els de l’affaire, j’effectue les visites chez des clients, j
ersonne, parce que généralement, lorsque je les quitte, ils
tances supérieures concernant les extra-lucides… À sav
ète de mes proches, mes grands-mère
e moi pour m’apporter bien-être et réconfort, mais je n’ai jamais réellement su communi
petit garçon, mais je ne lui suis pas d’une g
oure cette affaire, et j’ai la sensation que qu
de douceur, de paix, et être nourrie de ces sentiments étranges d’angoisse et de tension n’
ent d’avoir le cœur bien accroché. Moi, je su
cture de cet après-midi m’a lessivée, mais je ne suis pas seu
ère et font connaissance avec moi. Parfois, ils sont prudents dans leu
tude et un sentiment croissant d’angoisse qui me
et le lien qui m’unit à lui est plus puissant
et je sens qu’i
clefs de ma voiture, j’enfile mon ciré et je descends en trombe l
ant vers son meilleur ami que je reconn
ue tu fais ici ?! D
st Amb
n’ai qu’une idée fixe en tête, suivre ce sentiment i
un petit quart d’heure… Dit-il en cons
ider ! M’écrié-je en ressortant
e tous mes sens sur lui, je sens que je suis guidée par cet esprit qui m’a accompagné tout l’après-midi, d
tinguant alors un corps couché
nconscient, il respire, mais il saigne. Mon cœur bat si v
rié-je alors, Ambr
il finit par ouvrir les y
a v
se passe ? Demande
n sai
nt par accourir
l’hôpital ! Aidez-moi
ète de son état, il saigne abondamment au-dessus
bre, je suis là
ucune gentillesse avec nos amis, j’aurai tout le temps de voir ça plus tard, et dès qu’ils l’o
is en charge par les médecins, et après une énorme surcharge d’adrénaline, je m
ntensité, que j’en suis drainée de mon énergie, les deux esprits ne m’ont pa
ds-je alors une voix familière tandis que je somnole sur mon fa
ntré à la réunion quelques jours plus tôt. Il porte une tenue intégrale de médecin traditionnelle y compris la blouse blanche et d
il fouillait sa mémoire pour se souvenir où il m’av
alors que je n’avais jamais croisé ton omb
amé
u im
n’a pas une once d’estime ou de respect pour moi et c’est plutôt clair à l’absence des conv
frèr
d’étouffer… J’ai du mal à respirer… Je suis en tra
? M’interroge-t-il en
eu… Un accid
un œil… J’ai un corp
D’accor
faire face et je me contente de rester ass
t un corps avec lui, qu’il colle contre le mur du couloir sans cérémonie
te, les examens sont satisfaisants, ils ont recousu son arcade sourcili
e que je pour
ais rentr
. Je dois vraime
un moment, ils vont le garder pour la nui
e une dimension sévère et intimidante, sans compter son regard marron clair part
eu mon lot d’expérie
mes ? Ricane-t-il, ah là là… Putain… Pour
t par disparaître avec le co
t mon champ de vision, je suis à nouvea
les finissent par arriver alor
oupiré-je en prenant la main d’Amb
m, on m’a volé mon f
ux dire… Tu n’es pas le genre de mec
sus à trois, et franchem
ce, soupiré-je en soulevan
er un air de ba
déposer
a demain matin… Tu devr
ne préfères pas
tu te retrouves dans un hôpital sœur
, d’a
, Ambrose a raison, je rentre à la maison légèremen
j’assure quelques rendez-vous, mais encore une fois mon agenda est curieusement
vait fait enregistrer une plainte auprès du commissariat et moi, je
s autres, sans jamais pouvoir nous aider nous ! Tempêté-
ut le monde, tu l’as presque su ava
gression ! Ce n’est pas rien ! Tu
is, o
vie comme si rien n’était arrivé, et ça m’inquiète. Je connais mon frère par c
à faire de même, puis finalement, avec les semaines qui défile