Elle : 23 ans, fraîchement diplômée en Lettres Modernes, à la recherche d'un emploi dans l'édition. Lui : 25 ans héritier et PDG et à la tête d'une grande entreprise de son père.
Elle : 23 ans, fraîchement diplômée en Lettres Modernes, à la recherche d'un emploi dans l'édition. Lui : 25 ans héritier et PDG et à la tête d'une grande entreprise de son père.
Prologue
Prof : Tes résultats sont encore plus minables cette année
Moi : Mais monsieur je ne comprends pas je bosse, je révise mais arriver au devoir je m'embrouille
Prof : À cette allure-là tu es bien parti pour redoubler ta classe de 1ere
Moi (triste) : monsieur
Prof : bah il faut bosser vous les enfants d'aujourd'hui là on ne vous comprend plus, au lieu de travailler vous passez votre temps dans les boîtes de nuit à suivre les hommes
Moi (choquée) : monsieur moi ????
Prof : on vous connait vous les filles du Delta là
Moi (vexée) : je ne suis pas comme ça
Prof : oui c'est ça en tout cas je ne suis pas content de ton travail, 3/20 en économie, tu vas aller où comme ça ? Avec ce 3 là c'est sur tu vas rater ton trimestre.
Moi (regardant le sol) : merci monsieur pour vos conseils, bonne journée
Je me suis retournée pour y aller quand j'ai entendu
Prof : ONANGA revient
Moi : monsieur ?
Prof : à moins qu'on s'arrange
Moi (fronçant les sourcils) : comment ça monsieur ?
Prof : bah écoute tu me donnes ce que je veux, je te fais monter la moyenne
Moi (intriguée) : et vous voulez quoi ?
Prof (vicieux): tu me donnes le haricot
Moi : autrement dit
Prof (agacé) : ah ONANGA tu me donnes ta chatte
Moi (choquée) : oh monsieur
Prof (vicieux) : ah ne fait pas la fille choquée que tu ne connais
pas quoi ?
Moi : monsieur je ne fais pas ça
Prof : hahahaha pardon les filles comme toi là on connait ne fait pas semblant
Moi (outrée) : mais monsieur vous êtes mon professeur vous avez l'âge de mon père comment osez-vous me dire un truc comme ça ?
Prof : écoute c'est une proposition si tu ne veux pas c'est ton problème
Moi : vous devriez avoir honte de vous, vouloir coucher les enfants des autres pourquoi les points ? Vous pouvez aller vous pendre hein monsieur.
Prof (touché) : eh je ne te permets pas de me parler comme ça hein, je suis ton prof
Moi (dédaigneuse) : prof hahaha laissez-moi rire, ce n'est pas vous la qui vouliez coucher avec moi pour me faire monter la note ?
Prof (outré) : bon dégage
Moi : dégagez-vous-même sal pervers
Prof : c'est à moi que vous parlez comme ça, tu sais à qui tu as à faire
Moi : que quoi ? Il ne fallait donc pas m'embêter
Prof (me pointant du doigt) : tu ne devrais pas t'amuser avec moi
je peux te pourrir la vie dans cet établissement
Moi :...
Prof : maintenant fou moi le camp
Moi (le chipant) : mtssss
Je suis sortie de la salle de classe bien en boule. Je marche d'un pas rapide vers a sortie ou m'attendait ma copine Linda.
Linda : oh c'est comment tu es en colère comme ça ?
Moi : mais ce n'est pas ce chien de MABIALA là
Linda : le prof ?
Moi : oui qui encore
Linda : il te veut quoi ?
Moi : tu sais que j'ai eu 3/20 au devoir d'économie là non
Linda : d'ailleurs je ne comprends pas pourquoi or c'est toi qui m'explique souvent moi j'ai 11 et toi 3 ?
Moi : moi-même je ne comprends pas
Linda : oui donc il voulait quoi ?
Moi : au début il me conseille c'est pour après me dire que oh oui si je ne veux pas redoubler je n'ai qu'à lui libérer ma chatte
Linda : non
Moi : si
Elle a éclaté de rire
Moi : ça t'amuse hein
Linda : mais oui, et tu lui as dit quoi ?
Moi : d'après toi je l'ai insulté
Linda (choquée) : oh ????
Moi : quoi ?
Linda : mais pourquoi tu l'as insulté ?
Moi : attend tu es sérieuse là ??? Tu n'as pas entendu ce que j t'ai expliqué
Linda : si mais de là à l'insulter c'est un peu trop non ?
Moi : non ce n'est même pas assez
Linda : hum
Moi : quoi encore
Linda : je trouve que tu t'enflammes
Moi : et pourquoi ?
Linda : réfléchis un peu c'est peut-être une bonne opportunité
Moi : comment ça ?
Linda : ah ONANGA tu es bête ou bien ?
Moi : bah non
Linda : tu as besoin de combien pour avoir la moyenne ce trimestre
Moi : 10 en économie pourquoi ?
Linda : mais alors tu as la solution à tous tes problèmes
Moi (choquée) : MOUSSAVOU oh
Linda : oh quoi ? Écoute ONANGA, tu crois que dans le lycée là c'est quoi soit tu es bon et tu avances sans soucis soit tu es toto comme nous là et tu es obligé de te soumettre au système
Moi : mais de quel système tu parles ?
Linda : le réseau avec les profs non
Moi : mais tu es folles quoi, coucher pour avoir de bonnes notes
Linda : oui
Moi : jamais tu me prends pour qui ?
Linda : ah ONANGA arrête de faire ta sainte nitouche
Moi : MOUSSAVOU oh
Linda : écoute moi-même et pleins d'autres filles de la classe on a recours à ça de temps en temps
Moi (choquée) : oh ?
Linda : oh quoi tu penses que je fais souvent comment pour avoir des 13 au dernier trimestre qui me remonte mes moyennes des deux trimestres précédents ?
Moi : non
Linda : si
Moi : mais c'est du viol !!!
Linda : j'ai 21 ans toi aussi
Moi : mais même oh Linda toi aussi pour les notes ?
Linda : eh toi là c'est ma chatte je la donne à qui je veux et puis même, sache que dans la vie la tout le monde n'est pas intelligent ou encore fait pour l'école
Moi : je sais mais ici au Gabon là c'est le seul moyen et je compte bien m'accrocher
Linda : arrête de faire ta vierge effarouchée là, tu penses que tu réussiras avec tes minables 3 de moyenne là non dans la vie il faut se battre ma chère.
Moi : je suis d'accord mais pas se battre comme ça juste avec ma
tête
Linda (me toisant) : tu es trop naïve
Moi : non je ne pense pas Linda je trouve que c'est trop facile de vouloir tout avoir en montrant ses fesses
Linda : et tu veux faire quoi d'autres ?
Moi : réussir par moi-même il y a déjà trop de stéréotype sur moi je ne vais pas en plus rajouter ça.
Linda : en tout cas c'est un conseil oh, soit tu prends soit tu ne prends pas
Moi : oui non merci je ne veux pas donner mes fesses pour les notes
Linda : en tout cas moi je t'ai donné une solution après tu veux finir ta vie là en 1ere c'est ton problème
Moi : ça veut dire quoi ça ?
Linda : ça veut dire ce que ça veut dire (me faisant un bisou) tu gères ta vie comme tu veux
Moi : moi tu vas où ?
Linda : je te laisse dans tes bêtises
Elle est partie me laissant là en plein carrefour Léon-MBA.
... : hey la plus belle !!!
Moi (me retournant) : hey Thomas
Thomas : ma belle ça va ?
Moi : un peu et toi ?
Thomas : ça va mais c'est quoi cette mine triste ?
Moi : Thomas ma vie me dépasse
Thomas : qu'est-ce qu'il y a ?
Je lui ai raconté ce qui venait de se passer avec mon prof
Thomas (désolé) : c'est quoi ces embrouilles-là pufff les choses
des gabonais pufff n'importe quoi mais ce pays-là, va vraiment à la renverse.
Moi (triste) : j'ai même envie de pleurer quoi
Thomas : hey tu n'as pas à pleurer d'accord ?
Moi : oui mais tout ça me dépasse et tu ne devineras jamais le
pire
Thomas : quoi ?
Moi : Linda m'encourage dans cette voix
Thomas : pardon ?
Moi : comme tu entends là
Thomas : pufff je t'ai toujours dit que cette fille avait une mauvaise
influence sur toi et que ce n'était pas une bonne amie
Moi : arrête Thomas tu exagères
Thomas : non du tout je dis plutôt la vérité oui cette fille a des allures de tuées (bordelle)
Moi : oh Thomas mais non elle n'est pas comme ça
Thomas : puff tu es trop naïve Maeva
Moi : non non
Thomas : bref tu rentres là ?
Moi : oui oui et toi ?
Thomas : oui
Moi : ça été ta journée de stage ?
Thomas : oui
Moi : on y va
On est parti lui et moi habitons le même quartier (Transfo) mais lui est dans une putain de belle maison quand moi je vis avec mon grand-père et ma grand-mère dans une maison demie-dure.
Thomas : Maeva stp ne trempe pas dans ce cercle d'accord ?
Moi (sourire) : ne t'inquiète pas
Thomas : ok
Puis il m'a tendu une petite enveloppe
Moi : oh non non
Thomas : tient ça va te dépanner on est ami Maéva
Moi : oui mais ça fait comme la charité
Thomas : tu es bête, allez à plus
Il est rentré dans son immense barrière et moi j'ai foncé jusque
chez moi
Thomas NGOULA un pur produit OBAMBA-Téké, fils de la chef de département approvisionnement à la SEEG et d'un haut cadre dans une entreprise pétrolière de la place. 21ans en stage à la SEEG, il a étudié au Lycée français, c'est un beau garçon au teint matte, mais il est aussi et surtout un de mes meilleurs amis le seul mec qui n'a jamais essayé de me mettre dans son lit, il a toutes les filles à ses pieds. Malgré le fait qu'on ne vienne pas du même monde car il faut se l'avouer lui c'est un fis de... et moi une fille de personne. Il a beaucoup de succès avec les filles et il ne s'en prive pas.
Linda MOUSSAVOU ma meilleure amie, on est voisine aussi, on se connaît depuis que nous sommes petites on a même joué ensemble quand on était petite. On vit les même galères à peu près, elle vit avec sa mère et son père.
Moi, je vis avec mon grand-père que j'appelle ABO et ma grand-mère, il est retraité de l'armée gabonaise, on vit grâce à sa petite pension et grâce aux économies que maman avait laissé mais dès fois c'est juste hein mais bon on s'accroche, et puis tantine Lydia aussi donne l'argent de temps en temps, sauf qu'elle et ABO ne s'entende pas je ne sais pas d'ailleurs pourquoi, c'est elle qui me paie l'école. Mami est ménagère chez un couple franco-gabonais.
Ma mère, ah je ne sais pas j'ai de très vague souvenir d'elle hein, elle est décédée quand j'avais 10 ans, elle était très belle une belle femme gallois (groupe omyènè). Elle est morte dans un accident de circulation à Libreville et depuis bah c'est ABO qui s'occupe de moi. Mon père je n'en sais rien du tout, la seule chose que je sais c'est qu'il vit quelque part en Angleterre le reste Me ngue djabi (comme disent les punu je ne sais pas).Voilà je crois avoir fait le tour...
Ah non je suis bête je ne me suis pas présentée, moi je suis Maéva ONANGA Wilson, je suis métisse père anglais inconnu et mère gabonaise. J'ai 20ans je suis en classe de 1ere B (économie)au collège Delta, où je rame déjà depuis un moment après mettre fait exclure du lycée d'Etat pour moyenne insuffisante, car mon cerveau a du mal quand je suis en cours, j'ai de grosses difficultés à l'école. Mais laissez-moi vous comptez mon histoire....
Narration externe...... Je reçois un vif coup dans le dos. Je m'écroule au sol péniblement en un rien de temps. Bien de choses se défilent dans ma tête: Je repense à mes parents et la boiteuse relation que j'entretiens avec eux. Je pense à mon frère, avec qui je viens récemment de m'entendre. Mes pensées se dirigent rapidement vers morgan . J'aurais dû toucher son visage avant de prendre congé d'elle tout à l'heure, elle est si belle... Ma vie entière a été une succession d'échecs, de mise à terre et d'écroulement.
Bonjour Mauricette ! Deux êtres ....chacun venu de son monde. Elle, vie banale, heureuse ouverte libre et indépendante . Lui, vie très active, à la recherche de son âme sœur .. La laissera t-il renter dans cette vie ? Quel est ce mystère ? Qui sont ces deux personnes ?
Ma belle mère. Je m'appelle Magali, à 12 ans je perdis mon père suite à une grave maladie incurable, les années qui ont suivi ma mère s'est marié à un cousin selon la tradition de chez nous.. Ma vie prit un coup après la mort tragique de mon père et des événements qui ont survenu.
« Chassez cette femme ! » « Jetez cette femme dans la mer ! » Quand il ne connaîssait pas la véritable identité de Debbie Nian, Carlos Huo la méprisait. « M. Huo, elle est ta femme », lui a rappelé le secrétaire de Carlos. En entendant cela, Carlos lui lance un regard froid en se plaignant : « Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt ? » Depuis, elle est pourrie gâté par Carlos. Personne ne s'attendait à ce qu'ils puissent se divorcer.
Après trois ans passés à se consacrer entièrement à son mariage, Eleanor n'a eu pour toute récompense qu'un divorce sans pitié ! Les ennuis ont commencé avec l'ancienne amante de son ex-mari, et sa belle-famille s'en est mêlée avec enthousiasme. La maîtresse de son ex-mari est venue chercher des ennuis, et sa belle-famille s'en est également mêlée. La femme docile qu'ils avaient écartée s'est avérée être le cerveau derrière la mise en bourse de l'entreprise de son ex-mari et la célèbre Chirurgienne de l'Âme du monde médical. Il l'a suppliée en larmes, mais il était déjà trop tard. Les journalistes ont eu le souffle coupé lorsque la vérité a été révélée. Un magnat l'a attirée dans ses bras. « Elle est à moi ! »
« Ne laisse jamais personne te traiter comme de la merde ! » J'ai appris cela à mes dépens. Pendant trois ans, j'ai vécu avec mes beaux-parents. Ils ne me traitaient pas comme leur gendre mais comme un esclave. J'ai tout supporté à cause de ma femme, Yolanda Lambert. Elle était la lumière de ma vie. Malheureusement, mon monde s'est effondré le jour où je l'ai surprise en train de me tromper. Je n'ai jamais été aussi brisé. Pour me venger, j'ai révélé ma véritable identité. Je n'étais autre que Liam Hoffman - l'héritier d'une famille avec des trillions de dollars d'actifs ! Les Lambert ont été complètement choqués après la grande révélation. Ils se sont rendu compte qu'ils avaient été des imbéciles en me traitant comme un déchet. Ma femme s'est même agenouillée et m'a supplié de lui pardonner. Que pensez-vous que j'ai fait ? L'ai-je reprise ou l'ai-je fait souffrir ? Découvrez-le dans le livre !
Elle pensait signer un simple contrat de mariage pour satisfaire une condition administrative. Lui, héritier d'un empire tentaculaire, avait déclaré être marié pour faire échouer un mariage arrangé par sa famille. Aucun des deux ne savait qu'un acte officiel les liait vraiment. Lorsqu'elle reçoit un certificat de mariage certifié par l'État, elle croit à une erreur administrative. Mais lorsque l'homme, figure insaisissable du pouvoir économique national, apparaît en personne à la réception de fiançailles de sa sœur... et que le nom sur le certificat est le sien, elle comprend que cette union cache bien plus qu'une simple coïncidence. Le mariage, apparemment fictif, devient le centre d'un affrontement silencieux entre deux familles puissantes. La sienne, modeste mais avide d'ascension sociale, veut cacher le scandale. La sienne à lui, impitoyable, veut la faire disparaître. ❝ Pourquoi cette alliance illégitime a-t-elle été rendue officielle ? Pourquoi aucun des deux ne se souvient avoir consenti à cette union ? Et pourquoi tout le monde autour d'eux semble avoir quelque chose à y gagner... ou à y perdre ? ❞ Sous la façade d'un mariage de papier se dissimule un jeu de pouvoir où le titre d'épouse devient une arme, et le statut social une condamnation ou une protection. Plus elle cherche à annuler ce mariage, plus elle comprend que divorcer serait une erreur fatale.
Avertissement : Cette histoire contient des thèmes matures et du contenu explicite destiné à un public adulte (18+). La discrétion du lecteur est conseillée. Ce roman contient des éléments tels que des dynamiques BDSM, des contenus sexuels explicites, des relations familiales toxiques, des scènes de violence occasionnelles et un langage cru. Ce n'est pas une romance douce. C'est intense, brut et désordonné, et explore le côté sombre du désir. ***** « Enlève ta robe, Meadow. » « Pourquoi ? » « Parce que ton ex regarde », a-t-il dit en se calant dans son siège. « Et je veux qu'il voie ce qu'il a perdu. » ***** Meadow Russell était censée se marier avec l'amour de sa vie à Vegas. Mais elle a surpris sa sœur jumelle en train de coucher avec son fiancé. Elle noyait son chagrin dans l'alcool au bar. Une erreur en état d'ivresse est devenue réalité. Et l'offre d'un inconnu s'est transformée en un contrat qu'elle a signé avec des mains tremblantes et une bague en diamant. Alaric Ashford est un diable en costume sur mesure. PDG milliardaire, brutal, possessif. Un homme né dans un empire de sang et d'acier. Il souffre également d'une condition neurologique : il est insensible au toucher. Ni les objets, ni la douleur, ni même le toucher humain. Jusqu'à ce que Meadow le touche, et il ressent tout. Et maintenant, il la possède. Sur le papier et dans son lit. Elle veut qu'il la détruise. Prendre ce que personne d'autre n'a pu avoir. Il veut le contrôle, l'obéissance... la vengeance. Mais ce qui commence comme un marché se transforme lentement en quelque chose que Meadow n'avait jamais vu venir. Obsessions, passions dévorantes, secrets qui n'auraient jamais dû refaire surface, et une douleur du passé qui menace de tout briser. Alaric ne partage pas ce qui lui appartient. Ni son entreprise. Ni sa femme. Et encore moins sa vengeance.
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