eu

xiger cela ? Le bien-être de Noah passait avant tout, mais le sacrifice que

No

j’ai l’impression qu’il me volait l’a

rai lui et sa mère dans un appartement décent. Ils ser

Mai

je voulais, et en même temps être forcée à reprend

i je re

lus rien à faire ensemble, à part

du cha

eilleure façon pour chacun d’entre

es incr

ient en moi. Ce que Stephane mettait dans la balance était inespéré : Noah serait guéri et Anne aurait un foyer po

mains, Fleur . Je reviendr

moi. J’avais laissé une lettre pour avertir Anne que je devais m’absenter quelque temps. Je n’

où je sortais dans la rue, une grande berline noire aux vitres teintées s’arrête devant mon immeuble. La voiture de Stephane , sans aucun doute. Soudain, mon dépar

uffeur m’ai aidé à me débarrassée de mon sac de voyage, il ouvre la portière arrière pour m’inviter à monter. Nous arrivons à destination.Un petit hoquet de surprise m’ échappe quand je vois que Stephane m’attend . Je pensais en effet qu’il se cont

par sa présence charismatique, et maîtriser les r

orcer. Après ce que tu m’as dit lors de notre nu

uation a

de son eau de toilette, je sens les battements de mon cœur s’accélérer. Pourquoi un simple rega

u fils de ton amie d’avoir accès à son traitement ?Sans compter q

oyée chez moi, ils étaient si horrifiés et

enu ce qu’il attendait de notre mariage. Grâce à ce

il avait décroché son télé

ngeant le téléphone dans sa poche. Nous dev

sais que nous rentri

leterre où j’ai quelques affai

insi, il n’était pas venu à Paris exprès pour moi . En définitive

is pu me p

rre ? Et tu en aurais profité pour disparaître de nouveau ? Qui sait, tu aurais trouvé un nouveau bo

é que je travaille

ouvais un besoin irrépressible de voir vac

venait à se savoir, et que tes frasques menaçai

hes-tu exactement, à part détruire ma vie une nouvelle

e que nous étions arrivés à l’aéroport, et la vue de l’avion me ramene brutalement à la réalité. Un froid glacial m’envahit quand je réalise que je m’apprêtais bel et bien à rentrer avec Stephane , l’homme qui m’