img La malédiction de Pygmalion  /  Chapitre 3 La Bête | 50.00%
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Historique

Chapitre 3 La Bête

Nombre de mots : 2194    |    Mis à jour : 09/04/2021

d'art autour se se font toujours entendre; elles grondent, m'insultent, me maudissent. Je regardais autour de moi pour voir si il y a u

à chaque expiration. La température ambiante ne faisait que baisser. Je devais sortir d'ici au plus vite. Je marchais mal

se dressait dans toute sa splendeur. Elle représentait une femme, aux formes généreuses dont le torse était nu mais le bas de son corps était recouvert d'un tissu cachant ses parties génitales et ses jambe

ilo..., dis-je d

ent où je prononçai cette phrase

lian

Comme la salle était plongée dans la

e ? Où

. Sors d'ic

st pas rentrée hier soir. Je me fis une omelette et une tasse de thé puis, pris place à la salle à manger. Sur la comm

rentrée hier soir. Ma garde est fini

amine. Son cadre est gris pointillé de

rouvé des binocles à la sall

as prête de rentrer maintenant, tu peux les lui rendre

uais

! À ce

s de la maison. Arriver à l'école aussi tôt ne va rien m'apporter alors je décide de rendre u

enregistre ma venue dans son ordinateur. Ensuite, je me dirige vers

fait signe de réveil de

epuis la dernière fois,

éclatant comme jadis. Ses joues se sont encore creusées depuis ma dernière visite, sa peau flétrie. Des tuyaux respiratoires sortent de son nez et l'électrocardiogramme affiche ces courbes montantes et d

J

rps. Il est là. Posté derrière moi au niveau de la fenêtre, je savais qu'il m'

Éli

core pour com

comme il est dans le coma, je n'arri

souvenir. Cela fait 3 ans que qu'Ervin est dans le coma mais je ne me

peux même pa

e tourne pour f

ent oses-tu env

j'étais apparu dans un de tes rêves, tu serais enf

l n'est sûrement pas du genre à le faire. Quelqu'un toq

anger, me dit-elle en prenant p

qu'une seringue. Je m'éloigne d'eux et me

lle, j'ai cru entendre une seconde

et remarque que Jud

éphone et je l'ai mis sur haut-parleur. Voilà pour

la pièce, sceptique. Si cette femme a réussi à entendre la

16h, le soleil a déjà commencé sa course inverse et il fait chaud. J'ai porté un swe

e trouve se trouve dans le quartier commercial de

ivée. Une odeur de vieillot m'accueille et je grimace. L'endroit paraît assez grand. Il y a des étagères un peu partout et la plupart des objets qui y sont posés, sont couvert de drap blanc. Les murs sont d'une couleur marron en

roche de moi. Elle est rousse et des tâches de rousseur parsèmen

mai-je, je cherche Phil

répond pas et me fix

s venue lui appo

eux et elle secoue la tête vivement. Je les

.. Au r

portement est étrange. Quelque chose attire mon attention à terre. Il y a un morceau de marbre l

à la maison. Je m'affale dans un des canapés au salon et m'empare de la télécommande pour zapper à vive allure les chaînes à la télévision. Je me rends bien

dans le lave-vaisselle puis repars

orte, mes mains lâchèrent la télécommande doucement sur la table basse. Je reste calme et sur mes gardes, aucun

? Hurlai-je de

es yeux en grand. Quelqu'un ou quelque chose se tenait sur le pas de la porte, dégarnie de peau ou bien cette couleur rouge dégoulinante était la couleur de sa peau. La bête était grande et ses pattes antérieures pourvues de griffes, longues, sa

de la maison et éclater les vitres des fenêtres au salon. Il essaie de me donner un deuxièm

outes mes forces. L'impact lui fait effet car il glapit de douleur et se ti

a bête s'écroula à terre et se tordit en rugissant. Je ne perdis pas de temps et monta à l'étage pour m'en

le couloir, frappant les portes et fouilla

je tirais sur mes cheveux, sachant ma fin proche. Mon téléph

Jud

coup dans la porte. J'éc

de !

me recroquevilla sur moi-même. Je manquais d'air et je basculais pour essayer de me rassurer. J'ent

toujours et ma vue vacille. Je me dirige vers celle-ci et déverrouille la porte. Je l'entrouvre et jette un coup d'oeil à l'extérieur. Personne. Je sors complèteme

e, c'e

e atteint le haut des escaliers, m

ine ?

i pour me prendre dans ses bras. Elle prit mon visage entre ses mains et me scrutait de haut

que tu n'as rien. J'avai

armes remonta et je plonge dans son étreinte. J'hoquetais et reniflais dans ses bras. Sa

rd soeurette. Je s

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