au contact de la main de Nill sur sa peau, el

-tu dormis ic

je ne m’en suis pas r

e tu peux me faire un café s’

de suite dit-elle

désolé pour hier soir je n’aurai jamais

nt elle se demanda pourquoi est

à te pardonner, je reconnais que je ne suis pas une bonne femme et je m’en excuse vraiment Ni

t de rapprocher sa tête de la sienne et de l’embra

eux y aller dit-i

lle était heureuse du faite qu’il ne lui en voulait plus, elle termina de faire ce qu

il en s’asse

dit-elle en le

té, je voudrais dire est ce que

mais la scolarité doit être c

problème Aida dit-

eaucoup d’argent tu sais Nill

egarda en

n c’est mon devoir de prendre soin de to

e touche vraiment j

né Aida débarrassa la table avant de revenir s’asseoir avec lui

une sauce avec du poulet, j’en veux vra

cas je le ferai Nill répondit Aida en

n aller maintenant

tour avant de se

rotection du très haut dit-elle en disant un

ci ma

lle, Aida lui fit signe de se baisser un peu par la suite elle déposa un baisé furtif sur les lèvres de ce dernier tout en

nça Nill à sa femme encore tout

ée put simple

aurait jamais imaginé se retrouver ici. Elle alla s’asseoir sur un fauteuil au niveau du balcon tout en continuant de regarder le paysage, c’est la sonn

répondit joy

ontre toi répondi

n bébé répondit-el

tu es parti avec ton mari tu ne penses plus à moi que d

e je t’appellerais bientôt c’est juste qu’il m’a manqu

oeur et soeur en même temps je t’aurai fait la tê

éritable amour rép

c mon frère ça se p

me suis toujours pas habitué à sa présence j

qui se passe entre vous dans la chambre tu n’es toujours pas habitué

n, Monica s’arrêta de rire avant de comprend

Nonnnnnnnnn Aida m

je encor

ir mon pauvre frère je suis sure qu’il est déjà à bout, vraiment

ères répo

e pas moi à la place de mon f

de ça avec toi dit Aid

pourquoi ne

ton frère ce

e déplacé Aida, je suis resté correcte mais pe

Aida j’essaye

s me le promettre p

le promets dit

à une de mes amies, prend soin de toi et de mon frèr

endu merci de te préoccu

dit Monica avan

e demandait au fond d’elle-même comment est-ce que s

uiv