l S

ère et ensuite j’étais retourné aux usa enfin de terminer mes projets, ce n’est que cette année que j’avais pu tout terminé, j’étais donc revenu, mais depuis mon retour Aida et moi nous n’avons pas eu l’occasion de rester véritablement seul, ce que je voulais c’est de l’habituer à moi, l’habituer au faite que je ne sois plus comme

t tu pens

: A

me, mais j’espère que tu sais qu’el

e maman ne nous permettra jamais de rester dans

que vous fassiez un pe

et les gens qui vivent tous en famille et reste toujours chez leur parent mê

comme ç

de temps avec Aida, si nous restons toujours l’un de l’au

xplique tout

ui je

e laisser, j’ai un ren

ui d’a

au

au

ider d’aller voir ma mère. Je toquais à sa po

, je croyais que tu

an, je ne suis p

n de discuter tous les deux. Alors quand compte tu rentrer es

non, nous repartirons d

is pour qui es

ur maman, tu le sais ma

te dis qu’une fois arrivé là-bas elle ne te trahira pas tu ne connais pas les filles com

comme ça, elle a grandi avec toi, avec

le

tirons, je l'emmènerai avec moi, enfin que l’on pu

’es pas sé

si je su

accord c

de dire à Aida ce qu’elle devrait faire en ce qui me concern

: d’

aman de ta c

t’en prie

te de la chambre d’Aida, elle sortit quand elle me vit elle

soin de quelque chos

besoin que n

le

balcon comme je ne peux

’acco..

é sa phrase que ma mère appa

in de lui dire q

a tu me rejoins su

: ou

Ai

e veux-tu me dire

voyage tout l’heure, je veux que tu

mais p

juste ce qu

d’a

aintena

refuser le supposer voyage, pourquoi est-ce qu’el

je su

amille. A la mort de mon père ce statut de supposé frère à changer, on est passé de ça à mari et femme, aujourd’hui on a ce statut bien qu’on n’ait pas encore consommé ce ma

pourquoi ne pas me laisser ici, avec maman et les autres,

voudra

je voudrai

je ne pourrais pas Aida, tu es ma femme e

sais,

, si tu restes ici jamais tu ne me verra comme un homme, tu me ver

’accor

le balcon à d

tu as fait quelle fi

es études de programmation puis je me

comme

vue que la scolarité était très coûteuse donc

rien que pour ça, tu aurais dû me le dire Aida je suis ton mari et ça depuis deux ans

tellement fait pour moi, je ne pourrais jamais rembourser tout ce

ormer en automate qui dira oui à tout juste parce que tu es reconnaissante, Aida

e donc tu ne peux donc pas savoir, je ne peux désobéir à maman ni mê

ussi j’y s

oui b

e ce que je te dis, car après tout je suis

ill, avec le te

timidité maladive et m

e m’en déb

i j’esp

st temps de fair

je dois

ui vas

: m

sant là et je rejoins

suis là, je

fait ce que je t

ll a insisté et je n’ai

tte fille inutile, il fal

suis dés

maintenant j’ai très fai

is pu faire Nill a dit que peu importe je viendrais quand même avec lui, dois-je

e me concentrais sur le pl

heure tren

r les ramener à table, mais mes pieds se sont croisés dans le tapis puis j'ai trébuché avec tout le lot des plats. Tous les plats se s

st-ce que tu as

fait exprès j’ai trébuché et

acile d'être désolé, est ce que tu sai

t ce qui se passe

t mes couverts, écoute moi bien si tu veux casser d

pourquoi est-ce que

sait-elle a combien est ce qu’on a

accident ne soit pas s

défend là idiot dit-e

core plus ma tête enfin de ne pas renc

age avec ses mains plongea son regard da

lument rien, tu ne dois pas te sentir coupable, tu n

ait pas mon intention de tout détruir

......Monica..

d’après

Aida que s’

s’il te plait que tu ramasses les débris et que tu mettes l

oui bien sûr

e vous inquiétez pas,

u ce que j’ai dit

e t’en fais pas Aida

ntenant o

ue Nill ne me mette debout enfin

s, et on arriva devant

viens

a dit qu’elle ne voulait

ctes ma mère

oui

me respecter aussi

: N

: A

eux pas plus

veux pas rentrer, alors je ne t’

ce que

on pas

lors e

cord dis-

de Nill, et il referma la

e tu fermes à clé ? Et

nant je peux être avec toi pour un moment,

: N

pé, je vais panser tes blessure

de

ce que

d...........

t’en p

le regardais toujours pas dans les yeux par peur de son re

eaucoup trop

e suis

que tu t’excuses ma belle, tu n’as rien fait de mal

angerais a

je t’aiderais

accord dis-

é sur le front qu

ens all

s pas que cela

e pas qu’il y’ait quel

: N

en de mal Aida, je veux j

i:

, Nill fit le tour du lit e

n’y avait rien d

i:

regarde-moi da

s yeux dans les yeux avant de

autant timide ma Aida, et tu es

merci

ge tant que ça que

ns pas le même sang mais c’est vrai que je te considérais

Aida tu es passé de ma soeur qui n’e

uais c

ire, avec le temps je ne sais pas si tu pourras me considérer un jour comme

à fait Nill, je le s

ors trè

i:

ssi, ça sera dure pour nous alors

voudrais tu q

même des choses bê

en de raconter du n’

ux ce serait bien

oui d

t on va faire un tru

mais

ras faire ce qu

: N

vrais compter, ton représentant

d’a

ivre