ec moi. Je ne comprend rien. Sur cette voix je la reconnais enfin un visage c'était Fatao arrivé dans la cantine il commence à acheter à manger il murmure tout simplement Fatao: Mange le prochai

problème et si tu décide de revenir c'est pour la vie Fatim: Ah d'accord je vois tu m'as fait peur. Je vais revenir Hassan: À cause de tes études? Fatim: Non a cause de tout l'argent que j'ai caché dans mon armoire. Toute mes économies son rester chez toi à la maison. Hassan me regarde et se met a rire pendant des minutes il me dit en souriant~ tu aurais pu mentir un peu Fatima. Je le regarde et je ne comprend pas pourquoi je devrais mentir mon argent était dans l'armoire ~ Je n'aime pas mentir cela me dérange je n'arrive pas a dormi a un moment je finis par craqué Mon mari me regarde et me dit~ tu pourrais décider de rester chez tes parents après tout ce que tes co-épouse t'on faite. Je réplique~ Tu l'as dit mes co-épouses pas toi, et puis je peux les géré maintenant. Je les évites et tout va bien. On reste là discuter dans la voiture jusqu'au village il me dépose chez mes parents et continue sa route vers sa maison familiale. En voyant la voiture s'en aller ma mère realise enfin que c'était vraiment moi elle me serre dans ces bras très longtemps comme si elle avait peur que je m'envole. Mon père n'était pas la ma mère ne lui a pas parlé de ma venue elle voulait discuter avec moi seul à seul avant le retour de mon père. Je lui avais rapporté plein de choses pendant qu'elle ouvrait ces valises je lui parle de la maison, de mes co-épouses. Elle me donne plein de conseils. Je remarque qu'elle était entrain de préparer je me lève et je vais continuer ce qu'elle avait commencer. Pendant que ma mère contemplait le contenu de mes valises. Je veux lui alléger le tâche et j'avais ramène de quoi la soulager. Après avoir fini je lui sort un mixeur de ma valise bien on avait pas d'électricité dans la maison mais j'avais apporter 3 plaques solaire je lui montre comment sa fonctionne ma mère était heureuse plus heureuse encore quand je lui donne une partie de l'argent que j'avais économisé. Elle se met a pleurer Amina: Je n'ai jamais compte 1 millions de ma vie ton père non plus. Et quand je pense que c'est sur ton malheur j'ai honte. Fatim: Maman ne pleure pas, je vais bien je suis bien traiter. Amina: Pardon pardon Fatim pardon pardon pardon pardon Fatim: Arrête tu va me faire pleurer. C'est pas la fin du monde tu sais je ne suis pas là sage femme que j'aurai voulu devenir mais au moins toi et papa vous allez viellir tranquillement. Amina: Fatim si tu trouves une place un jour dans ton cœur pardonne moi je ne suis qu'une femme je ne peu pas parler. Fatim: Maman sans toi je n'aurais pas tenue 1 minutes dans cette maison avec ces femmes qui veulent ma peau. Amina: Tu n'as jamais été faible tu te souviens tu tapait les garçons de se village soumet toi mais n'ai pas peur de te défendre le seul à qui tu dois tout ton respect c'est ton mari. Il est l'objet de ta présence fait tout pour rester dans son cœur. Fatim: Oui Maman j'ai compris Amina: Si quelque chose ne va pas va le voir parle avec lui ne lui cache rien même si tu a un problème plus grave parle lui. Fatim: J'ai compris maman arrête de pleurer. Regarde ton téléphone que je t'ai acheté maintenant on peut parler dans la journée aussi. J'ai même mit 2 carte de recharge de 50 milles Amina: ton père va prendre se téléphone et me donner pour lui Fatim: Ne t'inquiètes pas j'ai acheter un pour lui aussi maman Amina: Merci mais tu jure que tu n'est pas fâché contre moi? Fatim: Jamais de la vie. Bien sûr que j'étais en colère un viellard se couchait tout les soir sur moi et me faisait des choses que je n'aimais pas mais je connais ma pauvre mère. Elle va pleurer toute sa vie et je ne supporte pas ces larmes qui me brise le cœur. Je la connais je savais qu'elle avait peut-être tout tenter mais face à mon père qui ne se laisse pas la place a un non elle n'a pas du avoir la moindre chance d'empêcher ce mariage. Loin de tout envie de lui montrer un signe de tristesse de ma part elle remarque se petit moment perdu chez moi elle me demande ~ Tu a quoi mon enfant? Je la regarde et je fond en larme dans ces bras~ maman je n'aime quand il rentre dans ma chambre la nuit quand il me touche je ferme les yeux comme tu le dis mais il me dit de les ouvrir et de le regarder faire je suis obligé de voir tout ce qu'il fait. Maman des fois j'ai mal mais je dit rien maman j'ai peur. Ma mère me serre très fort et me dit~ avec les années ça va passer tu va tu y habituer. Tu sais c'est le sort de la femme ne laisse jamais ton cœur prendre le déçu laisse toujours ta tête fonctionner le moment où ton cœur va se mettre a parler ma fille tu auras de sérieux problème. Je sais que je suis une très mauvaise mère je devrais te prendre par la main et partir d'ici en courant mais je suis une lâche. Regarde moi bien ne soit pas comme moi faible si tu dois choisir un jour choisir entre ton enfant et ton mari prend ton enfant ne l'oublie jamais. Les femmes comme moi ne mérite pas de fille car nous ne savons pas les protéger. Je t'aime peu importe se que tu feras sache que même si je te montre du doigt un jour c'est ma tête qui te montre du doigt mais mon cœur lui te soutiens. Tout d'un coup on entend la porte s'ouvrir et je vois mon père rentrer avec mes frères. Je nettoie mes larmes rapidement et je vais les saluer. Discussions sur discutions la joie de mon père et mes frères de me voir n'était pas sentimentale. Hamed: J'espère que tu n'as pas oublier de parler de la maison a ton mari Fatim tes frères doivent hériter de moi un jour. Fatim: Je n'ai pas oublié papa il va venir t'en parler lui même. Et ta santé papa tu va voir le médecin régulièrement Hamed: Oui oui. J'ai bien reçu l'argent pour les médicaments. Tu lui as parlé du concours de police de tes frères il dit quoi? Fatim: Ils vont devoir en parler eux même avec lui papa. Hamed: Pourquoi tu est la bas ne fait pas comme ta tante ne va pas vivre dans le luxe et oubliez tes frères! Fatim: D'accord papa. Quand Hassan va arriver lui et papa vont discuter longuement en suite ils iront voir le terrain que Hassan avait acheter a mon père qui était friand de voir les travaux commencer. Hamed: Merci beaucoups tu es un homme de parole j'espère que tu n'as pas oublier mes fils ils sont dépendants de Fatima. Hassan: Ne t'inquiètes pas j'ai déjà discuter avec le chef de la police il vont rentrer en formation prochainement. J'ai déjà deboursser l'argent pour eux. J'en verrai les fiches d'inscription avec Fatim avant ramadan. Hamed: ok d'accord. M