xième

es scrutant l’espace en permanence. Le ciel scintille de la poussière de fées ou de poudre de feu d’artifice. Le spectacle grandiose fait l’admiration de tous. Le phénomène demeure visible le jour suivant pour ne s’estomper qu’au lever du jour d’après. Et ce soir-là, le ciel nocturne retrouve son apparence originelle, si ce n’est pour la nouvelle étoile d’Orion qui continue de resplendir. Les savants n’ont pu constater qu’une légère variation

es couleurs du spectre de lumière, y compris le vert du fait qu’elle n’a pas de chlorophylle comme les plantes terrestres et que sa couleur noire indique son adaptation à un système solaire constitué d’étoiles froides et qu’ainsi, elle peut absorber un maximum de lumière et d’énergie calorique. P

le mourir). Elle émet une combinaison étrange de parfums de bruyère, de lys, de lotus, de pavot, de lavande et de jasmin. Ni comestible par l’homme ou par les animaux, elle semble résistante à tous les insectes et herbicides. Les botanistes sont incapables de la classifier dans une espèce connue, malgré un penchant pour un hybride e

es et rares, se rend à son laboratoire à l’Université de Tokyo, lorsqu’en s’arrêtant saluer le portier de l’immeuble, son regard est interpellé par une photo encadrée qui repos

photo ? demande-t-il subitem

s, car il sait quelle photo désig

lle, répondit

u’elle tient dans ses bra

monsieur l

l’a-t-elle

monsieur le professeur, c’est

s un pot provenant de notre facu

prendre pour transplanter une fleur des champs et il m’a expliqué comment faire en me donnant un vieux pot ébréché qu’

vous accuser monsieur… pardon

o. Hami

nt avez-vous fait pour t

chargé, monsieur le professeur. C’est

jeune enfant ! Elle a

esseur. Suki vient d’av

ent s’y est

raconte cela maintenant,

votre travail et le personnel s’accumule derrière moi. Pourriez-vous

esseur. Alors à douze heures

i, monsieur Sapuro. Et amenez cet

nsieur le

entre dans le bureau par la por

nsieur Sapuro. Asseyez

onsieur le

t étonnant ! Il s’agit bien de la fleur d’étoile, comme nous l’appelons de façon provis

. Nous restâmes en silence quelques minutes en attendant que la fleur s’ouvre complètement. C’était étrange. Car de la fleur noire totalement ouverte émanait une sorte de lueur bleuâtre fluorescente. C’était vraiment très joli. Suki parlait à la fleur en lui racontant ses émotions devant tellement de beauté. Puis elle lui dit bonsoir et nous rentrâmes à la maison. Et sur le chemin du retour, c’est là qu’elle me d

i répondait ?

dans sa tête lui donnant les répons

e que la fleu

rd de venir avec Suki

imposé des

plantée avec la terre de ses racines sur un diamètre de vingt centimètres de sa tige. Elle voulait un peu d’eau de pluie chaque jour. Et elle voulait voir la lune les nuits de pleine lune. E

alo

l’école, Suki a pris le pot, une truelle, et elle est partie transplanter sa fleur

èce de fleur mais en vain. Toutes nos tentatives de transplantation ont lamentablement échoué et les plantes meurent et se pétrifient, devenan

ous pouvez passer à la maison ce soir quan

ent et j’y serai. Merci beaucoup, monsieur Sapuro. Tout cela est assez incro

monsieur le

u, fermant doucement

voir de ses propres yeux la fleur en pot qui se porte à merveille. Cela capte d’emblée toute l’attention de son équipe. Il baisse les lumières et lance, sur le rétroprojecteur de la pièce, à partir de son ordinateur portable un dossier vidéo de l’enregistrement de

i son équipe. Vous avez compris le protocole de la petite, n’est-ce pas ? Il s’agit d’expliquer clairement votre intention à la plante. Si vous êtes clair, elle comprendra ce que vous attendez d’elle e