s crispées sur l’éponge moelleuse de ma serviette, je baisse sans arrêt les yeux pour m’assurer qu’elle couvre bien ma n

e ? Je t’ai deman

ci, d’abord ? Il n’a pas une chambre à lui ? Je me mords les lèvres en essayant de garder mes commentaire

.. heu... sortir, tu vois, po

aut dire que ce sont les premiers mots que m’adresse ce grossier personnage. Ne trouvant pas de réponse à sa remarque désobligeante, je me dirige vers ma commode en soupirant. Si ça se trouve, il est gay, et c’est ce qu’il

demande-t-il, ce qui me

endant un moment, il me dévisage silencieusement, puis, alors que j’attendais des excuses... éclate de rire. D’un rire profond qui serait presque sympa s’il ne se voulait désobligeant. Comme il continue de rire, des fossettes apparaissent sur ses

e bois, dit-elle théâtralement en nous regardant l’un a

que notre cohabitation va bien se passer, peut-être même qu’une forme d’amitié pourr

aie eu le temps de les retenir. Steph jette un regard au garçon et ils s’écroulent de ri

Elle s’étouffe presque puis finit par se calmer et

tu lui as dit

en gros, elle est en train de me dire que ce Hardin est un grossier pe

venir avec nous, Tessa. C’est à mon t

aines choses pour mettre sur mon bureau et au mur. Je regarde Hardin, qui

e fête ce n’est pas dramatique. Et au fait, comment vas-tu all

s faire à cette party, je ne connais personne. Hardin recommence à rire, c

a soirée à lire et à par

moi à la fête. Allez, viens... s’il te plaît. Elle joint les mains en un geste mélodramatique. Est-ce que je peux lui faire confiance ? Je ne la conna

ardin me conduise au supermarché. Hardin roule

toi, réplique-t-il, d’un ton si sarcastique que j’ai e

ossible. Ma curiosité naturelle, qui est assez insatiable je dois l’admettre, me pousse à lui demander d’où i

rès tout. Hardin hoche la tête, incrédule, et Steph p

e marrer ! Quant à moi, je p