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22 ao
dy, petit village des Basses-
e Républicain, attend au pied de l’autel cell
Seule, au fond de l’église, une jeune fille se morfond. Elle l’aurait bien épousé, elle
des têtes et chavirer des cœurs. Il est si
s, avec toute leur tendresse, elles lui souhai
che, à coupe droite, ornée de dentelle. Un long voile de tulle tenu par les enfants d’ho
out pas les regards pointés sur elle.
trop belle et distinguée pour lui. Il ferme alors les yeux, les ouvre de nouveau, elle
ant Dieu et les hommes de l’aimer et la chérir tou
es se regardent et se sourient. Le père de Marie sait que François sera un bon époux. Il le lit dans ce regard franc et honnête
sa communion, François s’apprête à prononcer c
et le curé comm
stion fa
, pour épouse, l’aimer et la chérir dans la richess
suspendue à ses lèvres, puis plonge au plus profond des yeux de Marie en ré
d’émotion, Marie à son tour fait la même r
d’Arudy n’a vu p
ise se fait dans la joie et le soleil d’août brille de
ousine et lui murmure tou
quel avenir avec eux ? De plus, tu connais leur
artent d’un éclat
émoin. Je te souhaite le