ait envoyé un message par WhatsApp dans lequel il me demandait de passer le voir à la ma

ué la présence de ses parents. J'avais fait mon entrée dans sa chambre et il était en train de tra

ous avons commencé par nous embrasser. Sans plus attendre

ent devenir sérieuses, nous étions dans l'obligation de faire notre entrée dans la chambre à coucher. J'étais à moitié nue, ainsi qu’Éric qui m'avait p

à caresser mes seins, il commença par m'enlever la jupe que j'avais porté

aisir au goût mielleux. J'avais mis ma main dans le short d’Éric et attrapé sa bite que je commençais par caresser. Avec tout ce que Gloria m'avait dit, j'avais décidé

out son corps, dans ses oreilles, sans oublier ses lèvres que j'emprisonnais après chaque caresse. Il caressait mes fesses et glissait sa main dans mon sl

'avais bien salivé sa bite, l’avais enfin mise entre mes seins et continuais toujours avec les va-et-vient. Éric passait sa main dans

ommença par garder

ne, n'arrête pas, fais-moi voyager, ma reine. Je t'aime, tu es mon unique, je

re aussi voyager. Il me tourna sur le dos et commença pas sucer mes seins. Je ne f

de plaisir. Éric écarta bien mes jambes et, tout doucement, plongea sa langue dans ma chatte

r ce que je disais. Éric avait pris le temps de bien me lécher, pendant

r, c'était devenu plus fort que moi et la seule chose dont j'avais besoin était de le sentir en moi. Et là,

e sur le dos, toute mouillée, en attendant qu'il vînt me mettre ma chose à l'intérieur ; et il était revenu vers moi. Une fois monté sur

un peu de douleur, sauf que ce n'était pas trop comme la première fois. Il faisait des va-et-vient et je prenais

ui ne va pas ? Je te fais mal, c'est

tout pas, vas-y, chéri, je te sens,

ne veux pas que tu

ord, mo

ythme et sans mentir, je n'arrivais plus à me contrôler. Il se pencha sur moi et commença par sucer

car il avait augmenté le rythme des mouvements de reins et c'était plus fort, plus doux. Je n'arrêtais pas de lui dire de bien me sec

ivre

PLUM

INSP