lentit et s’arrête devant une bar

rt d’une guérite et se

ant réglementairement, qu

sommes invités pour assister à la présentation aérienne de cet a

ir vos invitations ainsi q

sûr les

et celui de Bérangère, puis il prend les cartes d’identité que lui tendent Jeanne et Bér

papiers à Karl : « C’est parfait tout est en ordre v

ère fois que nous ven

a base, juste derrière il y a un parking, vous y garerez votre voiture, de l’autre côté du parking vous verrez un long bâtiment sur

, le deuxième gardien appuie alors sur un bou

ilité », lance Karl en embrayant

nouvelle fois puis l

ans aucun problème un vaste parking dans lequel de nombreux véhi

ouvre sa portière et quittant la confortable banqu

bleu azur ; son regard accroche le centre opérationnel de la base, la vaste place d’armes

me, les cheveux courts cachés par une casquette et arborant fièrement l’uniforme des pi

es bras dans lesquels

eureux que tu sois venu Maman », lance-t-

esse la casquette du jeune o

l jour ? dit-elle en riant, le jour où mon fils va voler pour la

manqué ces dernie

année à l’école de chasse a été très dure, les places étaient chères, mais maintenant c’est

n donnant une franche accolade au jeune officier, nous sommes très fiers de t

n tour Jeanne en souriant,

e rire. Tu n’as tout au plus que

ve rien à mes droits d’aînesse comme le disait grand-mère

evant sa mère : « Mère si vous voulez bien me faire l’honneur de me suivre. » Pu

re entend des bruits de conversati

n vous amuser dis-moi ?

vons aussi nous détendre et nous amuser… dans le respect de

es galons de capitaine se t

regard elle baisse les yeux ; le capitaine accu

es talons et salut respectueusement : « Mes respects, mon

ître enfin, le lieutenant nous a tellement parlé de vous qu’il me semble vous avoir déjà rencontré. Mais je manque à tous mes devoirs, permettez-moi de me présenter : Hauptmann Kurt Bader, je suis le chef d’escadrille de ce brillant jeune pilote, so

au bar, le déjeuner sera servi dans une demi-h

ercie Capitaine, vous êtes très aimable et je

ix, Lieutenant Von Matt, veuillez-vous occuper de votre fam

rde à vous. « À vos o

escalier à sa famille : « Suivez-moi,

ar est pleine et les discussions vont bon train, la base accueille

rettes ; la majorité des pilotes fument avec délice du tabac blond américain. La proximité des milit

rché à se fondre dans le paysage allemand, mais ils ont plutôt tenté avec un certai

sportent l’Amérique

asse cette idée qui vient de l’assa

dirige vers un petit groupe d’hommes et de femmes, les hommes portent le même u

amis et demande le silence : « Mes amis je suis heure

une fille brune légèrement potelée. À sa droite voici mon camarade de chambrée, le lieutenant Hendrik Ziegler, cœur à prendre et pour terminer notre esprit volage et aussi philosophe, le