img Mon beau-père a tué mon père  /  Chapitre 5 L’accusation | 16.67%
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Historique

Chapitre 5 L’accusation

Nombre de mots : 2392    |    Mis à jour : 04/05/2022

bouche sur ces mots. Oh m

ri

s sur la table avant mon arrivée. J’avais décidé de prendre place à côté de lui, mais il m’avait dit de m’asseoir sur la troisième chaise. Nous commencions à boire et quelques minutes après, Stan aussi était venu nous rejoindre. Il avait fourn

ue vous pouvez au moins m’e

re encore ? Le gars veut récupérer son

n’est pas toi-même qui avais dit que t

x heures de temps seulement, t

me demandais si Evans avait mis quelque chose dans la boisson de Stan ou comment ? Nous c

va

belle vie, car l’effet du poison était très fort. Prince et moi étions séparés et moi j’avais pris directement le chemin d

t les choses o

per b

as déjà envoy

tout avant d’arr

ant il faut me promettre qu

mille fois. Cro

is confiance. Je t’a

e ne t’a

t m’avait donné des baisers sur mon front. On dirait qu’elle m’avait j

di

je m’étais rendue chez ses frères qui étaient dans la même maison que nous. Après avoir leur informé que leur frère était mort, ils m’avaient dit quelque chose qui m’avait tellement étonné et je m’étais mise à penser. Ce qu’ils m’avaient dit, si je voulais prêter mon attention à cela, j’allais pleurer jusqu’à inonder

u’est-ce qu’il ne

estion ! Qu’est-ce que mon mari vous

pourtant tu m’accuses d’avoir tué ton mari ? S’il te plaît, je ne suis

ce sale garçon ave

rin

ectement, je lui avais demandé de venir chez moi. Moi j’étais prêt à faire tout pour gagner de l’argent, mais tuer les gens n’était pas mon genre. Vraiment, Evans était cruel, mais je ne le savais pas

-tu me dire ce que

est déjà arrivée chez toi

s-moi ce que tu as f

lui ai em

p d’attention, il était capable d’enlever ma vie en une seule minute. J’étais un peu

va pas ? Au lieu de te réjouir, m

u as fait cela à cet innocen

pas à croire. Prince, est-ce

s pas mon travail comme ça. Je peux prendre des énormes sommes chez les gens, mai

aintenant que t

nue chez moi, elle m’avait rendu le

le peut oser t’accuser ? Elle a de la ch

t-ce que tu all

, mais je sais ce qu

e femme aussi. On a déjà récupéré ce que nous voulions,

e promets que je ne va

s pour satisfaire les gens. Moi aussi j’étais très méchant, mais je ne pouvais jamais tuer une personne. Il était parti et moi directement, je m’étais rendu dan

di

er sur cette terre. Si c’était que je connaissais là où la mort habitait, j’allais me rendre chez elle afin qu’elle me tue également. Oui, moi aussi j’étais prête à suivre mon mari, car je ne savais pas ce que je pourrais faire encore sans sa

t, dégages sur

te maison, c’est en ce moment que tu vas commencer à sentir le

me marier. J’étais également prête à finir ma vie sans enfant. Quelques minutes après, j’étais arrivée à la maison et dès que la famille de Stan avait posé leurs sales yeux sur moi, ils me traitaient d’une sorcière. Vraiment, les femmes qui avaient été détestées par leur belle-famille, souffraient trop dans leur foyer. Ils m’insultaient et me disaient des bêtises insupportables, mais je ne pouvais rien faire. Le pire, ils m’avaient interdit d’aller voir le corps de mon mari. Vraiment, c’était une grande triste réalité. Comment on pouvait interdire à une

inc

ma grande surprise, cette pute n’était pas au salon aussi. J’avais fouillé partout dans ma maison, mais je n’avais pas vu aucune personne. Je m’étais dit qu’il n’y avait aucun problème, car moi j’avais fait déjà ce que je désire. La seule chose que moi, j’aimais à faire avec ces filles, c’était de coucher avec elles et puis on se séparait. Quelques minutes après, j’étais allé dans la chambre pour prendre mes quinze mille francs afin d’aller boire le thé quelque part, car j’avais gravement faim. Je n’arrivais pas à croire à ce que j’avais vu. À ma grande surprise, cette pute était partie avec mes quinze mille francs. J’avais envie de pleurer, mais un vrai homme ne pleurait pas… J’avais pris ma mallette pour prendre l’argent dedans, mais cette fois-ci, un vrai homme devait pleurer, car la fille avait vidé ma mallette aussi. Je pleurais ardemment jusqu’à ce que moi-même, je m’étais étonné. Depuis que je m’étais plongée dans la politique, je n’avais plus coulé mes larmes, mais ce jour, c’était plus fort qu

di

ort de mon mari. Comment une femme pouvait tuer son mari ? C’était possible qu’une femme puisse tuer son mari, mais ce n’étaient pas toutes les femmes qui pouvaient faire une telle chose très cruelle. Ce qui m’avait très énervé, c’était qu’ils me parlaient d’un féticheur. Oui, ils m’avaient dit que d’après leur consultation chez le féticheur, c’était moi Ad

tibles, j’étais quittée d

sui

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