img Les chroniques du perroquet à poil  /  Chapitre 2 No.2 | 6.67%
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Historique

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1184    |    Mis à jour : 22/02/2022

re 1Pa

ard

t que ce que vous voyez en noir s

ard

en noir sur l’éc

rdon

agaçante question. Leur chienne Labrador, allongée sur la table d’examen, était également sortie de sa léthargie, pour lever la tête et tendre l’oreille à cette énigmatique intervention. Pendant un instant, elle avait dû oublier la dizaine d’aliens qui s’agitaient dans son ventre et qui se présentant manifestement de façon un peu trop anarchique vers la porte de sortie, commençaient sérieusement à la faire souffrir. Mes soupçons s

tais-toi

r la précieuse sonde échographique. Son couple de propriétair

? » balbutia la femme a

nier enfant ». Aussi, cette intervention de mon nouvel ami n’était pas forcément dans l’instant la plus opportune, pour asseoir une crédibilité dont il me fallait me montrer au plus vite légitime. Encore donc une occasion manquée, semblait-il, de fermer son bec. Il est vrai qu’il avait pris depuis quelque temps, cette fâcheuse manie d’interrompre souvent mes discours explicatifs en tout genre. Le ton professoral et didactique que j’adoptai sans doute alors, déclenchait systématiquement ce « pardon ? » pathognomoniqued’une mise au point nécessaire, pour manque de clarté ou autre approximation. Bref, ce pernicieux petit volatile brisait à tous les coups en un mot, un seul, mes magistrales envolées. Sa cage, dont l’unique logem

e notre mystérieuse « voix off ». Je n’eus d’ailleurs pas à les entreprendre et encore m

bien que c’est un perroqu

ris du Gabon, ba

en soins à la clinique ? » d

ent, c’est le mien

Il a l’air de parler trè

ir impertinent, n’est-ce pas Coco ? On règlera ça ensemble pl

de la blouse et froideur du stéthoscope venaient soudainement de laisser entrevoir le cœur battant de ce praticien qui, ils en étaient sûrs à présent, ferait tout pour soulager leur chienne. Dans la dérision de son incroyable à propos, Coco

nât l’assurance d’une grande chance de survie. Le soleil projetait déjà ses premiers rayons lointains, discrets, dessinant dans le timide contre-jour de la baie vitrée, la sil

ci Co

r près de la cage, un minusc

st grâce à nous s’il est

ut Co

derait plus maintenant, vu l’heure. Je ne dormirais pas cette nuit encore mais qu’importe. Coco lui, attendait avec impatience sa lumière, son petit bonheur qui répondait au nom de Marina, une de mes assistantes. Depuis son arrivée quelques mois plus tôt à la clinique, Coco avait fait l’objet de

nuit lui serait alors, sa

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