se du jeune homme. Brody était un très beau garçon et l’adolescente se sentait bien à ses côtés. Pourtant, Sammie était toujours intriguée par la façon dont Brody lui faisait l’amour. Ce dern

rmal. Brody étant aussi nu qu’un ver s’approcha de

rompes. Je

ère. Pourtant il vivait toujours chez elle avec sa petite sœur, du nom de Kemarilyn. Le frère et sa sœur ne voyait leur père que le week-end. Après le divorce, ce dernier avait décidé de quitter la ville et s’installer vers la ville voisine. Les parents ayant de nombreuses disputes de plus en plus violentes avaient décidé de mettre un terme à leur relation. Leamsi rentra donc chez lui. La maison du jeune homme était des plus banales. Il y avait un petit haul dont à gauche se trouvait un séjour très chaleureux. À droite se trouvait la cuisine ainsi que la salle à manger couverte de murs clairs. Au fond se trouvait un escalie

nir les rejoindre. Cette dernière était une très belle afro-américaine de trente-cinq ans. Elle étai

qui ce

a mère de ce derni

l homme, j’aurais dû me présenter. Je

hérie. Ne me dis pas que c

s bien re

ot de plus, coupa

e d’autre. Après avoir fini de se doucher, Leamsi alla saluer sa petite sœur dans sa chambre. Cette dernière était une jolie petite fille de douze ans. Elle était fan de son grand frère et l’aimait plus que tout. Leamsi fit un câlin à sa petite sœur puis se dirigea vers sa chambre. Il s’y enferma et se jeta sur son ordinateur. Sur le moteur de recherche, le jeu

peine pour son père. Un bruit venant de-là fit sursauter le jeune homme. Leamsi vit Zoël tout

alader ? Dit Leamsi, et commen

ne gouttière. Tu peux m’appeler Spiderman. La dernière fois, je t’

la situation à son invité. Il fondit ensuite en larme. Le fait de voir sa mère refaire sa vie avec un autre homme était inimaginable pour Leamsi. Zoël prit le jeune homme dans les bras et s’allongèrent sur le lit. Leamsi était blotti dans les bras du beau Zoël. De l’autre côté de la ville, Iris était assise sur son lit. La jeune blonde contemplait ses boîtes de Stilnox. Elle ouvrit une boîte et déposa deux gélules dans la pomme de sa main. Ir

reil, dit la voix au téléphone. C’est

pondit l’adolescente

ques questions à vous pose

sujet ? De

t d’Alber

ononça aucun mot pendant u

puis-je v

us étiez le soir de sa mor

mie, répondit l’adol

lbert Otto. Les deux jeunes femmes s’étaient promis de ne rien dire et d’enfouir ce secret

n amie Betty. Elle éta

e des cours particuliers chez

ut madame, r

coup de fil. Bizarrement, le numéro en question est le vôt

r faire un cours chez lui. Cependant

savoir, fit l’inspectrice. Je vous souhai

rtait que stress et angoisse. L’adolescente avala ses deux gélules de Stilnox en espéra