tra.

n pleine crise d’adolescence ? Sérieusement j’ai dix-huit ans, on ne peut pas vraiment parler d’une crise d’adolescence, sauf si elle est tardive. Je pousse un soupir et je me gare dans le parking du lycée, pour la première fois de ma vie, je suis en retard. Ça ne m’est jamais arrivé, vous co

Ça

ais aussi les effluves de son parfum, un mélange de forêt et de terre que je trouve va

amasser le crayon qui a glissé jusqu’à ses pieds

e s

se pas, qu’est-ce

J

visage de ma mère partout où j’allais et qu’elle me

vu une

cheveux et son regard fixe un instant mon bras. Je suis son regard et je me rend compte qu’il regarde le bracele

ci. Il secoue la tête et veut s’en a

su que c’était m

e vers moi et

mains entrelacées et lève un sourcil interrogateur, je lâche sa

Mais je suis tirée en arrière par Caleb, je me

sse, ou vas-t

onse est déjà bien loin. Je pousse un soup

portance, il est parti. J

pas, je suis belle

uis qu

uits, à faire des cauchemars plu

is désolé

nquiète et to

r où tu vas enfin acce

nt beaucoup. Nous sommes heureusement interrompus par la cloche et le professeur qui nous demande de nous dépêcher. Nous courrons

s’est passé ? Me

uvaise

monde est là nous pouvons enfin commencer. Aujourd’hui nous allon

emoiselle

t-elle la capit

, c’est

ire sur le massacre d

-elle suscitant le rire général de la classe. Je peux vous dire que ça été quelque chose d’assez cruel, ju

nt-elles été

lées vives, femmes en

vraiment horrible de penser que des personnes aie

de conclut mon professeur en se tournant vers le tableau. Une légende ou pas, je n’arrête pas de rêver de cette satanée fontaine, qui est censée rendre aux sorciers leurs pouvoirs, mais

père enfin mon jus et lorsque je me tourne, Nancy renversé tout son plateau repas sur moi. Mon t-Shirt est recouvert d’une pâte gélatineuse verte et de la purée de pommes de t

ée dit-elle sans même parve

plateau repas d’une de ses marionnettes et de le lui renverser sur son t-shirt et en prime, je lui arrose mon mon jus de fruit sur la tête

us faire. De l’autre côté de la salle, j’e

a et moi l’avions acheté ensemble lors d’un voyage et cette grosse conne vient de me le détruire. Je souris encore quand je pense à ce qui vient de se passer là, j’arrive vraiment pas à croire que ce soit moi qui ai réagi de la sor

e sur elle, elle me regarde av

me le payer

des toilettes. Elle me regarde comme si elle avait toutes les peines du m

doute de taille à

s les autres et tu essayes de les piétiner à chaque fois que tu veux mais sache qu’avec moi, c’est fini. Je termine de nettoyer mon t-shirt du mieux que je peux et je sors sous le regard ébahi de Nancy. Je rejoins mes a

e en allant embrasser m

cesse. Comm

toi par contre tu

omprendras quand tu

est t

t allée à l

r prendre une douche. - J

ci mon

acer pour aller dans d’autres pays, et son travail lui cause beaucoup de stress. Ma mère quand à elle dirige une boutique d’antiquités, elle vend des objets très anciens et rares, elle a deux employés qui travaillent pour elle et ne se rend à la boutique que quand c’est vraiment nécessaire. Mais la

à faire. Je monte la tasse de thé de mon père, je l

le te tuerait dis-je en lu

son que je compte sur toi pour ne rie

avoir dans ma vie. J’aurais pu tomber sur des parents abusifs, qui m’auraient maltraités et n’en aurai

ère en m’ouvrant les bras. Je monte sur le l

uoi pen

la chance que j’ai de v

avec ce tout petit bébé dans les bras et qu’elle nous a dit qu’elle nou

ne peut t’elle pa

Et moi je n’ai jamais envisagé une seule seconde d’avoir un enfant qui ne sera

de ma mère s’

er qu’on la connaissait vraiment. Elle était très secrète, et semblait tout le temps se protéger de quelque chose ou de quelqu’un. E

rtée, elle se souciait de tout, même des animaux, nous l’aimions malgré le fait que nous sav

vent de sorcière ? Il s

s trucs comme des miroirs brisés ou encore ouvrir les parapluies à l

e câlins sans moi ? Demande ma m

quelque chose de la sorte dit mon

ottir dans les bras de mon père et nous reston

ore tous les d

de de m’extirper de t

par mourir d’amo

fille sans cœu

ant la fenêtre, là lu e est belle, magnifique, elle a quelque chose d’hypnotique, quelque chose de magique. Un corbeau vient se poser sur les rambardes de ma fenê

e et

n arrê

e cervelle et du sang sorte de sa tête, il se frappe une dernière fois et tombe ra

Du doigt, je lui montre l’animal qui

ère en venant me pr

ccupes ? Que s’est

e de la fenêtre. J’ai bien essayé de le chasser mais i

seau mort et nettoya le sang. Je restait pétrifiée assise contre ma mère. Une fois finit, mon pè

esoin tu nous ap

her, des choses de plus en plus bizarres se produise