i j'appréhendais un peu cet

u plus loin que je me souvienne les premiers jours d'école - les rentrées - ou

s vacances, d'autres s'il s'agissait de nouveaux al

tuation - ou vers qui personne ne venait parceque - trop chelou - alors bien sûr les prem

attendront certainement que je le fasse, je devrais subir l'embarras de - oh elle est muette - et si je subissais encore le - c'es

ainte face à un nouveau départ étaient devenues monotones mais je me trompais. J

uloir forcer des amitiés mais contrairement au passé je vais essayer de laisser cette partie de ma vie optionnelle - me

e mais je peux le faire j'en

y vont c'est dire le niveau. Non il est à cause du niveau de l'éducation ; contrairement à mon ancien lycée où tous se mélangeaient des plus cancres aux plus intelligents, l

de personnes des castes qui ont été créées naturellement ou par force.

e et s'entendent bien avec tout le monde. Les nerds qui sont as

restent dans les pauses sur le toit o

onne ne veut les remarquer parce qu'ils so

sociétale - ou pas - je suis une paria une victime de toutes les autres, celle qui permet aux ét

ur toute guillerette qui est venue me réveiller avant que je n’arrive vraimen

moi alors que de se faire des cheveux blancs pour rien il valait mieux être optimistes et ne se concentrer que

n placard et cherche mon nouvel uniforme – une chemise blanche avec une jupe verte à carreaux – plutôt académique comme uniforme ça fait plutôt chic contrairement à mon ancien lycée où on y allait avec nos propres vêtements chacun

si soucieuse de faire bonne impression que la veille… je pense que même si je ne peux p

soit pas comme mo

passer avec joie, ils l’ont toujours fait eux ils n’avaient pas de

ssaire à la douche et même plus je rentre

tit déjeuner

vérifie une nouvelle fois afin de me rassurer de n’avoir pas oublié un document ou même mon stylo – la honte que ça me ferait de me retrouv

que ce jour

is un vêtement assez chic alors j’imagine que non seulement elle s’est réveillée très tôt

re seule surtout qu’il faudra me renseigner sur ma classe et je ne veux p

t, alors que je m’assoie à t

vas-tu c

quiet sur le visage de ma sœur, je lui adresse un sou

uiètes trop. Je vai

? Je suis

ire de so

à si en retard heureusement j’ai prévu le coup et t’ai

n regardan

acco

ent à ce que ma sœur prétendait elle ne

ue et ses sourcils

veux dire tu me diras si t

sou

i j’ai un souci je t

froid dehors, tu devra

rt olive et me prend la main pou

passage mais je le retiens, elle e

n et ma sœur nous hèle u

du tableau de bord du chauffeur qui nous diffuse une jolie mélo

elle a dû sentir que j’étais tendue et fi

ux élèves entrer de manière disciplinée. Il n’y’a pas de cris ou d’insultes