- Écoute, tu fais partie d'une famille et en temps que membre tu as des obligations. Tu te dois de t'y tenir. Ta mère et moi sommes passés par là, nous n'en sommes pas morts comme tu peux le constater. Crie mon père. - C'est une blague, tu oses te prendre en exemple ? Mais tu es tombé sur la tête mon cher père ! Dis-je sarcastique - Tiya, comment oses-tu parler de cette façon à ton père, je ne t'ai pas élevé ainsi, demande lui pardon. - oh mais Jeanne, sa façon de me répondre t'étonne réellement? Si tu me l'avais envoyé comme convenu lorsqu'elle était plus jeune, jamais elle n'aurait eu ce comportement irrespectueux. C'est le fruit de l'éducation que tu lui as donné, pourquoi t'étonnes-tu?! maman baisse aussitôt la tête. Je ne comprends plus rien, mais que se passe-t-il? Est ce que quelqu'un peut m'expliquer ce qui se passe ? C'est peut être un bad trip ? Oui c'est ça. Je dois sûrement faire un bad trip après tout. Je ferme les yeux et pratique quelques exercices de respiration. J' ouvre mes yeux et....non, rien ne se passe. Je suis toujours dans le salon de la villa de mon père à Brazzaville, assise sur le fauteuil en cuir couleur crème, en face de ma mère et de lui même. J'en reviens toujours pas des propos qu'il est en train de tenir. Cet homme ne me connaît même pas. Il est rentré dans ma vie il y a à peine 3ans et je l'ai rencontré il y a 1an et demi. Avant ça, je pensais tout bonnement que je n'avais pas de père. Aucun d'appel, pas de lettre, encore moins de visite, rien. Et aujourd'hui il se présente devant moi gaillardement et me balance sa bombe puis m'ordonne de la digérer sans brancher. Et ma mère qui se tient à côté de lui, mon amour, ma confidente, ma meilleure amie, mon associé, celle à qui je dis tout, celle qui connaît tout de moi, qui ne dit rien. Je ne comprends pas, elle a toujours été là pour me soutenir dans tout ce que j'entreprenais, quand je baissais les bras, elle était la seule à trouver les mots justes pour me rebooster. Je sais qu'elle ne souhaite pas ça pour moi alors, pourquoi me fait-elle ça aujourd'hui, pourquoi ne parle-t-elle pas en ma faveur ? - ma décision est prise, et elle est irrévocable. Dit-il en se levant et en se dirigeant vers les escaliers. La discussion est close. - comment ça la discussion est close crié-je en me levant à mon tour. Elle n'est pas close, elle n'est pas close. C'est de ma vie dont il s'agit ! J'ai 24ans je suis assez grande pour savoir ce qui est bon ou non pour moi ! Il ne fait pas cas de moi, encore moins de mon discours et continue à monter les marches. - calme toi, Tiya, calme toi. Me dit ma mère en essayant de me prendre dans ses bras. - non ne me touche pas ! Comment tu peux me faire ça ! M' exclamé-je en la repoussant. Comment tu as pu nous faire ça snif ? Pourquoi tu l'as laissé faire ? Pourquoi tu ne t'opposes pas ? Elle ne me répond pas et détourne son regarde. Attendez, ne me dites pas que... ? -tu étais au courant ? Lui demandé-je en espérant qu'elle me réponde le contraire. Maman tu étais au courant de ce qu'il allait dire? Snif maman je t'en supplie dis moi que tu ne savais pas... - ah Tiya, C'est une affaire compliquée, toi aussi. Tout ça aussi c'est de ta faute, si seulement tu savais écouter lorsqu'on te parle. Regarde maintenant les conséquences de tes actes. Pardon ! Je la regarde médusée, qu'est-ce qu'elle est en train de dire là? Que c'est de ma faute? Donc c'est de ma faute si mon père me force à me marier? Parce que oui, c'est ça la raison de mes cris et de mes pleures. Nous sommes au XXIieme siècle et mon père veut me forcer à épouser un homme que je ne connais pas. Fin de la conversation
Chapitre 1:
"viens nous faire danser dj, viens nous faire rêvez dj hey hey, viens nous faire danser dj, on veut tous s'enjailler. Allez, bebaka mabe hey, bebaka mabe, allez bebaka mabe hey bebaka mabe dj hey hey"
-putain où il est ce foutu téléphone, merde.
Je cherche à tâtons mon téléphone portable pour éteindre mon réveil le plus vite possible avant que mon sommeil ne parte et que je ne puisse gratter quelques minutes.
"viens nous faire danser dj hey hey viens nous faire danser dj, on veut tous s'enjailler"
Trop tard, le volume ne fait qu'augmenter de secondes en secondes... Et me voila énervée. Je ne suis pas matinale. Quand je me réveille, c'est toujours avec douceur, sinon, je peux devenir imbuvable pendant toute la journée avec les personnes qui m'entourent, et particulièrement avec la personne qui m'aura réveillée et c'est ce qu'il va se passer lorsque je retrouverai l'idiot qui a modifié ma sonnerie de réveil. Parole de Tiya.
Je réussis à trouver mon téléphone et éteins le réveil après avoir regardé l'heure : 7h30. J'ai donc une heure pour m'apprêter car je dois être au boulot pour 9h30. Je me lève péniblement, me dirige vers les toilettes, et après 5min j'en sors pour me retrouver sous la douche. Une douche de quinze minutes plus tard, je me retrouve devant ma penderie, une serviette nouée autour de la poitrine, en train de choisir ma tenue. J'opte pour une jupe taille haute couleur taupe qui m'arrive en dessous des genoux avec un t-shirt moulant blanc manches longues à col V, le tout sur une paire d'escarpins marrons.
Je me dirige vers ma coiffeuse pour faire mon travail de transformation comme dirait mon ex. Ce n'est pas que je suis affreuse au naturel mais j'aime faire ressortir les atouts que le seigneur m'a donné. Je commence par appliquer ma crème de jour, puis ma base matifiante et une fois fait, j'applique mon fond de teint, puis mon correcteur anti-cerne et enfin ma poudre. Je sais que ça peut parait énorme comme maquillage mais en vrai il n'en ai rien, tout ça donne simplement l'impression que j'ai un teint net et uniforme. Quand je finis de préparer mon teint, je commence à me maquiller, et le résultat fait très naturel, je vous l'assure, même s'il me faudra plus de trois linguettes pour enlever tout ça krkrr.
J'enlève mon foulard et allume mon fer à lisser pendant que je brosse mon tissage brésilien. Je fais quelques vagues puis ébouriffe mes mèches, pour ne pas qu'elles aient un effet travaillé. Bon vous l'aurez compris, je joue la carte du faux naturel. Encore un peu de laque et voilà je suis prête.
Je regarde l'heure:8h40. Huumm,il est temps que j'accélère le mouvement car si je ne sors pas dans la minute qui suit, je vais être en retard.
J'ouvre les fenêtres de ma chambre, j'attrape mon manteau ainsi que mes clés de voiture et celle de mon appart puis me dirige vers l'ascenseur, je descends au parking, déverrouille ma petite megane noire, et prends le chemin du travail. J'arrive avec 10 min de retard mais je sais que ce n'est rien comparé aux heures supplémentaires que j'effectue. Je vais dans mon bureau et salues au passage, brièvement mes collègues. J'allume mon ordinateur et quelques secondes plus tard Marie fait son entrée.
-coucou pucette ça va? Me demande-t-elle toujours avec son beau sourire
-humm hum
- tiens, je t'ai apporté un chocolat chaud pour te réveiller, une barre céréalière pour prendre des forces, et une pile de dossiers pour justifier ton salaire.
Je souris. Marie c'est mon assistante, et chaque matin elle me sort le même discours et je lui réponds toujours la même chose :
- merci Marie, t'es un amour.
Nous nous entendons assez bien malgré la différence d'age qu'il y a entre nous ; être l'assistante d'une jeune femme de 23 ans fraichement sortie des bancs scolaire lorsque l'on a 36ans, peut-être un peu compliqué à vivre mais on a su gérer cela et instaurer une relation respectueuse entre nous.
Je vois mon petit déjeuner express pris, je m'attaque à la pile de dossiers et ce n'est que vers 15h que je fais une pause de 20min pour manger avant de me replonger dans mon travail. Je suis interrompue une heure plus tard lorsque mon téléphone sonne et affiche le prénom d'Emeraude ma meilleure amie depuis l'enfance.
-oui ?
- t'es où, tu fais quoi ?
- roh Emo, où veux-tu que je sois, un vendredi à... Regardant ma montre... 16h30?
- je dirais devant l'ascenseur, prête à venir prendre un verre avec moi !
- pas possible miss, j'ai trop de travail.
- mais ça fait longtemps qu'on s'est pas vu, toutes les deux, tu me manques un peu quand même.
- on se voit demain sans faute...
-humm, ok mais si on se voit demain tu m'accordes toute ta soirée et on va en boite ?
Je réfléchis deux secondes...
- ok pas de souci je te suis.
On parle encore un peu puis, je raccroche et me replonge dans mon boulot. Quand j'estime en avoir fini, je regarde l'horloge murale: il est 21h20. Je range mes affaires et me dirige vers les ascenseurs. J'arrive chez moi à 22h30 et vais directement dans ma chambre, enlève mes vêtements et passer sous la douche.
Je suis trop fatiguée pour me faire à manger aujourd'hui, alors vêtue d'un boxer noir et d'une brassière de même couleur, je pars dans la cuisine me chauffer du lait au chocolat avec quelques croissants que je mange installée au salon devant un film de série B que j'attrape en chemin. Mon diner finit, je range tout ce que j'ai utilisé et j'éteins tout avant de me rentre dans ma chambre, me glisse sous les draps et m'endors assez rapidement.
Mes journées ne sont pas très palpitantes hein... mais ce n'est qu'en apparence. Demain est un autre jour.
Résumé un peu long. Prologue au premier abord. Merci de me lire.
« Il faut que tu lui parles ! J'ai vraiment peur pour elle. Je ne sais pas pourquoi, mais ces derniers jours, j'ai un mauvais présentiment la concernant. J'ai peur qu'il lui arrive quelque chose. - ça va aller, tentai-je de la rassurer. » Je me levai de mon siège, contournai mon bureau pour aller la prendre dans mes bras et essayer de la réconforter. « Roland, j'ai tellement peur ! répéta-t-elle en sanglotant. » J'étais dans la même situation qu'elle. Je m'inquiétais également pour Tonya mais je ne pouvais pas le lui dire. Pas après l'avoir entendu exposer ses craintes et ses présentiments. En règle générale, elle ne se trompe jamais, surtout lorsqu'il s'agissait de Tonya. Elle avait et à toujours la capacité de sentir quand Tonya va avoir d'énormes problèmes et bien souvent, elle tentait d'avertir Tonya, ou passait directement me voir pour que je l'aide à trouver une solution, comme aujourd'hui. Bien qu'elle soit sortie du ventre de leur mère quelques minutes après Tonya, c'est toujours elle qui veille. « Cette fois, c'est différent. C'est vraiment grave. Je le sais, je le sens. Je ne sais pas dans quel bourbier elle est encore partie se fourrer et cette fois, elle ne veut pas m'en parler et je ne sais vraiment plus quoi faire. » Ses sanglots montaient en intensité pour devenir un torrent de larmes, et je continuais autant que je le pouvais à lui donner des paroles de réconfort. Je devais avouer que je n'étais moi-même pas convaincu de ce que je lui disais. Nous connaissions tous Tonya parfaitement et s'il y avait bien une activité dans laquelle elle excellait, c'était celle de se fourrer dans les embrouilles plus tordues les unes que les autres sans jamais prendre en compte les remarques, les considérations et les leçons que pouvait entraîner une situation. « Je vais lui parler. Ça va aller, t'en fais pas. - Je sais que tu es énormément pris mais, est-ce que tu pourrais le faire aujourd'hui. - Je vais même le faire tout de suite. » Je voyais le soulagement se dessiner sur son visage et pour cause ; avec moi Tonya n'avait jamais de filtre. Elle se sentait obligée de me dire tout, absolument tout la concernant, comme on confirait tout à son meilleur ami, quitte à m'irriter. J'ai fini par m'en accommoder et à apprendre à me détacher de ce qu'elle pouvait faire pour ne voir que ce qu'elle était. Je m'approchai de mon bureau et m'emparai du combiné téléphonique quand le portable de Maddy se mit à sonner. « Allo ? Oui c'est moi ? Quoi ? Oh Mon Dieu ! Oh mon Dieu ! - Ok, j'arrive ! J'arrive ! - Qu'est-ce qu'il se passe, lui demandais-je alors qu'elle retirait l'appareil de son oreille. - Tonya est à l'hôpital, elle a été tabassée et laissée pour morte. » Oh, c'est pas vrai...
Alors c'est quoi l'amour selon vous ? N'est-ce pas l'une des plus belles choses qui puisse nous frapper à l'œil ?
Quelle lueur intense, j'ai du mal à ouvrir mes yeux. Pourtant je le dois... Il y a 2 ombres dans la pièce qui ont l'air de parler entre elles, je ne comprends rien de ce qu'elles disent juste ce bip qui retentit dans la pièce près de mes oreilles. Je tourne doucement ma tête et je remarque cet appareil avec des lignes qui montent et descendent. Je referme mes yeux quelques secondes et les rouvrent... ça y est je connais cette pièce c'est une chambre d'hôpital. J'essaye de bouger un bras pour qu'ils remarquent que je suis réveillée. Ça fait mal très mal pourtant il faut que je les prévienne qui qu'ils soient. J'essaye alors d'émettre un son mais ce tuyau dans ma bouche m'en empêche. Je vais pourtant y arriver malgré la brûlure dans ma gorge. Cet effort m'a épuisé, je referme les yeux. Là les questions me rongent. Mais que fais je dans un hôpital ? Pourquoi suis-je allongée ici ? Que m'est-il arrivée ? Mais surtout qui suis-je ?
Kalinda Mon cœur est comme du verre cristallin très fragile. Il se briserait à rien. Non. Je corrige! Il a déjà été brisé. Piétiné encore et encore par mes parents adoptifs et ma sœur cadette. Aussitôt que cette naissance miraculeuse est survenue dans la famille, de ma petite sœur adorée… Je n'étais plus la saveur du jour. Je n'avais plus le moindre intérêt. Papa! Maman! Pourquoi m'avoir adoptée, si c'était pour m'abandonner, de même que l'avaient fait mes parents biologiques avant vous? Je ne comprends pas! Je ne peux me battre. Je ne peux me défendre. Je ne dois même jamais m'agiter… plus que de raison! C'est ce que me disent mes parents adoptifs depuis toute petite! Parce que mon cœur est fragile. Eh oui, vous l'avez bien compris! En plus d'être si durement traitée depuis l'enfance… Je suis aussi atteinte d'une maladie chronique. Je ne peux en aucun cas m'agiter… ce qui risquerait d'aggraver ma situation. Je me suis donc enfermé dans le silence. Dans un parfait anonymat, acceptant la défaite contre ma sœur cadette encore et encore… Acceptant l'éloignement constant de mes parents, petit à petit... jusqu'à être reniée et chassée de ma propre maison! Acceptant l'abandon et le rejet si cruel de tous les gens qui m'étaient si proches! Acceptant aussi tous mes rêves brisés. Mais c'était avant qu'il entre dans ma vie… lui… cet homme qu'on dit pourtant si dur et si cruel avec le sexe faible! Lui dont les femmes disent à Orlando qu'il a un cœur de glace! Il est devenu ma rédemption. Mon jardin secret. Ma fragile espérance. Ma vie peut-elle vraiment changer? Le soleil peut-il entrer dans ma demeure? C'est le rêve très vivide que William Fairsight tente de me vendre quand je le trouve à mon chevet à mon réveil, dans cette chambre d'hôpital si froide et impersonnelle, et qu'il affirme que ma maladie n'est pas du tout incurable tel qu'on me l'avait laissé croire jusqu'ici. William Fairsight m'a redonné vie. Comment pourrais-je lui témoigner mon éternelle reconnaissance? «Épousez-moi!» ordonne-t-il d'une voix qui est sans appel. «Ma vie vous appartient.» lui dis-je alors, d'un seul souffle. Il est mon sauveur, mon libérateur. Même s'il désirait m'infliger les pires tortures imaginables, tout cela pour son plaisir personnel, je l'accepterais sans hésiter! Mais William Fairsight est-il vraiment ce sadique empli de cruauté que toutes ces femmes décrivent? Petit à petit j'apprends à découvrir que derrière cette façade très cruelle, se cache en fait un homme très tendre!
En tant que simple assistante, envoyer un message au PDG en pleine nuit pour demander des films pornos était une initiative audacieuse. Sans surprise, Bethany n'a reçu aucun film. Cependant, le PDG a répondu qu'il n'avait pas de films à partager, mais qu'il pouvait offrir une démonstration en direct. Après une nuit pleine de passion, Bethany était certaine de perdre son emploi. Mais au lieu de cela, son patron lui a proposé : « Épouse-moi, s'il te plaît, réfléchis-y. » « M. Bates, vous vous moquez de moi, n'est-ce pas ? »
Dans le quartier résidentiel West Brunswick Il était dix heures du soir. J'ai ouvert la porte et je suis entrée dans une maison J'ai allumé les lumières Les lumières du lustre en cristal de la chambre d'amis ont projeté mon ombre sur les fenêtres du sol au plafond Cette maison serait mon domicile conjugal demain Et mon fiancé Perry Bart, directeur de département d'une entreprise, était beau et attentionné J'avais beaucoup de chance d'avoir rencontré un tel homme dans ma vie Selon les traditions du mariage , nous ne pouvions pas nous voir la nuit précédant le mariage Perry était dans notre domicile conjugal tandis que je vivais dans la maison de ma meilleure amie Liliana Avant d'aller me coucher, j'avais vérifié les choses dont j'aurais besoin le lendemain et j'avais découvert que j'avais oublié mon voile de mariée dans notre domicile conjugal J'étais donc rentrée discrètement dans cette maison sans appeler Perry à l'avance, juste pour le surprendre En pensant qu'après demain , Perry et moi réussissions à vivre heureux ensemble pour toujours , j'étais toute souriante J'ai mis mes pantoufles et je suis dirigé vers le salon En marchant, j'ai entendu des gémissements de plaisir d'une femme . J'étais choquée La porte de la chambre principale était entrouverte Et la voix féminine en est sortie Soudain, j'ai senti un feu furieux brûler en moi, et mes jambes étaient engourdies Mais je me suis quand même approchée involontairement Debout devant la porte, je pouvais clairement entendre les cris de jouissance à l'intérieur, ils devenaient de plus en plus clairs, et à chaque cri mon cœur se serrait fort La porte était à peine fermée J'ai poussé légèrement la porte et elle s'est ouverte J'ai vu des talons hauts, des sous vêtements et des bas d'une femme sur le sol Il était difficile éparpillé de ne pas imaginer des choses quand je voyais cela. J'ai supporté de force ma colère et ma panique et j'ai regardé vers le lit Un seul regard et le chagrin d'amour ont failli m'étouffe
Après trois années sans amour, la trahison de Neil a profondément blessé Katelyn. Elle n'a pas tardé à se débarrasser de cette crapule ! Après le divorce, elle s'est consacrée à sa carrière. Devenue une icône vénérée, elle s'est fait connaître en tant que styliste de haut niveau, médecin compétent et pirate informatique de génie. Neil, conscient de sa grave erreur, a tenté en vain de la reconquérir, mais il a été témoin de son magnifique mariage avec un autre. Alors que leurs vœux sont diffusés sur le plus grand panneau d'affichage du monde, Vincent a glissé une bague au doigt de Katelyn et a déclaré : « Katelyn est maintenant ma femme, un trésor inestimable. Que tous ceux qui la convoitent prennent garde ! »
Valeria Brown était la fille unique de la famille Brown, une famille plutôt aisée. Elle avait une meilleure amie, Ashley. Mais celle-ci et sa mère avaient l'intention de tout lui prendre. Par ailleurs, Mason, qui était sorti avec Valeria pendant quatre ans, la trompa. Elle surprit son petit ami, Mason, en train d'embrasser Ashley dans la voiture ! Cependant, cette dernière n'eut aucune honte. Au contraire, elle drogua Valeria avant de demander à un gigolo de la dépuceler. D'une manière inattendue, un inconnu surgit de nulle part pour chasser le gigolo. Il était au courant de ce qui se passait. Lorsque Valeria s'était réveillée, elle découvrit cet homme inconnu et sexy s'allonger à côté d'elle. Elle se souvenait que selon Ashley, cet homme était un gigolo. A ces pensées, elle s'énervait. Mais en fait, cet homme, qui avait sauvé Valeria du gigolo et qui avait couché avec elle, n'était autre que le plus riche PDG…