3 blocs - Tome 1 : Folies humaines

r qui une vie n

ol

ton âge que celui de ta boutique de nippes ! Et puis c’est dans le Queens! Moi, je n’y mets pas les pieds dans le Queens !

veux bruns, avec un sourire affectueux. Alors, tu ne m’as toujours pas répondu, mamie : tu souhaites toujours vraim

l’intention de les suivre à Boston. Et puisque je serai très certainement virée avec un bon paquet de fric… Alors pour tout te dire tu s

lus tôt au-dessus de l’immeuble, n’avait pas plus effrayé que

, c’est habituel ! Surtout depuis l’histoire qui s’est passée en 98 ! avait aff

t, pour venir rendre visite à sa chère « mamie américaine ». Elle s’était émerveillée devant

ée à tel point qu’un matin de septembre elle

’était laissé convaincre par cette jolie

la présenter à ses collègues de travail. Qui ne manqueraient pas de la complimenter. Le physique exceptionnellement avantageux de sa petite-fille, âgée d’

urs, comme tous les occupants du buildin

, la vieille dame semblai

’enceinte, ne présageait finalement rien de bon. Un gigantesque incendie s’é

sacrée femme de têt

n’y a pas à s’inquiéter ! Ces exercices sont incroyablement réalistes, vo

! Nous venons d’en avoir la confirmation : quelque chose a explosé ! C’est grav

! Laissons dire ! La paniq

t vrai ? Mamie, on devrait peut-être ava

mignons ! Ce doit être les chocolats que tu m’envoies, répondit la grand-mère

Tu sais, mamie, je ne te l’ai pas dit, mais je conti

’assistance. Piquant le nez. Une forte

almement ! C’est le seul moyen pour sortir sains et saufs ! fit un célèbre

hée comme une bombe.

à un exercice d’évacuation, les deux mots maladroitement employés dans un appel

t à descendre quatre à quatre

onfirmer les rumeurs

ndit brutalement lorsque l’électricité se coupa net et qu’une fumé

aucun doute ne fut permis qua

is, nous devrions faire comme

es minutes. Cela a dû se passer plus haut à mon avis, nous n’avons donc pas à nous inquiéter

laisser là, tu rêves ! Non mais, t’es pas bien mamie

les visages en sueur se contractèrent et les sou

si tout le monde se concentrait pour descendre les

t à de grands automates désarticulés, de surprenants Pinocchios aux pas saccadés, aux bras br

le de faire une pause vraiment nécessaire que, dans une

s, de tintements interminables et de froissem

s employés se mirent à courir comme des fous pour atteindre

il se passe. Tu as bien compris ? Attends-moi là, je re

e, ma douce, mon petit trésor ? demanda-t-elle, pre

l’as dit toi-même tout à l’heure ! répo

t’aime de tout mon cœur… C’était la première fois que sa grand-mère lui lançait en pleine face ce mot d’amour si difficile à prononcer.

on, comme pour imprimer l’image d’une grand-mère s

sur qui elle pouvait compte

t la porte coupe-feu

xueuses tentures beige clair et entr

nce tota

étage où elle se trouvait était encore très élevé. Une fumée noire et épaisse, qui s’élevait

eur. Que peut-il bien se passer ? Ça a l’ai

hypnotisée par ce spectacl

t de fouet de pâtissier remuant une mousse au chocolat dans un réc

n air relativement et inconsciemment détaché de toute réalité. Ah ! Enfin, te voilà ! Bon, ma petite chérie, les secours ne

pas à quel point sa proposition

et curieux grondement de tôle se rapprocher redo

et belle main de sa grand-mère qu’un faisceau lumineux

euse, provenant d’un improbable et étrange pha

llement phosphoresce

e ne pouvait êt

évidemment ! pe

kénaze, elle n’eut le temp

l te protège ma

s’éteignit,