img Meurtres à Agen  /  Chapitre 4 No.4 | 10.53%
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Historique

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1915    |    Mis à jour : 13/12/2021

tage d’un immeuble qui en comptait quatre. La résidence se situa

rçon métis qui vint ouvrir

nt t’appelles-tu

appelle

demanda une voix du f

t un monsieur, rép

temps qu’ils re

dame. Nous avons absolument be

mbre du fond ; je change ma p

t la porte. Kylian prit la main de Mi

Perrin, en refermant la

on 18 mois qui agitait ses pet

n l’a prise

pelle-t-elle,

coquine s’ap

d’un sourire et d’une

le salon, nous

age était doux. Elle avait des yeux bleus et une bouche bi

on prolongeaient la cuisine

lon était composé d’un canapé d’angle de couleur gris clair, d’une table basse, d’une table de télévision blanche sur laquelle

tenait toujours

lian, laiss

-le. Il est te

nspecteur Julien,

manda madame Perrin, le

nible nouvelle à vo

ntant un drame avant même qu’on lui en ait a

l arrivé à

errait la petite fille dans ses bras. Elle avait le cou tendu et les yeux rivés

mal à sortir de la bouche de Mirana et c’est l’i

di… Il ne put continuer sa phrase, car madame

temps de rattraper Mali

a mère et hurlait aussi.

prit son téléphone

fut inte

r et de désespoir sur le tapis. Elle sanglotait à présent, tout

de consoler sa maman tandis que Malicia était to

s deux inspecteurs étaient les tém

au médecin qui fit un signe à l’infirmier qui l’accompagnait. Ce dernie

madame Perrin. Il réussit à la

uvre femme ainsi que sur les enfants qui, n’entenda

son mari avait été tué, mais le séd

ourquoi ?

omme à moto a tiré sur lui. On n’en sait p

emanda à mad

s ne pouvez pas rester seule ce soir, sans quoi nous serions obligés de v

ant de répondre qu’elle pouvait de

eler. Quel est son

s très loin, dit-e

sur le clavier, puis le tendit au

rivé un malheur à votre beau-frère. Il faudrait que vous

ait affolée et posa

ses enfants ont besoin d’une présence… Prévoyez, si vous le pouvez,

éléphone sur la table.

Juste le temps de s’organiser et e

Le médecin attendit l’arrivée de Brigitte, sa sœur lui

à la sœur de madame Perrin qu’ils avaient besoin de quelques renseignements. Tous les

ntaire et Kylian allait à l’école tandis que Malic

oiler la vie privée de sa sœur. Cependant, elle r

fumer un joint, mais c’est tout… ça ne plaisait pas à Corinne. Ce n’était pas tellement qu’il fume, car c’était peu, mais le fait qu’il dû s’approvisionner dans

n général. Il rentrait toujours à l’heure après son travail. Bien sûr, quelques fois, à la sortie du boulot, il allait boire un verre avec les copains,

décalés tôt le matin ou tard le soir, alors le week-end elle était contente de profiter d

maintenant, se demand

il ne faut pas perdre de temps pour éviter que les témo

lice. Pendant qu’ils roulaient de nouveau vers l’usine, Mirana

s Léo n’arrêtait pas de demander « qua

se-le

ue tu viennes, tou

e tu manges et que tu dormes un peu. Je viendrai te

viennes ! S’obsti

ment possible mon chéri et on

. Elle commença à lui raconter une histoire et lui promit de lui lire la suite de la petit

n en s’adressant à Mirana alor

dur aussi

difficilement compatible avec une vie

plus une vie familiale très acti

vons ni l’un ni l’autre, pensé à une vie de famille. Nous étions passionnés tous les deux p

l’aviez pa

’on est amoureux on ne pe

je sa

etit Léo. Il me raccroche à la vraie vie, il me ramène sur une autre planète, sur sa planète

u sein d’une famille… les repas pris ensemble… nous sommes corps et âme da

elé ma propre détresse lorsqu’o

cence, de sa candeur, de sa fraîcheur pour

dans la voiture. Chacun des occupa

tait la veille d’un week-end et qu’il serait difficile d’interroger les témoins dans un même

ire Jean-Marc Jacquemin, qui venait de

cdotes de ses années de service. Pour établir des comparaisons entre les évènements, le commissaire Jacquemin ressassait toujours d

s mêmes histoires. Il faut dire que 25 ans de P.J.

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