grande maison, baye modou était au telephone enfermé dans une autre pièce. E

très tard. Elle avait vêtu l’une des robes qu’elle avait achetées avec Henriette. Bien sûr, elle se senta

elle se sentit soudain en confiance. Mais pour le moment, elle savait

sommeil profond quand on al

Excuse-moi, je parlais avec un

je n’ai

remarqua avec envie la tenue sexy et aguicheur que Ma

pouvait complètement le voir, car son vi

ais pas si j’arriverai à te rendre heureuse mais je sais que

petite comme un ami de son père mais elle n’avait jamais imaginé qu’un jour, elle sera dans un même lit que lui… elle ava

: qu’est ce qu’i

deux hoquets

les femmes passent par la ma biche et il le faut. Il faut qu’on le fasse. Il

t de lui : qu’est-ce que j

e : je suis désolé… mais il fa

le regard qu’il lui lançait à cet instant précis en disait long sur ses intentions. Il se

ocha l

rement. Mayna n’avait rien ressentit en dehors du dégout que le visage de cet homme lui inspirait… elle ferma les yeux et le laissa faire. Mais, baye ne passa pas par quatre chemin, il ne pouvait plus se retenir, il avait automatiquement enlevé sa ceinture et

ri l’assommait de ses coup de rein, elle criait intérieurement, mordant profondé

Il se retira doucement et se pencha sur elle : tu es une vraie vierge ma belle. Sache que ce

a douche. Dès qu’il entra, Mayna éclata en sanglot, elle pleura toutes les larmes de son cor

pris sa virginité en moins de 20 minutes, pensait-elle. elle sourit puis se rappela la foi ou son ex copain Mbaye voulait faire l’amour avec elle et qu’elle fut obligée de le faire att

ue c’est la nuit dernière qu

homme très propre et très prévenant. Elle n’était pas amoureuse de lui, mais elle ne voulait pas non plus se pourrir l’existence en voulant coute que coute le détester. Il fall

: bo

r mon cœur. Tu es t

merci… j’ai t

us fais à manger. Il y a des œufs que le chauffe

re… viens

était rendu compte qu’il était intimidé par ces derniers : tu as vu comment je suis, tu m’a

-moi ma belle. Je. Ne sais pas quoi dire. Je n

dit. Et par conséquent, tu sai

. Massa yaye boy* (maman),

t’inquiète pas. Tu sais comme

ne comptait pas s’arrêter là. Elle était maintenant mariée à cet homm

u voudrais que

i son mari fait toute la cuisine t

ne vais pas faire les œufs quand même. je vais demander au ch

a :

les yeux doux car elle savait qu’elle en allait payer le prix fort… il lui avait ainsi fait l’amour plusieurs fois dans la journée, et à la fin de l’après-midi, elle éta

ent obligés de rentrer au plus grand bonheur de cette dernière. Mère Fanta en profita pour l’emmener voir une masseuse et aussi, lui avait donné des tisanes pour calmer ses c

comme ces commerçants répugnant et donc, cohabiter

laissé le choix à son père et à son mari de tout faire. Ce dernier voudrait qu’elle vienne habiter dans la grande maison avec les

autres, car les connaissant très bien, elle savait qu’elles étaient capable de tuer sa fille. Mais le mari

ononcé ces mots, cette dernière avait juste sourit à son père et était entrée dans sa chambre préparer ses affaires ; De toutes les façons c’est elle qui avait accepté ce mari

rvée. Elle avait à peine salué Mayna qui n’en fit pas tellement cas ; La troisième s’appelait fati, plus belle et plus jeune que les deux premières. Mais elle l’était moins que Mayna. Fati l’avait donc regardé de haut e

dans son armoire six battant que baye modou venait d’acheter surement… elle se souvint que chez son père elle avait juste une petite commode ou elle rangeait ses quelques habits. Maintena

. A peine qu’elle ferma les yeux, elle vit baye modou qui se déshabillait.

uer un rat : tu oublies que je t’ai à moi pour

e sa vie dans cette maison allait tout être sauf facile. Et que ce

lle allait souffrir. Elle joignit son courage à deux mains et décida de sortir de la douche. Elle devait

tu as duré so

is me faire un p

s’illuminèrent auss

sur lui à califourchon : je n’aime

is que je n’arrive

elle s’approcha de lui puis l’e

: tu sais que les autres

du regard et il co

émit un léger cri puis se retint. Après tout, elle ne devait plus se plaindre. Elle ferma donc les yeux et

ber sur sa joue une nouvelle fois. S'

UIV