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Historique

Chapitre 5 Arthur - Première nuit

Nombre de mots : 1741    |    Mis à jour : 11/05/2022

vâmes un soir de

cts, nous étions v

s à 20h dans le q

lev

départ de Joanna

des amis. Son a

sci

ucune honte, auc

incre que ma rela

ffaire d’une nuit

ncore récent de

engagement réel n

etit écart san

avait très peu de

ent un jour et, qu

apaiser ma cons

mecs bien pires qu

, alors qu’ils av

onséquent fait

lations extra-con

aisais qu’une lég

ables, je n’éta

en retard et je me

iblement ne se rap

rrivée, elle s’int

sur le canapé

ue. Ma confiance

maintins

ger la conversat

s’accrocha à son

evant des SMS à

it et que j’étais

i-ci résonnait à n

changes sans s’exc

ence. Pour elle,

t malpolie et si m

’aurais planté l

ais pas certain, m

rénité à

verres, et ce qu

x finit par arriv

ment l’atmosphère

t je les laissai p

e dire quelque ch

cher de remarque

descendait ses co

je peinais à sui

dérida un peu et m

ion. Elle essaya

me faire un pe

se joignit à no

atre dans un rest

de l’alcool, l

me sentais bien e

re. Elle me tint

staurant, m’impos

oigna d’Alex et

ma maigre victoi

s et capitulai

elle m’ignorait

ouvait normal que

main et à flirter

s pas rigueur. J

elle me vit, rema

Guenièvre propos

elle avait ses

é avait complète

seul avec elle et

ns le bar. Après

, Guenièvre nous

la piste de dan

c sensualité. Elle

omme des chiens,

es plus tard,

oignit et l’entra

lla à elle, telle u

a faire. Brusqueme

Pourquoi se lais

elle pas, qu’elle

a

m’installai sur

long du compto

e mec, alors qu

artie de la soirée

n restaurant. Com

vite, du c

nutes s’écoulaie

tacher d’elle, je

rrer mon cœur. J’

violence des s

et, cette fille n’

ma relation était

t je ne pouvais la

cœur en morceaux

d’un

re de torture, el

a piste avec elle.

de déesse avec ar

us, pour que je lu

se de m’avoir a

e. Ses lèvres é

iennes. Je voulai

la garde

ier pas. Douceme

es, qui effleurère

la langue, elle l

catement, avec t

si douces, si sen

i notre baiser et

tentement. La dé

ma passion. Je n

elle, ne vit qu’au

dans sa tignasse

contre moi et l’e

mes

ollés l’un à l’

vers deux heure

à en perdre le

nous excitions et

Mes mains étaie

ortement était ob

. J’étais comme e

ion pou

issèrent sous s

seins nus. Après

dans son pantalon

eté. Je n’avais

rd des autres. D

omporté ainsi, j

ourtant avec elle,

é à franchir toutes

adieu les règles

i nous consumait

étions chair cont

je lui fis l’amo

ènes, nous étion

limite, no

ttâmes le bar, j

’aurais pu la pren

ue de tous. J’étais

s sous extase. L’a

t se mélangea en

qui m’entourait sa

a nuit. La lumiè

t, causerai

un taxi, pressé d

Je savais d’ins

ue je ne serais pa

séduire, je voulai

le rendrait coup

ait pas

ses doigts se p

aresser mon sex

nt dans mon cou.

er de la présenc

e me désinhiba. J

, qui remplirent b

du taxi, cont

e me demandai à

ontraint d’assiste

uis qu’il embras

t, pourtant, je

cette longue liste

savourais tel un b

J’étais

ssa de plus en pl

pour objectif, de

iture. Je dus fair

retarder l’inévita

la bataille lorsq

nt la porte d

les mains trembl

ffle, je jetai qu

endre le temps de

nt Guenièvre par le

du taxi et nous

iers qui mènent

dans ma chamb

lit. Brusquement,

e l’entendis écla

arrachai ses vêtem

up de rein. Pui

te, de plus en plus fort. Bientôt

ne riait plus,

le me tira les ch

ttit dans mes br

ai d’arrêter. E

tin

our comme d’aut

s dû me douter

aire, que nous

n’aurait pas la

l

lui attacher

ais je résistai à

a bru

asme, nous recom

toutes les posi

profitai à fon

u réa

, elle me demand

êter. Je ne pus m’

u’elle ne me s

i enfin ce marat

bien mérité, le j

ort contre moi, et

our la ga

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