qui est amusant vu qu'elle ne sait pas et n'aime pas cuisiner. D'abord Al puis moi.
Mais moi je n'ai pas l'honneur d'avoir un restaurant, non! Depuis quand la vie est si facile? Je n'ai qu'un vulgaire tourne-dos. Les camerounais savent ce que c'est. Mais pour nos amis gabonais et autres peuples, les tourne-dos ce sont des gargotes qu'on trouve en route. On y propose généralement tout ce qui a trait au petit déjeuner. Café, lait, omelette, pain, haricot, bouille, viande hachée, j'en passe et des meilleures. Moi je vous ai énuméré tout ce que je propose.
Vous avez remarqué comment je m'exprime bien? Pour l'instant j'ai un tourne-dos mais je ne compte pas rester là toute ma vie croyez moi. Et pour cela j'ai besoin de bien m'exprimer.
Je tourne l'omelette et je découpe le pain aux trois-quarts.
-Je mets dans le pain ou dans le plat?
-Dans le plat. Fais-moi un café au lait avec ça!
-Ok. Ca fait 750.
-Quoi?
-3 œufs 300, la sardine 150, le pain 100, et le café 200. Ca fait 750. Il faut payer avant d'être servi.
Il me tend un billet de 1000 frs et je ne le rembourse pas tout de suite. J'attends de récupérer ma vaisselle. Il s'assoit et se met à manger. Il est assis dos à la route d'ou le nom tourne-dos.
Mon comptoir est constitué d'une sorte de paillasse ou j'ai tout mon matériel: plaque, bols, tasses, couverts et autres ustensiles. Il y a un tabouret pour m'assoir quand je suis fatigué, mais vu l'affluence ce n'est pas pour maintenant. Pour terminer la description, imaginer 4 bars accolés les uns aux autres pour former une sorte de carré avec moi au milieu. Les clients sont assis de l'autre côté.
-Bonjour. Deux œufs, spaghettis de 100, sans tomates avec beaucoup d'oignons. Dans le pain de 100.
Je prends un torchon et j'essuie la sueur sur mon front. Votre amie Lex là? Vous savez quoi? Je la déteste. Pourquoi il a fallu que ce soit moi la pauvre? Ça ne pouvait pas être elle-même? En plus elle a tout ce dont j'ai toujours rêvé: la famille, les études, l'argent, mais surtout, surtout le blanc.
Elle, elle fait les chichis: "oh je ne veux pas le blanc, je veux quelqu'un qui m'aime" et tout le blabla. Moi je ne me cache pas. Tout ce que je fais dans ma vie est tourné vers un unique objectif: attraper un blanc et me faire épouser et bien évidement partir en Europe. Je m'en fous de ce que vous pouvez penser. Vous savez ce que c'est que la souffrance? Vous êtes là derrière vos ordis à lire et secouer la tête. Juste le fait que vous ayez accès à un ordi ou que vous en possédiez un, avec une connexion internet veut tout dire. Vous passez sur cette page tous les jours pour réclamer des "suiiiiiiiiiites». Moi je ne vais sur le net qu'une fois par semaine et ce n'est pas pour lires vos stupides chroniques ou tout est beau tout est parfait.
Quoi? Qu'est ce que j'entends? C'est quoi cette rage? Hé toi! Oui toi la personne qui a osé pensez ça, tu sais ce que c'est que de passer des jours sans manger? De compter chaque sous? De prier pour ne pas tomber malade? De prier pour trouver pour trouver un blanc qui puisse te sortir de ta misérable vie? Pour que tu n'ais plus à cohabiter avec les cafards et les souris? Non? Alors ferme ta gueule et laisse moi déverser ma rage.
-dans le pain ou dans le plat?
-Dans le pain.
J'ouvre le pain et j'insère l'omelette. Ca ça doit être un étudiant de Siantou. Oui parce que je suis située juste en face de l'Institut Siantou de Mvog-Mbi. J'ai donc beaucoup de clients: les travailleurs et bien sur les étudiants. Je reconnais que j'ai un bon emplacement. Je gagne beaucoup plus que lorsque j'étais situé vers Ngousso là bas. A côté de Sup de Co. Je m'étais mise là bas parce que je sais que dans cette école il y a de temps en temps des blancs qui passent là bas. Mais j'étais quand même éloigné et la clientèle n'était pas nombreuse comme ici. Mais bon. Il y a de temps en temps des élèves de l'Université Catholique d'Afrique Centrale qui s'arrêtent ici et je fais toujours l'effort de nouer la conversation. Il y a pleins de blancs là bas donc...
-Pain de 100, haricots de 100 et une tasse de lait.
Bon là je n'ai plus trop le temps. Il faut que je serve les clients. On se reverra peut être tout à l'heure. Dites à votre amie Lex si je vous intéresse ou pas. Si vous n'avez pas peur de descendre dans les bas-fonds de Yaoundé dites lui et elle va continuer à écrire. Vu qu'elle n'a que ça à faire. Elle peut se le permettre. N'est ce pas elle a un compte en banque bien garni et un mari blanc?
Cette fille je la DETESTE!!!
Commentez et likez si vous voulez, et si vous ne voulez pas...beh allez au champ!
*Va au champ*=va te faire voir/foutre
Deux ans qu'il m'a annoncé froidement qu'il ne m'aimait plus. Deux ans qui m'a dit qu'il ne souhaitait plus se marier à moi
〤◕‿◕〤 IDÉE GÉNÉRALE 〤◕‿◕〤 Synopsis Les mésaventures de Jess, œuvre africaine, à l'auteur anonyme relate avec un humour hilarant voir totalement gabonais, les frasques d'un jeune homme séduisant blasé par le sexe et l'argent, rimant souvent avec risque et excès dans un Gabon folklorique et moderne peuplé de légendes mystérieuses. Le narrateur c'est inspiré de sa propre vie pour nous dépeindre cette chronique aux allures sombres et gaies. Le livre se compose de plusieurs parties et se verra quelques fois moralisateur. C'est sur une légère sonorité Bilangoumique (Bilagum dictionnaire argot gabonais) que l'écrivain nous entraine dans un univers surnaturel et familier. Je réclame d'ors et déjà votre indulgences pour les multiples fautes grammaticales et orthographiques! Bonne lecture cher(e)s lecteurs et lectrices biscuit! Slogan: Si t'aimes clic et message si t'aimes pas clic pour le fun
Prélude: -Allo! Salut la grande, on dit quoi? Ca tient toujours pour tout à l'heure?... Okay alors, 16h à la maison... Oui oui, sans probleme... Ok ma puce, bisous... Il etait encore 9h et à vrai dire je me levais à peine. La journée s'annoncait plutot longue et mouvementée. Au téléphone c'était ma meilleure amie Ferla Ondame, on se connait depuis 20ans maintenant. Rassurez vous, ca n'a pas toujours été rose entre nous, en vingt ans, tellement de choses se sont passées... Mon nom à moi c'est Myria Eyene née Azizet, j'ai 34ans un mari merveilleux et des jumeaux de 17ans Irwin et Grace et une petite fille de 7ans, Alene. Je suis rentrée il y a seulement 4ans et j'ai aussitot été embauchée comme chargée des relations exterieures dans une grande entreprise de la place. On est samedi aujourd'hui, et comme tous les samedis, Ferla et moi nous retrouvons soit au déjeuner soit pour le thé... Aujourd'hui on se voit donc pour le thé chez moi (ms vous connaissez la gaboma non? Y a pas que le thé ooh). Je me lève vraiment malgré moi, je me suis couchée tard. Il faut que je fasse les gateaux, biscuits, et autres tartes pour tout à l'heure. - Kante! Kante! - Madame... - Mais tu n'entends pas? Ca fait 5mins que Ferla claxonne!!! - Pardon madame zetai toilet k... - aaaah laisse le bruit et vas ouvrir Ferla est la avec deux autres copines, Desirée et Cynthia. -Bonjour oooh installez vous je vous rejoins tout de suite! Je vais retrouver Grace dans sa chambre. -maman, stp viens m'aider à faire le service... -aaAanh, moi suis fatiguée han... -tsouooo, Grace, tu es fatiguée que tu fais même quoi dans cette maison? S'IL TE PLAIT Maman, lève toi un peu et viens m'aider ça ne va pas te tuer... Grace se lève bon gré mal gré et vient m'aider à transporter les desserts et autres gourmandises au buffet dressé pour l'occasion... Grace: Bonjour Ferla: oooooouh, le mannequin!!! On dit quoi ma chérie? Grace: On est là tata Ferla... Que sexy oh Ferla: Ah oui hein, il faut pas se laisser faire! Quand nous on avait ton âge, demande à ta mère on était maaaal ponceeeeeee hein, c'est pas ce que vous faites aujourd'hui là... Moi: dis lui ooh Fe... Grace: et voila, on y est! Le discours éternel... Après quelques petits fous rires, Grace nous laissait donc toutes les quatres. Fe: Mimi ta fille me rappele tellement toi a l'époque! Moi: hum, Fe... Physiquement peut-etre, mais elle est tellement plus sage que je ne l'étais à son âge... Tu te souviens?!! Fe: Et comment!!! En effet mon adolescence n'a pas été de tout repos, ni pour mes parents, ni pour moi... je me demande d'ailleurs par ou commencer... Tout à commencé l'année de ma 3eme...
Bonsoir à vous. je me présente. Otit, Oti, Anthony, Thony bref tous ces noms sont les miens. je ne peux pas ajouter a cela un nom de famille bien défini. vous saurez pourquoi tout en lisant mon histoire. je suis l'enfant de l'eau, l'enfant du Karma et meme pour certains l'enfant de la malédiction. Mais suis je vraiment une malédiction?
La pluie de la Corniche d'Or s'écrasait contre notre pare-brise, tout comme mon estomac se tordait sous l'effet d'une douleur aiguë et familière. Marc conduisait, les jointures de ses doigts blanches, jusqu'à ce que son téléphone affiche « Inès ». Mon mari, son éternel toutou loyal, s'est évaporé en un éclair. « Élise, appelle un Uber. Inès a besoin de moi », avait-il déclaré, m'abandonnant malade et seule sur cette route sombre. C'était la neuvième fois que Marc choisissait son ex-petite amie plutôt que moi, sa femme. Le « neuvième adieu » d'un pari cruel orchestré par Inès il y a des années : « Neuf fois, Élise. Neuf. Et après, tu t'en vas. » Chaque incident était une blessure plus profonde : le dîner de notre anniversaire, mon opération d'urgence, l'enterrement de ma grand-mère. Je n'étais que son pansement, son « lot de consolation », un pion dans leur jeu tordu. Quelques jours plus tard, après qu'un accident d'ascenseur m'a laissée brisée et hospitalisée, Marc berçait Inès, sa terreur n'étant que pour elle. Je l'ai enfin vu avec une clarté glaçante : il ne m'avait jamais vraiment aimée. Mon mariage était un mensonge méticuleusement conçu, orchestré par Inès depuis l'université. Mon amour pour lui, cet espoir stupide et tenace, s'était finalement vidé, ne laissant qu'un vide douloureux. Mais le jeu était terminé. J'avais déjà signé les papiers du divorce qu'il avait négligemment oubliés, prête pour ma liberté. Quand Inès a plus tard tendu un piège vicieux pour m'humilier publiquement, m'accusant d'agression, un mystérieux inconnu est intervenu, changeant tout. C'était la fin d'un cauchemar, et le début de ma vraie vie.
Maria Lua avait la vie dont toute femme pouvait rêver : belle, riche et dotée d'une famille parfaite. Mais derrière la chanceuse au visage d'ange se cachait une jeune fille rebelle qui avait fui son passé et cherchait à être heureuse et à faire ce qu'elle voulait, surtout avec les hommes. Plongée dans le monde des PDG depuis sa naissance, sa vie a toujours été liée à des hommes en costume. Et c'était à elle d'enlever tous les vêtements qui les entouraient, à commencer par leurs cravates, profitant des beaux corps qui croisaient son chemin, les propriétaires et les héritiers des plus grandes entreprises de Noriah Norte. Ce à quoi elle ne s'attendait pas, c'est d'être impliquée dans un scandale majeur le jour de ses fiançailles, monté par quelqu'un à l'intérieur de sa propre maison. Désireuse de redresser la barre, car rien ne pouvait l'ébranler et tout ce qu'elle voulait, c'était se montrer comme une femme forte, Malu ne s'attendait pas à ce que la deuxième chute la détruise complètement. Obligée de quitter sa propre maison, de mûrir et d'assumer ses responsabilités, de laisser derrière elle sa vie d'alcoolique et ses aventures sans lendemain, elle doit maintenant choisir la voie à suivre : récupérer son fiancé, aller de l'avant avec son amant ou se battre pour son véritable amour. Ce à quoi Maria Lua ne s'attendait pas, c'est qu'au milieu de tous ses doutes, plongée dans un monde d'affaires, de chantage, de vol et de comportements contraires à l'éthique, un nouvel homme croise son chemin. Serait-il sa rédemption ? Ou sera-t-il prêt à détruire complètement son cœur, comme elle l'a fait toute sa vie avec les hommes ? Tout pourrait être incertain et catastrophique dans la vie de Maria Lua Casanova, sauf les hommes en costume... Ceux-ci ont toujours été sa tentation.
Maître Colin Cleaver est un avocat Alpha respecté doublé d'un procureur général, ambitieux et déterminé à devenir un jour juge en chef pour faire régner la justice et réparer les crimes de son père déviant. Un mégaprocès contre plusieurs déviants pourrait bien propulser sa carrière et lui garantir l'élection tant convoitée. Mais son passé ressurgit de manière inattendue : la femme avec qui il a eu une aventure d'un soir refait surface... et il découvre qu'il a un fils qu'il ignorait totalement ! Béatrice, elle, n'a jamais oublié cette nuit qui a bouleversé sa vie. Une morsure sans consentement, une grossesse surprise, l'expulsion de son collège et le rejet de son père : elle a tout affronté seule. Elle ne se souvient pas du visage de l'homme avec qui elle avait couché, rencontré dans un bar dans des circonstances pour le moins tortueuses, ne conservant de lui que des impressions fugaces... Mais Colin, lui, se souvient très bien et se fait un devoir de le lui rappeler ! La réaction de Béatrice n'est cependant pas celle qu'il attendait. Dès qu'elle découvre que l'Alpha en question est son nouveau patron, Maître Colin passe dans son esprit de l'homme qu'elle admirait le plus à celui qui est désormais, à ses yeux, le plus repoussant de l'univers. Malgré son rejet, Colin persiste. Patron et Alpha, il la courtise sans relâche : des présents déposés sur son bureau le matin, des bouquets de roses le soir, des rendez-vous embarrassants devant ses collègues... et un flirt insolent qu'elle ne peut ignorer. - On peut savoir ce que ça signifie, Maître Colin !? rugit Béatrice, lui lançant les fleurs à la figure. - C'est évident ! Je vous courtise ! répond Colin, arrogant et imperturbable. Même leur fils finira par soutenir son père... preuve que Colin ne laisse jamais tomber ce qu'il veut. Passion, pouvoir et fierté Alpha se mêlent dans cette histoire : Béatrice pourra-t-elle résister à l'homme qui a marqué sa vie à jamais ? Plongez dans ce livre captivant, où romance brûlante, suspense et jeux de pouvoir s'entrelacent, et découvrez comment un Alpha déterminé peut conquérir le cœur d'une femme forte, même contre toute attente.
" Carroll Brown est mort ! Mais tu dois l'épouser au nom de ta sœur. " Ma mère me dit d'un ton froid. Ma sœur était fiancée au milliardaire le plus sexy. Cela aurait dû être un mariage parfait. De façon inattendue, Carroll était mort dans un accident. Ma sœur ne voulait pas devenir veuve, alors elle m'a forcée à épouser son fiancé décédé. Et je n'avais pas le droit de lui refuser. En fait, j'étais la fille biologique de la famille Smith. Ma sœur était adoptive. Ma sœur et moi avions été échangées à l'hôpital alors que nous venions de naître. Mes parents avaient déjà eu une relation profonde avec elle. Alors ils ont choisi de me sacrifier. Le jour du mariage, j'ai été emmenée dans la salle de deuil. "Madame, veuillez tenir compagnie au Maître et laissez-le se réchauffer." dit la gouvernante avec une expression froide. Je n'ai pas pu m'empêcher de lever les yeux vers le portrait au-dessus du cercueil, et mon cœur a raté un battement à ce regard. L'homme du portrait était plus beau que les superstars d'Hollywood. Carroll Brown ? Mon mari décédé ? Wow, il était vraiment beau ! Je ne savais pas combien de temps s'était écoulé lorsque mon estomac a commencé à se rebeller. Après un coup d'œil au cercueil, j'ai avalé ma salive puis j'ai supplié en croisant les doigts. « M. Carroll, je meurs de faim ! Puis-je manger vos pâtisseries ? Cela ne vous dérange pas, n'est-ce pas ? "Je fais." « Ah ! » Effrayé, j'ai eu des sueurs froides. Mes jambes sont devenues molles et je suis tombé au sol. J'ai crié "Fantôme !" Carroll retroussa les lèvres, se pencha et toucha le cercueil noir. "M. Carroll est ressuscité des morts. Que pensez-vous de ce titre demain?"
Il y a cinq ans, la famille Powell a fait faillite. Madeline Powell a donné naissance à des jumeaux ; elle en a laissé un au père de l'enfant et a emporté l'autre. Après des années, Madeline est revenue en tant que leader d'opinon sur Internet. Cependant, quelqu'un a eu vent de son retour. L'homme l'a pincée par le menton et a ricané froidement : « Tu as posté beaucoup de vidéos sur Internet, que dirais-tu de filmer quelque chose d'épicé ensemble ? » Les yeux de Madeline se sont agrandis et sa gorge s'est asséchée. Le lendemain, elle a vu un petit garçon qui ressemblait exactement à son fils à la maison de l'homme. Madeline n'a pu s'empêcher de l'embrasser la joue dodue du garçon. Étonnamment, le garçon n'était pas heureux. Il a pris une expression solennelle et lui a demandé : « Mais qu'est-ce que tu fais ? » Madeline était furieuse. Comment cet homme avait-il pu faire de son fils aimable un mini version de lui ?
Pendant trois ans, j'ai consigné la lente agonie de mon mariage dans un carnet noir. C'était mon plan de divorce en 100 points : chaque fois que mon mari, Bastien, choisissait son premier amour, Ariane, plutôt que moi, je déduisais des points. Quand le score atteindrait zéro, je partirais. Les derniers points se sont évanouis la nuit où il m'a laissée me vider de mon sang après un accident de voiture. J'étais enceinte de huit semaines de l'enfant pour lequel nous avions tant prié. Aux urgences, les infirmières l'appelaient frénétiquement – le chirurgien star de l'hôpital même où j'étais en train de mourir. « Dr Lefèvre, nous avons une patiente non identifiée, O négatif, en pleine hémorragie. Elle est enceinte, et nous sommes sur le point de les perdre tous les deux. Nous avons besoin de votre autorisation pour une transfusion sanguine d'urgence. » Sa voix est sortie du haut-parleur, froide et impatiente. « Je ne peux pas. Ma priorité est Mademoiselle de Valois. Faites ce que vous pouvez pour la patiente, mais je ne peux rien détourner pour l'instant. » Il a raccroché. Il a condamné son propre enfant à mort pour s'assurer que son ex-petite amie dispose de toutes les ressources nécessaires après une intervention mineure.
© 2018-now Kifflire
TOP