Ma Maladie Et Moi

encerclent-ils ? Je me rappelle plus de rien, qui suis-je en réalité ? Et qu'es ce que je fais ici, allongée dans ce lit et incapable de bouger ? Tout ce

-il en me regardant ? Serais-ce des larmes de

le a repris

les personnes présente s'avance vers moi tout inq

rince

tre le mien, ses yeux pétillants plongés

ouviens maintenant de qui je suis. Je n'arrive pas à lu

se, tout se passera b

ma joue. Ce sourire me plonge dans un

me plus

ont avant de se redressé. Je n

us les deux, soit forte ne laisse pas c

e jour elle me vide de mon sang, me prive des jeux des hivers, des sorties à la

le, pour lui il est préférable que je reste bien au chaud chez moi avec ma gouvernante. J'ai même pas l

i pas atteindre mes dix-neuf ans voir dix-huit ans. Mais mon père tiens à me sauver même s'il de

soufre. Mon père m'a dit que ma mère avait la même maladie malheureusement suite à ma naissa

ste de ma mère et qu'il ne supporterait pas me voir périls à ses yeux. Depuis la disparition de cette dernière il ne s'est plus remar

urs est absent. Il n'y a que moi, ma gouvernante, mon garde du corps et les trois autres employés de la maison. Ils sont tous des adultes à part l'un des serviteurs qui est de la même catégorie que moi. Il a quatorze ans, comme moi.

ni combien de fois mon père a consulter des spécialis

s à mes côtés. Deux semaines sans fermé l'œil pour sa fille unique, sans prendre l

ntre Aujourd'hui. Il est tem

ons enfin m

s heureuse de vou

t de te voir rétabl

oigts dans mes cheveux oranges

la nuit. Mon père ne m'a pas laissé la main

cueillis par ma gouvernante

demoiselle, m'

aucoup manquée, aj

us rem

ns ma chambre, ma gouvernante et mo

. Mon lit j'en parle pas. J'ai toujours eue un faible pour les peluches, elles

t, toujours en me tenant la main. L

Érika, dit ma gouvernante en se

ademoisel

uvernante ma chérie, on

ndue

pir dans mon lit si douillet qu'un tag de plumes, c'est tellement agréable. À cet i

est prêt,

lle toujours comme une gouvernante se doit d'être vertu ; une robe très amples, sa coiffure préféré ; le chignon, couleur préférée ; toutes les couleurs non-primaire. Et pour conclure son repas préféré ; sushi et thé. Je la trouve quand même un peu étrange, mais je l'adore. Elle s'occupe de moi comme une mère le faire pour son enfant, pour moi elle en est une. C'est auss

he chandail. Je rejoins mon père pour le dîner. Dè

e à table. Une fois installé

esse, si ta mère te voyais ains

is bien la

llement, tu as même

e j'ai hérité

i, mais il a raison, apart ses yeux j'ai les cheveux

d dev

li m'enfuis pour un rien, c'est juste nos trois serviteur : Brig

ici le

s. Brigitte est tellement en vitesse qu'elle

le renversée sur le boxe, dit

mademoiselle Érika que j'ai presque oublié les

e vous revoir tous les t

uste en croisant mon regard. Il baisse très vite les yeux en souriant ti

vous verrez c'est très b

est très

nter, kagami pique un

e l'ai fait spécialement pour mademoisel

ait notre soupé à tous les trois

t moi qui ai donn

urs pas comme d'habitude, il s'amuse bien en les voyant ainsi. Moi au

pécialement pour mademoiselle Érika ! Et to

ent sans trouver de mot à dire. Mais une voix les l'i

upé ! Dit ma gouvernant

iselle

tenant, vous avez

it-ils en chœur en p

s ne plaisantes pas avec elle. Une fois le plancher libéré

ser pour tous ce

bien l'habitude de vo

z moi de

a salle à manger en fermant la porte derrière e

tu dois av

ppétit

étit ma

que je mange, mon père me regarde discrètement, mais il fuit mon

ne bonne nuit à mon père ava

e nui

eaux rêves

e m'amène dans ma chambre et s'assure que je prennes mes médicaments, brosse mes dents avant de me coucher. Elle reste avec