o

d’après-midi et je me rends compte que je ch

e il y a quelques heures, j’ai lutt

près de Sue qui la

mes et je connais bien sa situation délicate avec mon ami Marc, le second médecin titulaire de l’hôpital. Je sais à quel point ils s’ai

er les choses entre

que le temps arrangera surement les choses. Un peu las, je

es pensées ; elle discute avec plusieurs collègues. Son teint pâle qui contraste avec son épaisse chevelure sombre est tout à fait délicieux, aussi je l’admire quelques secondes en me disant qu’i

e n’est pas vraiment à l’aise ; cela m’interpelle. Tout en fronçant légèrement les sourcils, je la regarde se

gne de la tête pour la saluer, elle me retourne aussitôt ce geste de politesse en détournant rapidement le regard. Je ne suis pas un homme timide d’habitude, je suis même p

veau sur ma discussion avec Sophie quand Julie nou

-t-elle en faisant référen

puis plusieurs jours, renchéris-je. Au

ions sont nombreuses également, même s’il a l’avantage d’être moins isolé que celui de Soko. Moi aussi j’ai déjà travaillé là-bas avant de m’engager ici, mais mon départ a été

pensées depuis plusieurs minutes maintenant. Le menton calé dans une main, une expres

e la tête puis se lève gracieusement en expliquant qu’elle est fatiguée et qu’elle préfère aller se coucher. Plusieurs collègues lui souha

on regard dans le sien pour attirer son attention. Ses joues se colorent un peu

is-je doucement sans

ans me regarder avec u

pidement et je me contente de sui

llongé sur mon lit les bras calés derrière ma nuque, je

tôt QUI m’empêche de m’endormir, mais ce que je ne c

on célibat forcé de ces dernières semai

nt mon bas de pyjama, puis j’enfile mon ber

ne promenade pour se rem

mystérieuse, mais je n’ai plus l’âge et surtout j