l avait quitté la table dans la journée, elle fit une petite prière avant de se coucher, elle essayait de trouver le sommeil mais

venu dans ma maison

out répondit Kuza

attends impatiemm

s Samar, je n’arrivais to

nfaite je voudrais te dire une chose, je me suis marié avec toi uniquement pour avoir une promotion au travail r

e pouvait être vrai, il était d’humeur massacrante, depuis ce matin c’est peut-être c

’attendait dans le salon chaque soir afin de se rassurer qu’il avait mangé, au fur et à mesure elle avait cessé de le faire car quand il revenait et la trouvait, il ne la saluait et ne mangeait pas non plus ses repas, il lui criait même des fois dessus. Il ne s’était jamais assis avec Kuza afin de lui parler ou prendre de ses nouvelles, quand elle tombait malade c’était Raham qui prenait soin d’elle et lui achetait ses médicaments, ou mère Anita. Elle avait très vite commencé à prendre au sérieux les paroles de ce dernier qui lui disait qu’il ne la prendrait jamais comme sa femme. Mère Anita n’était pas au courant des agissements de son fils car elle al

n train de préparer le repas du soir, lorsque mère An

Samar et toi, est-ce que vous avez décidé d’atte

s se mit dans une grande réflexion, cela faisait un an mais Samar ne s’était jama

ndre un peu répondit simplement Kuza en m

ir des enfants quand on est encore jeune ai

’en parlerai à Samar dit

y’a peu de temps avait tout attendu,

ait souvent, il ouvrit la marmite il y trouva un peu de nourriture mais cette dernière était déjà froide, il se mit dans une grande colère et monta les escaliers en enlevant sa ceinture a

e fais-tu deman

et répondre à mes attentes, pourquoi t’ai-tu permises de me laisser affamé et de venir dormir, tu ne m

s servi parce que tu rentres toujours tard e

e pour me réchauffer mon diner afin que je puisse manger quand c’est chaud, tu le faisais avant, m

rien de rester t’attendre plus que tu n

on qui te prouveras qu’il ne faut pas penser, il faut juste faire des

mpris ce que tu as dit, je ne le

t allongée par terre en pleure, elle avait des traces de ceinture sur ses bras et même sur son visage, en voyant cette scène Raham eu un gout amer dans sa bouche, il ne s’attendait pas à ce que son frère frappe ainsi Kuza, même s’il ne l’aimait pas et ne la considérait pas cela ne servait à rien qu’il lui fasse du mal ainsi. Raham avait soulevé Kuza et la

ire dit Raham à sa mère, to

trui, regarde dans quel état elle est à cause de l’enfant que j’ai mise au monde, son père était ravi de la faire marier d

ais va te coucher je te pr

n fils finit-

isait atrocement mal, Raham était toujours là à son chevet mais à un moment il s’était endormi, la porte de la chambre s’ouvrit et laissa appar

s-tu ici demanda

a femme que tu as violemment fr

u parles Raham, moi fr

passé et là je voudrais te demander, p

ir fait ce dont tu m’accuse R