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Historique

Chapitre 2

Nombre de mots : 2643    |    Mis à jour : 15/12/2025

encore à la peau, mais je l'ai refoulée, au plus profond de moi.

té. « J'ai vraiment mal à la tête. Et mon visage... ça pique. » J'ai touché ma joue, feignant u

faux. Il s'est agenouillé à côté de moi, sa main douce sur mon bras. Un

ive. Elle a cru que tu essayais de me séduire. Un malentendu, c'est tout. » Il a soupiré, secouant la tête comme

ive, la femme qui m'avait brutalement attaquée, déclenchant le retou

... ne sommes-nous pas mariés ? Tu as dit que nous l'étions. Pourquoi penserait-ell

se d'illisible dans ses yeux. De la culpabilité ? Non, pas Edgar. De l'ag

n regard vers le sien. « C'est juste que... elle a eu une vie difficile. Elle t'ad

t. Il était doué pour ça, pensai-je. Si doué pour tordre la réalité, pour se peindre comme

r s'il n'acceptait pas le divorce et ne restait pas hors de ma vie. Ça devait être pour ça. Pourquoi il avait besoin que je disparaisse. Pourquoi l'accident. Pourquoi la pe

lle a besoin qu'on lui apprenne une leçon, clairement. Je m'assurerai qu'elle comprenne sa place. » Il m'a caressé les ch

il était marié à Amélie. L'audace. Le mal pur et simple.

que seule moi pouvais entendre. « Elle m'a fait mal, Edgar. Physiquement. Ce n'est pas normal. » Je l'ai regardé, laissa

elle. » Il m'a aidée à me relever, son bras autour de ma taille, me guidant vers la porte. L'environnement

œurant. Amélie. Elle est apparue au coin du couloir, ses yeux passant d'Edgar à moi, un sourire triomphan

discuter des plans pour la nouvelle aile. Tu sais, celle pour notre suite parentale. » Son regard s'est posé sur m

ouvelle aile. La suite par

ant, un avertissement. « Nous étions juste en

? Que c'est moi ? » Elle s'est approchée d'un pas nonchalant, ses yeux brillant d'une confiance prédatrice.

lon en argent. Mon médaillon. Celui que ma mère m'avait donné pour mon dix-huitième

innocence. « Je l'ai trouvé. Si démodé, n'est-ce pas ? Mais Edgar a dit que tu l'adorais. C'

ie. Maintenant, ces visages avaient disparu, victimes d'un mensonge cruel. Une

Edgar. Mon visage est resté un masque de confusion,

larmes montant à mes yeux. La confusion était réelle, un mélange de l'amnésie fe

. » Elle s'est tournée vers Edgar. « Tu vois ? Je t'avais dit qu'elle était c

s d'Amélie, sa prise f

connaître sa place ! Elle doit savoir que je suis la maîtresse de cette m

transformer en un étonnement enfantin. « Élis

nant dans le grand couloir. « Vous deux ! C'est ridicule. » Il s'est tourné vers moi, sa voix retrouvant rapidement son faux calm

fflement bas. « Va dans ta chambre, Amélie.

est partie en tapant du pied, le peignoir en soie bruissan

de. Edgar s'est tourné vers moi, son visage un mas

t très émotive. Et elle est très protectrice envers moi. Elle a tout mal compris. » Il a soupiré de façon dramatique. « Ton accident...

hanger le récit, remuer le couteau dans la plaie. Il blâmait l

ai-je murmuré, ma voix toujours fragile. « Mais tu as

t", c'était... une façon pour elle de perpétuer ton héritage. C'était sa façon de faire face à la perte. Et un moyen de maintenir le Groupe Lefebvre à flot. La famille a

que j'ai déguisé en peur. L'héritage de mes parents. Prendre ma r

x se brisant. « Pourquoi me ferait-elle du mal si e

« Elle a peur, mon amour. Peur de me perdre. Peur de perdre ce qu'elle a construit. Elle te voit

f qui m'a donné la chair de poule. « Je ne laisserai

mme une promesse, mais j'ai entendu une menace. Il ne me laisserait jam

é, m'éloignant légèrement. « Je me sens si con

. Tu as traversé tellement de choses. Peut-être... peut-être qu'il vaut mieux que nous

e... je ne suis pas prête. J'ai encore mal à la tête. » J'ai légèrement poussé sa poitrine, un geste de rejet d

du Groupe Lefebvre. On ne peut pas simplement l'envoyer au loin. » Il a fait une pause, une lueur malicieuse

amade. Était-ce un tes

eux juste... je veux juste la paix. Et qu'elle ne me touche pas.

plement... coexistiez ? Pense-y, Élise. Vous deux à mes côtés. Toi, le vrai cœur du Groupe Lefebvre,

t garder son empire volé, sa femme volée, et sa prisonnière, la

dée, froide et vive. C'était sa faibless

, ma voix à peine plus qu'un murmure. «

a plus te toucher. Elle ne dira rien pour te contrarier. Tu as ma parole. Tant que tu... essaies de

einte. « Et elle ne... elle ne prétendra plus être mo

. Il est trop tard pour changer ça. Mais elle ne te diminuera pas. Je te le promets. Tu seras toujours

ire ma vie. Avec l'homme qui avait ordonné ma mort. Mais c'était ma cha

de moi. Plus de contact. Plus de coups. Plus qu'elle ne s'appelle... mon nom. » J'ai f

retour, mon amour, tu seras gentille avec elle. Tu comprendras sa sit

e. Incapable. Il voulait dire morte. J'ai acquiescé

nner les clés de son royaume. Je trouverais un moyen de sortir. Je rassemblerais chaque preuve. Je réclamerais mon nom, ma fortune, mon identité. Et je lui

it vraiment. J'ai secrètement attrapé le téléphone prépayé toujours caché dans ma poche,

me caressant les cheveux. « C'est mo

la gorge. Compréhensive ? Il allait

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