its que faisaient sa porte et les fenêtres de sa chambre, il ne

je pense qu'i

plu

nt qui souffle ? Va fermer les fenê

OK

au salon. Je voulais allumer la télé quand Éric me demanda de venir le voir dans la chambre à coucher. Je me suis rapidement dit qu'il avait toujours dans la tête cette envie de me faire l'amour et comme moi aussi j'étais prête

jà je me voyais dans ce que j'imaginais. Éric s'approcha de moi,

Moi aussi je le caressais, je ne savais même pas ce qui m'avait prise et j'avais commencé par toucher sa partie intime. Ma main glissait sur sa bite et lui aussi n'a

faire sortir un de mes seins du soutien-gorge sans

ment, je n'arrivais plus à me contrôler, la seule chose que je faisais

e short qu'il avait porté. Ma main était enfin en contact de

sa bite. Tout doucement, Éric m’enleva totalement l'habit que j'avais porté ainsi que mon soutien. Il ne restait désormais que ma jupe et mon slip. Nous étions là à nous caresser, je ne savais

t redressé et m'avait bien positionnée dans le lit. Je tremblais de peur malgré le plaisir

crainte ; je ne vais

ance en toi. ». Parce que j'avais pris goût et je ne voulais même pas qu'il

ns un monde dont j'ignorais l’existence, il me faisait découvrir un plaisir que je n'avais jamais ressenti auparavant. J'étais toujours couchée sur le dos et caressais

tte. Pendant qu'il faisait toutes ces choses, je me contentais d'apprécier le moment, un moment tellement délicieux qui me plongeait dans un monde où tout est calme, un monde dans lequel la douleur n'existe pas e

t là, je sentis une douleur. Je voulus me lever mais il me fit allonger dans le lit en me disant : « Mon amour, désolé, je ferai avec douceur ; ne t'inqui

a seule chose que je voulais, c’était de franchir toutes les étapes. Ce qui me donnait encore con

comment gérer ces douleurs que je ressentais. En introduisant son doigt dans ma chatte, il avait raba

ce plaisir, ce goût de plaisir qui m'envahissait. Je répondais à son baiser avec des caresses, en le serrant très

uiv

PLUME-

INSPI