ations a fait vibrer

notes détaillées pour mes partiels à venir. « Assure-toi de bien réviser le chapitre 7 », disait un message. « C'es

proches bien intentionnés après d'innombrables tentatives ratées d'apprendre à lire et à compter comme les autres enfants. Mes parents, que Dieu les bénisse, avaient toujours essayé d'adoucir le coup.

s », destinée à une vie simple et sans complications. Et peut-être, juste pe

dès que je l'ai vu, j'ai été captivée. Il se déplaçait avec une intensité tranquille, toujours en train de lire, de réfléchir, de résoudre des problèmes.

m'assuraient les Voix. *Les garçons brillants sont toujours un p

convaincue qu'il m'aimait bien, que sa distance

ceaux digestes. Avec lui, soudain, les chiffres et les lettres prenaient un sens. C'était comme un miracle. Je travaillais sans relâche, nourrie par son attention. Quand nous avons tous les deux été a

er encore un moment, Léna », avait-il di

La romance parfaite ! Un génie et sa muse ! C'était éc

iminuait. J'essayais de le retrouver pour déjeuner, pour ne recevoir qu'un texto en retour : « Trop occupé, Léna. J'ai pris un truc au RU. » Puis, quelques jours plus tard, j

mme un coup de poig

de collaborer ! Ce n'est pas romantique, c'est professionnel !

ne trouves pas que tu passes trop de temps avec

Ma partenaire de labo. On travaille sur un projet révolutionnaire. Ce n'est pa

ultime », a posté quelqu'un sur la page des confessions de la fac. « Des âmes sœurs intellectuelles. »

ce pas ? Ils forment une super équipe scientifique. » Mes excuses sonnaient creux même à mes propres oreilles. Le